Forum de FilmDeCulte

Le pire du nanar chinois d'académisme balourd... la dynastie Tang, ses rébellions d'opérette, Gong Li et ses peignoirs en contreplaqué qui tire une tronche épouvantable pendant tout le film placé sous le signe du festival de la chrysanthème, ses pirouettes câblées de commandos de ninjas qui vivent suspendus au plafond. Très en dessous des poignards volants.

1/6

J'ai justement trouvé meilleur que le précédent.

ça doit être un film pour les littéraires.

Et pour ceux qui s'emmerdent devant Hero mais qui ont kiffé Les Poignards Volants?

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

ça dépend si tu es un CSP+. C'est plus un vieux film ronflant à vestibule pourpre et sans scène de douche avec Colin Farrell, donc rien à voir avec la frénésie des poignards boomerang.

Un quoi?


Oh nuuul.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Catégorie Socio Professionnelle Supérieure.

DPSR ferait il du market?

Non, il consulte. Et tous azimuts.

CAPA?

15 µF ?

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Sim
[url=http://simsrest.blog.lemonde.fr]Ce sera surtout l'occasion de rencontrer le gratin cairote.
[/url]"Le fil politique est souvent source de frustration et d'incompréhension.
Le fil du slip aussi, cela dit." Chlochette

Très bonne et improbable surprise pour ma part.

Je n'aime pas Hero qui laisse énormément de place à l'action, action que je trouve justement bien foirée. Je trouve Zhang Yimou proprement incapable de filmer ses combats, et son recours systématique à la pose et au ralenti ne mettent en valeur que les effets numériques à goutte d'eau qui ralentit et son amour pour lui-même avec ses saltos arrêtés. Mais du nerf du combat, il n'y en a pas.

Les Poignards, je m'en souviens plus bien, c'était à mes yeux essentiellement niais et chiant. Et toujours aussi pompeux.

La Cité interdite, c'est encore plus pompeux. Mais au service de quelque chose. Le récit me semble bien plus solide, bien mieux mené, bien plus fluide. Les quelques scènes d'action, comme l'attaque de la famille du médecin, et la poursuite qui suit, sont davantage mises en valeur, et ici particulièrement soignées, sans donner dans le ballet esthétisant à la con. Je trouve qu'il y a un bon souffle de cocotte minute shakespearienne qui porte tout ça. Ca c'est une chose.

La seconde...mamma mia! Je sais pas vraiment si je l'aime au premier ou au 115e degré (le frère souffreteux est vraiment épouvantable), mais alors le trip Famille Ferrero vomissant l'or (putain la photo de famille qui scintille), ta Gong Li en pyjama doré, que j'ajoute les faux ongles (dorés) de Gail Devers, puis les 36 peignes-mikado (toujours en or forcément) puis les 36 robes et *pic du pic* le coucou autrichien en or sur la tête où tu attends juste qu'un oiseau sorte dans un jet de rubis, c'est un vrai bonheur. C'est un peu comme Mel Gibson, où tu sens qu'il jouit vraiment à filmer le sang qui gicle, là tu sens le Zhang jouir dans son or. Alors ça t'en tartine dans tous les sens, les ninjas sortent de partout tout le temps, le moindre filtre à café explose tout Place Vendôme, on te fait défiler des petites Lu Chen juste pour qu'on puisse voir le feu d'artifice exploser derrière elles...le trip mégalo-pharaon à surenchère atteint ici son sommet et tu te demandes, c'est quoi le prochain, un film de combats entre des dieux et des dragons?

4-5/6

Sinon bravo à la traduction du titre, après Une jeunesse chinoise, après La Cité interdite, je propose La Muraille de Chine pour Still Life et Quand la Chine s'éveillera pour Le Mariage de Tuya.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Complètement fadasse et affreusement toc. Gong Li fait la gueule pendant tout le film et c'est contagieux.

1/6

Proprement soporiphique.....
Des persos chiant comme la mort avec des acteurs au diapason.
Une réal pompeuse
une histoire chiantissime éventée des le début.
Tout juste réhaussé par des combats interessant (enfin surtout l'attaque de la maison du docteur car les derniers sont justes soualants).

0.5/6

NEEEEEEXXXXXXTTTTTT !!!!!!!

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Okay, alors ça passe ou ça casse... Eh ben c'est pas passé. Le trip visuel (les couleurs, la baroque, les plans purement graphiques, les séries à la Eisenstein..) ne me dérange pas du tout - respect. Le problème c'est que j'en avais absolument rien à kicker de l'histoire. D'où le blocage. C'est comme ça. Alors on aimerait se raccrocher à l'action, mais il doit y en avoir 20 minutes à tout casser sur tout le film (dont deux ou trois scènes sympa). Bref gros ennui, et moche déception après les Flying Daggers, ce truc jubilatoire qui arrivait justement à conjuguer drame soufflant et action époustouflante. Avant ça, Hero m'avait bien fait chier... Allez, ce sera mieux la prochaine fois.

2/6

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

A fond!! Prévisible, en plus, ça aide pas.

Et ABUS de larmes qui coulent sur la joue (style une toutes les trois minutes).

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"