Hop :
Devil Hunters (1989) de Tony Lou Chun-Ku : vaut surtout pour la cascade finale qui
.
Le Couteau de Glace (1972) de Umberto Lenzi : complètement oubliable
Un château en enfer (1969) de Sydney Pollack : n'importe quoi.
Underwater (2020) de William Eubank : sympa, dommage que le gloumoute soit moche.
The Equalizer 2 (2018) de Antoine Fuqua : je vous juge pas alors me jugez pas... mais je trouve pas ça totalement nul.
Zoulou (1964) de Cy Endfield : super
The Dragon Fighters (1990) de Tony Lou Chun-Ku : le retournement dramatique au milieu du film est assez mémorable
The Saviour (1980) de Ronny Yu : glauque
Wedding Nightmare (2019) de Ingmar Bergman : ça aurait pu être sympa mais ça se casse la gueule au milieu
Elmer Gantry, le charlatan (1960) de Richard Brooks : trop long
You Were Never Really Here (2017) de Lynne Ramsay : malgré les touches "film de festival", assez réussi
Palm Springs (2020) de Max Barbakow : affreusement pas drôle mais l'actrice est très chouette.
Eastern Condors (1987) de Sammo Hung : un peu bancal, pas mon Sammo Hung préféré
Shanghai Express/
Blonde Venus (1932) de Josef Von Sternberg : j'ai nettement préféré le deuxième au premier (d'autant que j'avoue pas trop me souvenir du premier à part les négociations), avec ses montagnes russes de la fortune.
L'homme H (1958) /
La Bataille interplanétaire (1959) de Ishiro Honda : super
Une question de vie ou de mort (1945) de Michael Powell et Emeric Pressburger : faut accepter le Paradis œcuménique mais ça a un joli message
L'ombre d'Emily (2018) de Paul Feig : Gone Girl en nul (déjà que l'original, bon...)
I Know Where I'm Going (1945) de Michael Powell et Emeric Pressburger : trop mignon
Blue Film Woman (1969) de Kan Mukai : sans intérêt
The Fountain (2006) de Darren Aronofsky : quand il est 2h du mat et que t'es trop crevé pour zapper
Déviation mortelle (1981) de Richard Franklin : c'est vraiment pour les acteurs et le décor australien
Cati (1968) /
Don't Cry, Pretty Girls (1970) /
Binding Sentiments (1969) /
Neuf mois (1976) /
Elles deux (1977) de Márta Mészáros : complètement adoré tous les films sans exception : tellement que j'ai du mal à me lancer dans les autres de peur d'être déçu. C'est du cinéma de la rage : la vie est un combat.
Parrain d'un jour (1988) de David Mamet : super touchant, étonnant pour du Mamet.
Trap Street (2013) de Vivian Qu : flippant
Defendor (2009) de Peter Stebbings : on me l'avait conseillé
A Cappella (2013) de Lee Su-jin : plombant
Miss Lovely (2012) de Ashim Ahluwalia : contexte hyper-passionnant. Il a fait un film dispo sur Amazon qui est assez nase par contre (pas été jusqu'au bout).
Nosferatu (1922) de Friedrich Wilhelm Murnau : oui
Folies de femmes (1922) de Erich Von Stroheim : oh oui
Paranoid Park (2007) de Gus Van Sant : c'est comme un épisode de New York District mais du point de vue du coupable
Caine (1969) de Samuel Fuller : j'avais vraiment peur de le voir et c'est vraiment pour le complétisme mais j'ai trouvé ça assez plaisant malgré tous les problèmes
J'ai vécu l'enfer de Corée (1951) de Samuel Fuller : oui, je le conseillerai plus que le précédent.
Born in Flames (1983) de Lizzie Borden : le meilleur film de Kathryn Bigelow vu qu'elle le réalise pas
Brightburn (2019) de on-s'en-fout : à chier
Tout l'argent du monde (2017) de Ridley Scott : vaut mieux regarder Faites entrer l'accusé
Grave (2016) de Julia Ducournau : ça passe, mais je la soupçonne de désaper ses actrices pour faire passer plein de trucs nuls
Wind River (2017) de Taylor Sheridan : chouettos
Mes funérailles à Berlin (1966) de Guy Hamilton : j'étais dans une période "guerre froide"
Ocean's Eight (2018) de Gary Ross : moins nul que ce à quoi je m'attendais
Richard Jewell (2019) de Clint Eastwood : l'invraisemblable vérité. J'ai bien aimé.
La Cible hurlante (1972) de Douglas Hickox : top
Angoisse (1944) de Jacques Tourneur : pour compléter Tourneur mais c'est trop bordélique
Inherent Vice (2014) de Paul Thomas Anderson : peut-être le seul du réal que je n'aime pas, lâché en cours de route.
Rien ne va plus (1997) de Claude Chabrol : "on se fait quand même un peu chier" (Serrault dans le film)
Cure (1997) de Kiochi Kurosawa : non
Deaf Mute Heroine (1971) de Wu Ma : à un moment donné, l'héroïne (sourde et muette, donc) se sert du corps d'un ennemi comme dossard pare-balles, et c'est grandiose.
The Master (2012) de Paul Thomas Anderson : chouette et triste
Le Dernier pénitencier (1973) de Stephanie Rothman : mériterait un remake
Punishment Park (1971) de Peter Watkins : pfffffffffff *bruit de baudruche qui se dégonfle*
Les Mains qui tuent (1944) de Robert Siodmak : beau cadeau de Noël
donc, top (complètement au pif)
1. Folies de femmes
2. Elles deux
3. La Cible Hurlante
4. I Know Where I’m Going
5. L'Homme H
6. Blonde Vénus
7. Nosferatu
8. The Master
9. Zoulou
10. Les Mains qui tuent