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MessagePosté: 18 Oct 2008, 14:44 
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jiko a écrit:
-Amalric, toujours royal


Ce mec c'est un trésor.

Faut le faire tourner tout le temps. (d'ailleurs c'est le cas)


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MessagePosté: 19 Oct 2008, 01:05 
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jiko a écrit:
Surtout il y a Guillaume Depardieu. J'avais oublié qu'il était dans le film. Quand il rentre soudain dans le champ, ça a été comme une vraie apparition, un truc saisissant qui m'a figé. Il dit "Tu veux entrer ?" et moi j'ai pensé "mais tu es mort !" et j'ai vraiment eu les boules.
Parce qu'il est incroyable encore une fois dans ce film, sa présence, sa démarche, la force et la fragilité qu'il dégage, son visage abimé et sa voix douce d'enfant, il est tout maigre et il est immense, tout en longueur et pourtant on dirait qu'il prend tout le cadre.
Il déborde de vie et d'énergie, mais c'est aussi un fantôme. Le truc de Bazin là, sur la momie et le cinéma, c'est une chose de le lire mais c'en est une autre d'en faire l'expérience aussi fortement. Et à un moment il dit "Je ne suis pas encore mort" et j'aurais pu pleurer.


Tu en parles très bien, et ça fait encore plus mal...


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MessagePosté: 19 Oct 2008, 10:50 
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Oui, beau passage sur les acteurs, notamment ce que tu dis sur Laurent Lucas ; c’est vrai qu’avec Depardieu « L’ontologie de l’image photographique » bazinienne prend tout son sens, j’aurais vu le film après sa mort je pense que j’aurais eu droit à ma larme. Donc je suis d’accord sur tout ce que tu dis sur les acteurs, après je ne suis pas d’accord sur le fait de nommer ton texte « de l’acteur », comme si seulement ça comptait. Je ne suis pas entièrement d’accord avec ton dernier paragraphe. Je profite du fait que tu dises des choses intéressantes pour rebondir, car je n’ai pas encore parlé du film.

Jiko a écrit:
(sinon le film c'est un truc d'autiste. Etonnant du coup de sentir à ce point l'importance des acteurs mais d'être quand même face à un film qui est complètement replié sur soi, qui tourne en rond à l'intérieur de lui même, qui ne s'adresse à personne. Du coup je suis jamais rentré dedans, même la scène de transe j'y ai vu comme une note de chose à faire, un pense-bête de scène à filmer. Tout m'a paru comme une note de truc à filmer, d'idée à travailler du genre "faudrait que j'en fasse quelque chose, il faudra y mettre de l'incarnation". Dans le film, par deux fois Amalric raconte des idées de film à faire, elles sont belles ces idées, elles parlent toutes les deux de disparition, et c'est l'impression que j'ai eu, que le film disparaissait petit à petit, que Bonello abdiquait. le prochain sera mieux. 3/6.)



Le film est effectivement replié sur lui-même, il tourne en rond de l’intérieur, une séquence est presque l’analyse de sa précédente, et non son résultat. Par contre je ne suis pas d’accord quand tu dis qu’il ne s’adresse à personne, je me suis senti très concerné par ce dispositif qui consiste à montrer un film en train de se concevoir, d’impliquer le spectateur dans la genèse. Bonello parle aussi, que ce soit d’un point de vue diégétique ou simplement théorique, de cinéma et d’expérimentation, il nous dit que l’essai au cinéma, l’expérimentation la plus pure passe par une remise en question de soi, par une écriture de soi. Le cinéaste rejoint dans l’intention beaucoup de grands cinéastes expérimentaux, mais il a l’originalité de rendre ça beaucoup plus narratif. Tout ça en mettant comme postulat l’expérimentation sur soi même… Du coup, on peut trouver ce film égocentrique, c’est vrai, mais ce choix est pour une ouverture vers une expérience de cinéma sensorielle et assez singulière. J’y vois aussi une remise en question de son cinéma, mais par se détour une remise en question de toute une partie du cinéma d’auteur français, assez glauque et désenchanté.

Bonello-Almaric le dit dans le film « je serais incapable de filmer la joie ». Cette phrase n’est pas anodine, elle trace une ligne que toi tu prétends absente, ce chemin vers la joie, que ce soit celle de Almaric et de Bonello (incarnation parfaite lors du dernier plan quand, au même moment, Almaric profite de la foule pour la première fois, elle ne lui fait plus peur, et Bonello arrive enfin à filmer un moment de joie et de plénitude. Là aussi Bonello rejoint certains courant expérimentaux qui consiste à rendre les affects ultra sensible, autant par l’image que par le son (utilisation impressionnante du son dans ce film).

