Forum de FilmDeCulte

J'ai pas dit que c'était neuf. Je me demandais si ce n'était pas eux à l'origine de la blague résumant leur opinion du film. Ou libé ?

Des bons torchons quoi

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Netflix les gars, Netflix.

Revu ce film que j'adore y a deux ou trois mois, voilà ce que j'en disais vite fait:

Revu Conan le Barbare hier, et bordel, j'ai pas été déçu.

Hallucinant film halluciné sur la sauvagerie de la guerre et ce monde sans pitié avec ses héros qui n'en sont pas, qui tuent et volent à tout va.

Quel plaisir de voir un film aussi brutal que 1er degré.accompagné d'un lyrisme guerrier et une B.O. parfaite de Poledouris.

Un film qui a un goût de fin du monde et est bien plus intelligent qu'on pourrait le croire.

La réal et l'écriture de Milius (et Stone pour l'écriture) sont absolument parfaites et je rêve de son "Old Man Conan" qu'on ne verra jamais.

Et putain, pas étonnant qu'il m'ait autant fasciné quand je l'ai découvert à 5 ou 6 ans, y a tout dans ce film: de la bagarre, de la sorcellerie, de la camaraderie, de la violence, des hommes serpents!

Gavage absolu. Je conseille.

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Et je l'avais dit ici sur les bouquins de Howard et le redis pour le film: c'est dingue comme Howard/Milius/Conan me rappellent Jack London.

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Le film avec les jumeaux teubés et Michael Berryman, The Barbarians ?
Oui, c'est un nanar absolu. Très marrant.

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N'écoutez pas Film Freak

Ah c’est de celui-là qu’il parlait ? J’avais beaucoup aimé à l’époque, c’était assez drôle. Mais je préfère ne pas le revoir.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
Commande | Site perso

Oui c'est juste complètement débile, de l'aveu de Deodato lui-même.

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N'écoutez pas Film Freak

Redécouvrir Conan le Barbare sur grand-écran, c'est rencontrer le Cimmérien sur son territoire d'élection : celui du mythe et des récits qui élargissent le cadre dans lequel ils sont contés.
Une chouette émission qui revient sur le choc rétinien que constitue l'expérience du film de John Milius en salles obscures.https://www.youtube.com/watch?v=kRXRYfTX-rM

Et je l'ai revu et ce fut un plaisir. Je suis totalement re-rentré dedans (le film hein). Le rythme est tellement atypique, à la fois hyper sec dans son intrigue mais dilaté dans sa cadence, étalant le temps jusqu'à l'extrême sur des moments-clé. Il y a un contraste entre d'un côté cette aridité expéditive dans l'histoire et la caractérisation et de l'autre ces répliques sentencieuses et lyriques, doublées du score opératique de Poledouris, qui fonctionne à fond.

Finalement c'est pas étonnant que ce soit Richard Fleischer qui ait fait le 2 tant celui-ci ressemble presque à un film des années 50 dans son rythme, sa mise en scène carrée et posée...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Quand tu l'as vu au même âge que Sattouf, le délire autour du film dans la BD est encore meilleur. Même sans jamais avoir été fan du film comme lui.

Et bien moi je suis comme Cow Boy, grosse incompréhension de mon côté.

J'ai plusieurs fois franchement rigolé devant le ridicule de certaines scènes (avec en point d'orgue la scène WTF avec la sorcière), la voix-off est lourde, c'est chiant, c'est vulgaire... Matté en deux fois car au premier essai je me suis endormi en 15 min.

1-2 / 6

Ca fait deux fois en un an que je le lance en me disant "allez, c'est pas si chiant...". Ce coup-ci j'ai tenu jusqu'à la sorcière qu'il jette dans le feu, en ayant failli lâcher à la scène de la découverte de la crypte et son squelette à épée.

Il y a constamment 5 longues secondes de trop, partout. Minimum. Du travail d'Howard, ce Conan lorgne plus vers les nouvelles ayant Kull pour protagoniste, l'éxilé d'Atlantis devenu roi d'une terre étrangère. Un peu plus introspectives (même s'il y a de la baston), plus posées aussi. Elles ont servi globalement de brouillon au personnage et aventures de Conan. Thulsa Doom en est un transfuge direct, aussi.

Mais chez Howard ça fuse, ça swingue, c'est cash et percutant, c'est l'alpha du genre là où Tolkien en est l'omega.

J'ai beaucoup de mal à accepter qu'à partir d'un corpus aussi dynamique et straight to the point, qui sert tout sur un plateau aux faiseurs d'images qui s'y intéresseraient, y compris en matière de rythme, on se retrouve en effet avec un film au rythme de western boursouflé et fatigué des 70's genre Peckinhpah période Par Garrett & Billy the Kid. Niveau contraste pas flatteur, on est au niveau des James Bond.

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Looks like meat's back on the menu, boys!

toujours adoré ce film.

C'est un vrai ce Müller.

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Netflix les gars, Netflix.