Forum de FilmDeCulte

C'est quoi toutes ces affiches américaines même pour des films français ?

Sinon, vous faites peur avec vos années à 400 films. Je sais pas comment vous faites, surtout ceux qui ont des gamins...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Putain, j'étais sûr que quelqu'un ferait la remarque.
J'ai pris les affiches sur letterboxd pour avoir une uniformité de taille et m'éviter les recadrages/découpages.
Et je trouvais pas forcément mon bonheur sur allociné.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

BILANS CINEMA : 2023 I 2024

Les découvertes en salle, avec le top :



Forcément, les trois Sean Baker.
Tangerine, Florida Project, Red Rocket.

Mais aussi deux Ozu sur les trois vus (Femmes et Voyous et Il était un père), deux Ophüls (Madame De... et Sans lendemain) parce que le dernier, je le connaissais, et The Hand, le sketch étiré de Wong Kar-wai pas ouf mais comme ça, j'en avais 10.

Et deux bonnes claques qui respirent la joie de vivre : Le Grand Silence et Adieu, ma concubine

Sinon, découverts également en salle :
Rouge (bof)
Lady Vengeance (ok)
Récit d'un propriétaire (mouais)
Senso (zzz, mais respectueux)
Madame Bovary de Chabrol (ok)
Profession : Reporter (dieu que les sièges de mon ciné sont inconfortables)
La Colline a des yeux (quel tocard, ce Wes Craven)


Les rattrapages de 2023 qui ne changeront rien à l'estimation de l'année précédente :
Knock at the Cabin
Dream Scenario
Past Lives
Air
L'enlèvement
Chien de la casse
American Fiction
The Covenant
Suzume
et
Migration qui était bien cool.

Sinon, découvertes au chaud : on a fini pour le meilleur (Sam Fuller) et pour le pire (Scorsese) des filmos. On a continué d’autres filmos (King Hu, Mankiewicz et Hirokazu Kore-eda) et on a dû se farcir plein de Ghibli parce qu’on est un père formidable.



Les dix premiers sont le top du top, les cinq suivants sont choisis parce que le plus mémorable.

The Pleasure of Being Robbed (Josh Safdie, 2008)
Le Dernier des hommes (F. W. Murnau, 1924)
Heroes of the East (Liu Chia-liang, 1978)
Long Arm of the Law (Johnny Mak, 1984)
Les fleurs et les vagues (Seijun Suzuki, 1964)
Hitokiri, le châtiment (Hideo Gosha, 1969)
The Heartbreak Kid (Elaine May, 1972)
Après la tempête (Hirokazu Kore-eda, 2016)
Une affaire de famille (Hirokazu Kore-eda, 2018)
Nausicaä de la Vallée du Vent (Hayao Miyazaki, 1984)

Le Silence de la mer (Jean-Pierre Melville, 1949)
Le Livre noir (Anthony Mann, 1949)
Sons of Good Earth (King Hu, 1965)
Knockabout / Le Maître intrépide (Sammo Hung, 1979)
The Slumber Party Massacre / Fête Sanglante (Amy Holden Jones, 1982)


Sinon, dans les films très appréciés :
Les Bonnes étoiles (Hirokazu Kore-eda, 2022)
Alice, Sweet Alice (Alfred Sole, 1976)
Odd Couple (Lau Kar-wing, 1979)
La Rosière de Pessac (Jean Eustache, 1979)
Kiki la petite sorcière (Hayao Miyazaki, 1989)
Guêpier pour trois abeilles (Joseph L. Mankiewicz, 1967)
Paris is Burning (Jennie Livingston, 1990) faut juste avoir envie de se farcir Got to be Real 150 fois.
La Vengeance du dragon noir (Joseph Kuo, 1978)
Le 7e voyage de Sinbad (Nathan Juran, 1958)
Fantômas (Louis Feuillade, 1913)
Juve contre Fantômas (Louis Feuillade, 1913)
Les rebelles du Dieu Néon (Tsai Ming-liang, 1992)
La servante (Kim Ki-young, 1960)
Beyond Outrage (Takeshi Kitano, 2012)
As tears go by (Wong Kar-wai, 1988)
Ponyo sur la falaise (Hayao Miyazaki, 2008)
Full Contact (Ringo Lam, 1992)
Une vie violente (Thierry de Peretti, 2017)

Sympas :
Les promesses de l'ombre (David Cronenberg, 2007)
La maison des étrangers (Joseph L. Mankiewicz, 1949)
All the King's Men (King Hu, 1982)
Pirates et Guerriers (King Hu, 1975)
In Hell (Ringo Lam, 2003)
Thanksgiving (Eli Roth, 2023)
Joe (John G. Avildsen, 1970)
Les voleurs de la nuit (Sam Fuller, 1984)
Dead Pigeon on Beethoven Street (Sam Fuller, 1972)
Le Baron de l'Arizona (Sam Fuller, 1950)
Night Moves (Kelly Reichardt, 2013)
Le Diable en Boîte (Richard Rush, 1980)
Painted Skin (King Hu, 1992)
Long Arm of the Law II (Michael Mak, 1987)
Le royaume des chats (Hiroyuki Morita, 2002)
Pearl (Ti West, 2022)
The Third Murder (Hirokazu Kore-eda, 2017)
River of Grass (Kelly Reichardt, 1994)
Les Éternels (pas le marvel, l'autre) (Jia Zhangke, 2018)