Cette ligne, ce trajet, donne chair au film quand même, il y a un point de départ et un point d’arriver qui forme une certaine cohérence du trajet. Le film n’est pas un enchainement de séquence qui vise à essayer beaucoup de choses, je pense que c’est bien plus centralisé que ça. La séquence de la danse est un passage, le film n’est pas le même avant et après, le personnage change donc le film change, Almaric se libère donc la caméra de Bonello se libère en même temps, je trouve cette séquence vraiment extraordinaire, j’étais dedans à un point… toi non, ça ne se discute pas. Le cinéaste arrive à filmer la plénitude à cet instant là, en fait la quête de ce film c’est Bonello qui chercher à alléger son personnage, le trajet coïncide là aussi, je trouve ça d’une conception théorique (qui peut gonfler, je l’accorde) assez parfaite. Personnellement, du moment que cette théorisation ne coupe pas court à l’approche des sensations (le film est une étude de cette approche sensorialiste) ça ne me dérange absolument pas, la théorisation dans le vide me gêne beaucoup plus.

Pour conclure donc, je ne peux pas réduire ce film à un pense bête tellement les annotations inscrite forme un tout sensible, en tous cas pour moi. Je trouve que cette version de l’égocentrisme ouvre sur un contact avec le spectateur, Bonello ne parle pas que de lui, il parle de lui en train de filmer, donc l’implication totale du spectateur me semble fondamentale, et ce fût mon cas.

Voilà, en tous cas merci, sans toi et ton texte intéressant je n’aurais peut être pas pris le temps d'écrire sur ce film que j’aime beaucoup.

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MessagePosté: 19 Oct 2008, 11:15 
Merci blackadd, tu arrives à mettre des mots sur des impressions que je n'arrivais pas à expliquer ...

Moi aussi, j'adore la scène de transe.


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MessagePosté: 19 Oct 2008, 11:37 
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Jericho Cane a écrit:
Merci blackadd, tu arrives à mettre des mots sur des impressions que je n'arrivais pas à expliquer ...



De rien, c'est pas le but de la manœuvre mais si ce que je dis te parle, c'est que Bertrand n'est pas totalement seul. C'est bien. :wink:

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MessagePosté: 19 Oct 2008, 13:55 
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the black addiction a écrit:
J’y vois aussi une remise en question de son cinéma, mais par se détour une remise en question de toute une partie du cinéma d’auteur français, assez glauque et désenchanté.


Je pars de cette phrase là pour te répondre mais j'ai tout lu de ce que tu as écrit hein.

Durant la scène de transe, je me suis souvenu de la scène de fin du Pornographe, justement une scène de danse aussi, en transe aussi, où la joie et la liberté enfin étaient très bien filmées, une accélération, une illumination de la vie. Dans De La Guerre j'y ai vu un truc mortifère, des gens entre eux, à moitié zombi, qui ne se voient pas. Parce que finalement ce groupe est une secte, et que le trajet du film c'est surtout celui vers l'enfermement, le déni du monde, la guerre contre lui, le délire intérieur. Le plan final, pour moi, c'est pas la fin logique du parcours du film, mais le sauvetage in extremis du personnage.
Entre temps, c'est surtout un aveux d'impuissance du réalisateur, écrasé par la dépression, la mort, l'histoire du cinéma (on nous refait quand même, outre Apocalypse Now, Last Days et Tropical Malady). En fait ça m'a fait penser à Takeshi's de Kitano, qui lui aussi fait retour sur son cinéma et le cinéma en général, et se retrouve enfermé là dedans, asphyxié.

Tu dis que le réalisateur filme durant la transe la plénitude, qu'il travaille à alléger son personnage. Mais quand même durant cette transe il y a de la violence, de la solitude, un oubli du monde pas du tout apaisé je trouve, plutôt une fuite en avant. Et après c'est tout le poids du cinéma, de la guerre et du délire qui s'abat sur Amalric, une certaine impuissance aussi (je ne sais pas nager), la chute du groupe dans le morbide (le corps qui flotte, le doigt dans le trou de la tête), le repli (il tente de partir, puis revient finalement, pile au moment où le groupe creuse la tranchée et se barricade ("c'est la guerre, on a des ennemis"))... Bref c'est plutôt le mouvement inverse qui se produit.

