Forum de FilmDeCulte

De toute façon chaque phrase dans ce film est un régal. Chacun de ses échanges avec Le Chiffre à table, son "Excuse me" à Felix Leiter, son "You noticed", le "Ma'am" lancé à M...

C'est trop, c'est trop... j'adore.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Bon... CE SOIR! *enfin*

Ah c'est sûr. Ici, les persos se parlent. C'est pas une séquence-montage de gens qui font du cheval avec Louis qui meurt derrière.

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Une honte absolue.

Juste absolue.

On a là tous les traits du mauvais critique qui sait pas quoi dire : je prends les scènes une à une pour les tourner en dérision, je trouve ma super idée douteuse pour vanner le film (Couscous Royale...ce mec est payé pour son émission? Payé par Mad Movies? Payé par DVDrama) et je la lâche plus, je me fous de la gueule de quiconque peut aimer en affichant mon mépris et en prenant tout le monde pour un con, etc.

C'est minable. Juste minable. Il aura beau communiquer sa passion sur tous les films qu'il veut par la suite, pour moi, c'est irattrappable. Surtout que même quand il parle d'un film qu'il aime derrière, c'est nase. C'est un foruméen d'Allô Ciné filmé quoi.

Franchement misérable. Ca me donnerait presque l'envie de me servir de lui comme tête de turc dans CHACUNE de mes critiques pour FDC, si seulement j'étais un peu plus immature...et si j'étais moins civilisé, j'irai me foutre de sa gueule à la prochaine projo où je le croise.

A côté, Elisabeth Quin c'est Miss Tolérance. Bon, ok ptet pas.

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Tu comprends pourquoi si un jour je croise Olivier Père, je lui cracherais à quel point je le considère comme la dernière sous-merde humaine...D'ailleurs, c'est pas lui qui avait craché sur A.I.?

C'est lui qui crache sur tous les Spielberg aux Inrocks. J'adore leur ligne éditoriale. Méthode FDC inversée quoi.

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Je sais pas si j'ai encore plus envie de regarder la vidéo ou si je suis tétanisé à l'idée du coup...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Faut que tu la voie c'est mémorable, surtout la façon dont le critique s'enfonce dans sa crasse démonstration totalement en roue libre avec zero objectivité. On sent trop derrière la rédaction Mad en train de se pogner un max d'être les seuls à avoir vraiment compris le flm, sa médiocrité et surtout leur implacable supériorité.

Bah tenez, vous pourrez chatter avec Dahan mardi prochain

Allez on se donne tous rendez vous sur le chat Dahan pour le pourir c'est pas possible autrement !

Ouais, ben voilà, un gros crétin. Sélectionneur à Cannes, ça relève pas le niveau...

Revu le film ce soir... bah je dois avouer que j'ai aimé encore plus, et je trouve que le film fait déjà office de classique de la saga. L'impression d'une très grande fluidité tout du long comme en a rarement un épisode. J'aime beaucoup le final à Venise pour ma part, en particulier les décors de l'immeuble qui s'effondre, le méchant qui sort des sixties... Par contre ce pré-générique ça reste vraiment le seul truc ou je bloque à fond, on dirait un spot de pub pour lancer le film, ça ne construit rien, c'est vraiment trop court et le gunbarrel qui l'achève en fait vraiment de l'empaquetage avec le générique. Et comme celui-ci c'est pas la joie...

La réalisation n'est pas grandiose mais franchement ça se la pète autrement moins que "Goldeneye". Baird a vraiment apporté quelque chose dans le montage qui fait glisser tout ça naturellement: et pourtant la photo de Meheux est parfois atroce , et il y a des bouts de chochoneries comme la copine du Chiffre et Catherina Murino. Enfin c'est difficile de reprocher la mise en scène dans un 007: Glen, Gilbert, Hamilton c'est tout à fait passe-partout. Hunt fait dégager quelque chose de très psychédélique parfois et la mise en scène semble plus goutée , mais le film semble un cas à part dans sa filmo (faut voir "Gold"!). Young fait du solide et du sec sans que ça soit génial non plus. En fait on reconnait plus souvent une continuité esthétique par les scènes de Vic Armstrong, Glen ou Hunt à l'époque, ou via les décors comme ceux de Peter Lamont...

Dans OHMSS ça passe beaucoup par les non dits, le personnages de Rigg est un peu malade... Au fond on est plus touché par elle que par une vraie relation à deux. Ici je trouve qu'il y a de belles choses à ce nivieau mais ça ne fonctionne pas toujours parce que trop bavard peut-être, et surtout à cause des dialogues pompeux et risibles (oh, tiens, Paul Haggis a fait ça). Tu pousses le bouchon pour la comparaison avec Scorupco

Sinon la scène de torture est vraiment l'une des meilleures séquences de la saga, quands Craig et Mikkelsen se marrent tous deux, complètement destroy l'un l'autre, il y a quelque chose qui se crée de très touchant.

D'une manière générale j'adore les scènes avec M ici alors que pas toujours franchement le cas dans l'ère Dench... Il y a de vrais echanges avec Craig on en dirait presque parfois qu'elle remplace un peu Moneypenny ici. Et pourtant c'est mamie Dench et Mr biscotto.

Mais n'importe quoi. Mad n'a rien à voir avec Opération Frisson, faut arrêter les raccourcis mythos à deux francs cinquante (d'autant que y'a des mecs du mag qui ont aimé le film à ma connaissance).

Et decrispez vous un peu, hein, bien sur que c'est de mauvaise foi, et c'est totalement assumé, en vingt minutes pour quatre films tu peux pas faire une dissert comme sur un article papier. J'ai aimé le film, je me suis pas senti insulté par Dahan pour autant, je trouve même, comme Jack Griffin qu'il a pas forcément tort sur certains points (les plan de Caterina Murino sur son cheval qu'il met en exergue est effectivement complètement bidon).

En même temps, tu lis la critique de L'Attaque des Clones dans Mad Movies, c'est le même genre : je casse le film comme un gamin.
Et la critique de Superman Returns par Djoumi sur DVDrama, identique.
Comme quoi...



Et donc t'es obligé de faire ça? Y a pas moyen de faire quelque chose de plus constructif? J'aurai pas aimé le film, ça m'aurait fait chier d'avoir ce mec-là dans mon camp, si c'est pour défendre son point de vue comme ça.



Son intro c'est quand même en sustance "si t'aimes éteindre ton cerveau, que t'attends rien d'autre du'n film d'action, que t'es pas exigeant pour un sou, ce film de merde est pour toi".



Un plan. Un. Super.

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