Bof à non :
Drive my Car (Ryūsuke Hamaguchi, 2021)
Le Magicien (1926, Rex Ingram)
Steak (Quentin Dupieux, 2007)
X (Ti West, 2007)
Énorme (Sophie Letourneur, 2019)
Caché (Michael Haneke, 2005)
Old Joy (Kelly Reichardt, 2006)
Spéciale Première (Billy Wilder, 1974)
Stoker (Park Chan-wook, 2013), mais faudrait que je le revois, je pense pas avoir tout pigé
Arietty et le petit monde des chapardeurs dépressifs (Hiromasa Yonebayashi, 2010)
Pleasure (Nina Thyberg, 2021)
Quai d'Orsay (Bertrand Tavernier, 2013)
Carnage (Tony Maylam, 1981)

Le complétisme, c'est compliqué :
The Fourth War (John Frankenheimer, 1990)
The Impossible Object (John Frankenheimer, 1973)
Rich and Strange (Alfred Hitchcock, 1931)
Une nuit mouvementée (Mario Bava, 1971)
Silence (Martin Scorsese, 2016)
Hugo Cabret (pffff, 2011)

Je n'avais donc rien raté :
Benny's Video (Michael Haneke, 1992)
Ratatouille (Brad Bird, 2007)
Roubaix, une lumière (Arnaud Desplechin, 2019)
Bones and all (Luca Guadagnino, 2022)
Sans filtre (Ruben Östlund, 2022)

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Dans ma liste aussi. Un petit bijou d'action et d'humour, entre screwball comedy et arts martiaux.


1.
Shura (Matsumoto)
La momie (Abdel Salam)
Chefs d'oeuvre.

3-20.
La vie d'un tatoué (Suzuki)
RRR (Rajamouli): le film le plus divertissant vu depuis des lustres
Heroes of the east (Liu Chia-liang):
Ran (Kurosawa): hyper impressionné.
Une femme mariée (Godard)
Peterloo (Leigh): jamais sorti ici, ni en salles, ni en dvd ni sur plateforme: une vraie injustice car c'est super. Un équivalent des caricatures de Daumier, en plus d'une analyse de la prise de parole politique.
Il ferroviere (Germi): mais Les Chemins de l'espérance et Au nom de la loi, c'est bien aussi
Le mont Fuji et la lance ensanglantée (Uchida)
The sword of doom (Okamoto)
Shin Godzilla (Anno, Higuchi)
Rouges et blancs (Jancso)
Battleship island (Ryoo)
Au nom du peuple italien et Cher papa (Risi)
Il posto et Le temps s'est arrêté (Olmi)
Aferim (Jude)
His girl friday (Hawks)

J'ai regardé beaucoup de films HK, japonais, italiens (immenses lacunes) et quelques films indiens (là je pars de zéro).

"Immenses lacunes" mais les réals que tu cites, y en a j'en ai jamais entendu parler

Pareil.
Sans doute des réalisateurs très connus dans leur pays.
(dédicace aux anciens de FDC)

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Mais viens porter la bonne parole, mon bon.

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Risi (Le Pigeon, Le Fanfaron, Les Monstres), Olmi (Palme d’or pour L’Arbre aux sabots), Germi (Divorce a l’Italienne, critique postée par bibi l’année dernière), ce ne sont pas des reals italiens obscurs.

Peterloo (Leigh): jamais sorti ici, ni en salles, ni en dvd ni sur plateforme

je le guette tellement lui

Je parlais plus des Japonais, mais hormis Risi, les autres italiens je n'en avais jamais entendu parler

Preuve supplémentaire que tu ne me lis pas,

Faut dire à Frémaux de se faire un autofestival des films qu'il a refusés à Cannes.

Letterboxd est très utile pour ça: dès que je lance une recherche du type "films japonais/ italiens/ HK... les mieux notés", je m'aperçois que je ne connais rien en dehors du top 10...

Le topic m'avait échappé. Mais comment s'y retrouver si "中華丈夫" (Mari chinois) se traduit par "Heroes of the east", "Shaolin contre ninja", "Les démons du karaté" ou "Tormenta de kung fu en el paraíso"?

Quel est ton pseudo Letterboxd (et Julien Lepers aussi) ?

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CroqAnimement votre

Dernière découverte en 2024 avec Topology of sirens de Jonathan Davies, film indie américain sorti en 2021 et issu du collectif Omnes (Tyler Taormina, Carson Lund). Carson Lund est d'ailleurs crédité au montage et à la photo (très belle). Omnes semble un peu fonctionner comme El Pampero Ciné mais en version états-unienne...
Comme ses copains du collectif, Jonathan Davies déroule une micro-intrigue où le récit n'est pas le moteur principal de l'intérêt que suscite le film, ici autour d'une femme qui découvre chez sa tante décédée des cassettes mystérieuses planquées dans un hurdy-gurdy. La fin est vraiment très belle.
Une belle découverte avant de découvrir Eephus, le premier film réalisé par Carson Lund.

Je n'ai pas encore de compte.