D'ailleurs c'est aussi le moment où on abandonne le narratif pour partir dans un trip sensoriel, pas du tout ouvert je trouve, un truc plutôt lourd, oppressant. Le plan final est presque incongru en fait, le sursaut du réalisateur qui aime quand même son personnage. Juste avant il faudra passer par une voix off explicative qui dira en quoi le personnage trouve un équilibre. Il faut le dire, l'exprimer avec des mots à ce moment, parce que le film ne sait pas le montrer, la plénitude n'est jamais là, ou alors elle est pathologique ( "Hier je me suis caressé l'avant bras, j'étais bien").

En fait, quand je disais pense-bête, je voulais dire que c'est à partir de ces scènes qu'il aurait pu travailler à faire un film. C'est le début d'un film pour moi. Mais bien sûr quand je dis qu'il ne s'adresse à personne c'est faux puisqu'il le sort son film, puisqu'il l'a fait pour être vu. Et toi tu l'as reçu, il t'a touché, je sais bien que c'est possible (ma copine a aimé par exemple) et c'est tant mieux. Et comme tu dis, ça ne se discute pas. Mais tu décris le film comme quelque chose de presque solaire, un parcours vers la joie, moi j'ai vu un film qui s'enfonce, qui creuse la dépression, qui brûle petit à petit tous les repères narratif pour se perdre de plus en plus dans l'abstrait, qui dit "De La Guerre" mais qui refuse en fait de se battre contre ce penchant. Et puis au final il contre-dit ça, mais presque comme un repentir.

Il est intéressant ce film, mais pour moi c'est un passage vers autre chose, une crise qui j'espère ouvrira Bonello à un autre cinéma, un cinéma qui questionne et parle du monde plutôt que d'en avoir peur.

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MessagePosté: 19 Oct 2008, 15:38 
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Jiko a écrit:
Dans De La Guerre j'y ai vu un truc mortifère, des gens entre eux, à moitié zombi, qui ne se voient pas. Parce que finalement ce groupe est une secte, et que le trajet du film c'est surtout celui vers l'enfermement, le déni du monde, la guerre contre lui, le délire intérieur. Le plan final, pour moi, c'est pas la fin logique du parcours du film, mais le sauvetage in extremis du personnage.
Entre temps, c'est surtout un aveux d'impuissance du réalisateur, écrasé par la dépression, la mort, l'histoire du cinéma (on nous refait quand même, outre Apocalypse Now, Last Days et Tropical Malady).


Je suis d’accord sur le fond, la plénitude dont je parlais plus haut est accompagnée logiquement par sa face obscure, le cinéaste ne fait pas l’apologie de ce fonctionnement qui renforce encore plus le processus de retirement du monde. Mais cette séquence est particulièrement marquante pour moi, justement car Bonello se met en scène, et il passe de la douleur lors de cette danse, de la douleur de filmer et de raconter une histoire, le cinéaste filme cette pulsion qui l’amène à commencer un film pour en partir loin. Il y a quand même , comme tu dis, cette prise de conscience du côté obscur de la chose. Du coup cette fin n’est pas un sauvetage in extremis pour moi, mais bien une finalité logique, la plénitude, la réelle plénitude, il ne peut l’avoir que entouré du monde, je ne vois pas ça comme un simple sauvetage car il aime son personnage. Il modifie sa perception du monde, en écoutant Bob Dylan (ce qui offre un retour au début du film, ce qui indique que le film n’est pas une boucle mais une ligne, la présence de Dylan n’est pas la même au début et à la fin, on passe de la citation à la véritable interaction de la musique dans la sensorialité du film… je trouve ce dernier plan formidable).

Oui, le rapport citationnel est étrange, le concept de palimpseste (je reprends le terme de Genette car je trouve que c’est celui qui correspond le mieux pour le coup) est exposé de manière grossière ; On a l’impression de voir les films originaux sans leur chair du fait qu’ils sont repris, les deux couches d’écriture sont totalement visible. Le personnage cinéaste, ainsi que Bonello, s’émancipe d’un trop gros poids des références, ces dernières mangent radicalement le film en cours (là Bonello s’approche d’un autre type d’expérimentation, du quasi foud footage)… Bonello fait un film toujours en train de se perdre visuellement, et c’est comme ça qu’il fait participer le spectateur à son égocentrisme. Tout passe par le visuel, comme je l’ai dit précédemment. Le poids sur les épaules ou sur l’esprit va être mis en scène, mis en fiction, en mini fiction qui parcourent le film, plutôt que d’être simplement exprimées par un personnage en crise. C’est couillu et beau à mon sens, Bonello ne se contente pas de faire un film expérimental, il se permet de mettre en scène les origines et l’essence de ces expérimentations, de former une base solide qui permet la réception.

