Forum de FilmDeCulte

WOW.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Quelle horreur... Et Lelouch, Bradoué, Carion en plus, qu'ils aillent se cacher, c'est pas possible ! Ils se sentent pas un peu con de venir faire la morale à un cinéaste dont ils auront jamais 1/1000è du talent ?

C'est même pas la question vu que pour certain, ça pourrait être discutable. Mais c'est surtout l'association de noms qu'on n'entend quasiment plus, qui sortent de fond des âges. des Dante Desarthe, des Beinex (dernier film en 2001), Philipe Muyl, Gérard Krawczyk, Artus de Penguern... Même Jolivet que j'aime beaucoup, il est au fond du trou. On dirait vraiment la gueulante d'une maison de retraite.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Ils étalent leur jalousie au grand jour, stou.

Ils se sentent forts, quoi. Puissants. Ils bandent.

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I am the constant. You were always a variable.

Lars Von Trier règle ses comptes:

http://www.courrierinternational.com/ar ... s-explique

Il se défend très bien. Et j'adore la réponse :

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Bah, ils disent "nazi" comme on dit "chleus" ou les ricains "fritz", quoi, en fait.

Pour les valeurs du romantisme allemand, ce qui a été repris c'est tout le délire sur les origines de la race aryenne, rapport aux histoires qui ont été remises au goût du jour au XIXeme siècle, par exemple Wagner avec Die Walkure, toute la mythologie sur Siegfried, les Nibelungen, l'Or du Rhin, etc...

La race aryenne est sensée descendre de ces fiers guerriers germaniques descendant des scandinaves quoi (rappelons qu'Hitler était fan de Wagner).

Qu'on me contredise si je dis trop de conneries, mais les nazis se voyaient comme une sorte de "seconde renaissance" remettant en valeur les goûts antiques (donc néo-classique au possible) mâtinée de romantisme à l'allemande (du grandiose, donc, plus que du mélancolique)

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I am the constant. You were always a variable.

Mince, le HSS est un petit cru un peu anecdotique, avec de beaux moments, mais bon, petite déception quand même

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Oui, j'ai trouvé ça assez mineur aussi, mais de toute façon avec HSS, chacun a son préféré.

Ce qui m'a le plus surpris et déçu c'est le relâchement de la mise en scène, un manque de précision en fait, un côté "ah oui là je dois zoomer, c'est vrai, je suis HSS..."
Bizarre...

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C'est ce que je craignais... Il tourne trop vite, là.

(Je vais passer pour un con, m'enfin ça me changera pas trop... on parle bien de Hong Sang Soo ?)

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I am the constant. You were always a variable.

Je pense, oui.

yep