Forum de FilmDeCulte

Brice est un vieillard qui vit dans un chalet lapon, entourré d'enfants, et se souvient quand il avait la quarataine, il commençait à être fatiqué de lui-même dans sa propre mythomanie et devenait un skieur hors-piste se doublant lui-même. La nouvelle mairie de Nice voulait le chasser de la plage pour faire place nette. Quand tout à coup....

Le film essaye de coller a l'époque 2006-2016 et n'est pas plus con qu'autre chose en présentant les emissions de type Ardisson ou Ruquier comme un trip psychédélique dégradé (Zemmour, Naulleau, Caron, Moix sont aussi des casseurs, le filme joeu sur le fait qu'on n'a plus le club Med mais on a les croisères avec eux) faisant une brève et douce comédie musicale sur la crise écologique, ou fantsamant une hyperviolence qui essaye de retrouver les images d'enfance de Ken le Survivant. Le pitch fait-même une concession à l'extrême droite putativement aux commandes en disant que finalement qu'il avait finalement honte d'être drôle et qu'il ne s'est rien passé (action-élection-contrition).

J'ai tellement rien compris à ce que tu as écrit.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Impossible d'être plus explicite sinon je spoile, le film est un peu trop "méta".

Non il parle de tes phrases qui sont cassées.

Putain mais grave, on comprend RIEN. Et on s'en fout de se faire spoiler, on ira jamais voir cette merde nous !

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Netflix les gars, Netflix.

Vous cassez assez mal en fait. Et ben moi j'ai suivi le conseil de Franco Fortini: être là où se décide son aliénation, c'est tout un art.

Zemmour c'est l'Iron Butterfly de notre génération. Le samedi soir il met 20 minutes à jouer ce qui se compose en 3 minutes, avec un solo d'orgue au milieu. Mais dans son Saintint Laurent Du Pont virtuel Ruquier préparait la fin du psychelisme du samedi et l'arrivée du disco Salut. Si j'ai un enfant qui me demande c'était quoi 2016 je lui montrerai Brice3 pour expliquer la métaphore. Le cinéma recèle toujours le secret de notre temps. et ce film est une ode à Philoppe Muray.
Écrit avec un smartphone.

Je vais te casser d'une façon définitive tant tu me fatigues.

Gontrand, écris ce que tu veux et comme tu l'entends, mais de grâce, relis-toi!! Déjà que c'est incompréhensible, mais si en plus tu fais des fautes de frappes ou d'orthographe...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Paye ton générateur de phrases aléatoires.

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Netflix les gars, Netflix.

Le mec trolle et vous le nourrissez...

PS: j'ai vu le film, j'ai plus sourit que rit...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Hmmm non, c'est pas son genre..

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Vous exagérez. Ce qu'il dit sur le Straub est intéressant (et moins confus qu'ici, paradoxalement). Il essaie au moins d'avoir une analyse originale sur ce qu'il voit, il est pas toujours clair mais c'est pas juste de la parlotte.

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N'écoutez pas Film Freak

J'attendais l'ouverture d'un topic pour voir comment serait reçu ce film ici.

Personnellement, j'ai beaucoup aimé le premier et le second ne pas déçu même si moins bon. J'aime beaucoup le fait que le scénario ne s'embarrasse pas d'explications logiques à pas mal des situations. Le dessin animé central est bienvenu (c'est d'ailleurs inspiré de Dragonball Z et absolument pas de Ken le survivant). Je suis assez hermétique à certains types de comédies américains, je trouve les 3 very bad trip ultra fadasses et j'ai du mal avec les comédies des frères Farrelly.

Comme Qui-Gon Jinn, j'ai plus souri que rit mais je trouve que les délires du film pointent vers une ambiance à la Monthy Python. Le film verse parfois dans l'humour absurde mais ne va pas jusqu'au bout dans ces gags, dommage.

C'est quoi le Straub?

Sérieux ?



Là : fortini-cani-huillet-staub-1976-t28022.html

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N'écoutez pas Film Freak