En bref quand je disais plénitude je ne niais pas la violence, la guerre intérieure, c’est juste un passage de prise de conscience, une étape de la guerre.

Sinon oui la voix off je ne comprends pas trop, j’ai trouvé l’apparition de Piccoli too much aussi… quelques truc comme ça qui m’ont sorti du délire que je trouvais si beau.


Jiko a écrit:
En fait, quand je disais pense-bête, je voulais dire que c'est à partir de ces scènes qu'il aurait pu travailler à faire un film. C'est le début d'un film pour moi. Mais bien sûr quand je dis qu'il ne s'adresse à personne c'est faux puisqu'il le sort son film, puisqu'il l'a fait pour être vu. Et toi tu l'as reçu, il t'a touché, je sais bien que c'est possible (ma copine a aimé par exemple) et c'est tant mieux. Et comme tu dis, ça ne se discute pas. Mais tu décris le film comme quelque chose de presque solaire, un parcours vers la joie, moi j'ai vu un film qui s'enfonce, qui creuse la dépression, qui brûle petit à petit tous les repères narratif pour se perdre de plus en plus dans l'abstrait, qui dit "De La Guerre" mais qui refuse en fait de se battre contre ce penchant. Et puis au final il contre-dit ça, mais presque comme un repentir.


On peut le voir comme le début d’un film, comme la genèse de quelque chose en effet, mais ce n’est pas contradictoire avec une fiction complète. Bonello fait de cette période de gestation son sujet justement, et c’est un sujet complet et profond qui appelle à beaucoup de traitement justement, c’est un sujet qui m’intéresse beaucoup et que je trouve peu traité. Bonello choisit d’en faire une quasi auto-fiction, ce qui me séduit d’autant plus.

Non je ne présentais pas le film comme quelque chose de solaire ou d’enchanté, j’ai trouvé le film très triste et il m’a beaucoup touché, mais je comprends pourquoi tu as cru ça en me lisant, c’était juste incomplet je crois, je réagissais surtout sur le fin, car ça, cette finalité est quand même quelque chose que je n’attendais pas de Bonello ; cette fin que tu trouves si anodine ou gratuite je trouve que tout le film nous y amène…

Donc oui le prochain film sera surement différent, mieux je ne sais pas, mais recentralisé sur un récit cinématographiquement plus précis, c’est possible. On verra bien.

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MessagePosté: 19 Oct 2008, 17:25 
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Je comprends. C'est pas comme ça que j'ai vécu le film mais je comprends.

En fait, là où je lâche le film, c'est là où tu commences à l'aimer (pour faire vite).

Ça me va.

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Pré Carré


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MessagePosté: 19 Oct 2008, 22:39 
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jiko a écrit:

En fait, là où je lâche le film, c'est là où tu commences à l'aimer (pour faire vite).

Ça me va.


Oui c'est un peu ça, c'est vrai. Ca me va aussi, ça allait depuis le début en fait, j'ai juste pris le chemin que m'offrait ton texte pour parler du film. Dès fois on a besoin d'un tremplin. :wink:

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MessagePosté: 20 Oct 2008, 00:11 
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the black addiction a écrit:
Dès fois on a besoin d'un tremplin. :wink:


Ou d'une chatte !

(c'était l'instant frustration de Tetsuo)

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MessagePosté: 20 Oct 2008, 00:16 
Tetsuo a écrit:
(c'était l'instant frustration de Tetsuo)

Bienvenue au club.


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MessagePosté: 20 Oct 2008, 09:33 
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Tetsuo a écrit:
the black addiction a écrit:
Dès fois on a besoin d'un tremplin. :wink:


Ou d'une chatte !

(c'était l'instant frustration de Tetsuo)


Tu fais chier de pourrir tous les topics !!!!

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MessagePosté: 20 Oct 2008, 09:58 
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the black addiction a écrit:
Tu fais chier de pourrir tous les topics !!!!


Tu devrais être content, c'est ma manière à moi de vous montrer que même si je participe pas, je vous lis quand même.

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MessagePosté: 20 Oct 2008, 10:05 
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Oui oui et tu réagis sur la phrase la plus intéressante, c'est vrai, merci.

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MessagePosté: 20 Oct 2008, 10:06 
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