Forum de FilmDeCulte

Enfin vu moi aussi, même si dans des conditions déplorables (6 heures d'avion, en Anglais, lutte contre le sommeil, et des écouteurs à chier). Malgré tout ça, j'ai quand même pu l'apprécier.

C'est assez superbe, GVS revient dans un registre plus sobre, est beaucoup plus claissque ou plutôt plus discret dans le style, mais arrive malgré tout à dstiller ça et la quelques touches personnelles qui magnifient la prestation de Penn, et qui donnent du relief à son priopos. La lutte, le dégout, la détermination, l'espoir, tout ça est est rendu avec une précision et une intelligence qu'aucune réalisation dite classique ne pourrait permettre. Tout y est excellent jusque dans les dosages. Discrètement, GVS arrive à faire un biopic epérimental, touchant et juste, sans doute plus encore que ne l'était last days. POur cela non seulement il faut de l'inventivité, de la finesse, une vraie sensibiilité, mais aussi un sens du dosage.
(Par exemple, la petit lueur sur Sean Penn pour montrer la faiblesse de cet espoir, dit comme ça, ça paraît lourdeau mais tel que c'est montré c'est subtil et superbe).
En se limitant en utilisant sa maestria avec parcimonie Sant arrive à quelque chose de brillant et d'assez peu conventionnel. Il fait un biopic classique apparemment très commun mais qui en dépasse tous les cadres
Au final, il en reste une sublime justification et incarnation de la lutte.


5/6. Et 1/4 d'heures de larmes (bon j'étais dans un sale état aussi avant de mater le film).


Le film qui sauve mon année 2009 (j'ai quand même 4 films à 5/6 ou +, et avec les décéptions que je me suis tapé, c'est quand même positif).

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

J'imagine la situation ô combien désarmante, tu voyages tranquillou et quelqu'un se met à chialer à côté de toi...

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On a frôlé la fissure anale...

Pareil. Toute cette fin.... brrr.


lol

N'empêche moi ça m'est déjà arrivé, mais avec un fou-rire (celui où tu pleures, où t'as mal au ventre, où tu sais pas t'arrêter, où tu réveilles ton voisin, où tout le monde te regarde d'un air mauvais). Une scène toute conne dans Ghost Town avec un chien qui pue de la gueule.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ca fait bien plaisir, ça rattrape un peu les bêtises dites sur le Wakamatsu.

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J'ai pas dit de connerie, j'ai dit que j'étais passé à côté. Ce qui est vrai.
Et je vois pas pourquoi tu ramènes ça ici.



Le fou rire, c'était à l'aller, sur I love you man. Enfin c'était un rire de chèvre quasi constant pendant les trois premiers quarts d'heure. Faut m'interdire les longs vols, en fait. Sinon, pour les larmes, ça s'est quasiment pas vu, c'était assez discret. Y a juste une fille qu'avait la même réservation avion-hôtel que moi qu'est venu me parler et qui l'a vu. Ca l'a fait marrer.
N'empêche, je pense que même sans la fatigue, et en VF, ou sous-titrée, elle fait chialer, cette fin.

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Je peux quand même remettre en question ce que tu as dit sur le film, salopard.
Et je ramène ça ici car c'est drôle.

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