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qui devient Be bad! pour sa sortie en Septembre



Les aventures sentimentalo-rocambolesques de Nick Twisp, un adolescent amoureux lancé sur les traces de la fille de ses rêves...

Ceux qui s'attendaient à un Adventureland teinté de Superbad en seront pour leurs frais, cette comédie très mineure racontant comment un ado renfermé et gringalet fou amoureux d'une fille va se mettre à péter les plombs en s'inventant un double français, moustachu et badass. Pas déplaisante mais manquant de moments vraiment drôles ou surprenants, le film se laisse suivre sans déplaisir ni excitation avec un Michael Cera toujours et encore sur le même registre minimaliste et souffreteux. Dommage aussi que Steve Buscemi ou Ray Liotta n'aient pas grand chose à jouer pendant ce temps-là.
3/6

aka le futur film surestimé par le bien nommé Prout Man

Encore un "Michael Cera movie" où l'acteur nous ressert son monorôle de nerd amoureux éperdu qui doit s'émanciper un peu pour conquérir l'élue de son coeur.

En cela, le film (et l'interprète) peut se faire assez agaçant par moments mais le film a la bonne idée d'introduire un alter ego vicieux qui permet à Cera de changer un peu de registre et au film de s'éloigner un chouille des autres Michael Cera movies.

Le film a son petit lot de saynètes marrantes mais le rythme est un peu trop relâché à cause d'une structure épisodique malaisée ("quelle va être la prochaine bêtise du protagoniste afin de surmonter ce dernier rebondissement?).

Arteta éveille un peu le tout avec quelques effets de style (les ralentis fonctionnent bien) et des courtes séquences animées (qui apportent un peu d'originalité) mais ça reste assez "facile".

Et le film est donc dans l'ensemble assez convenu - même si j'aime bien l'idée de représenter de manière comique et schizophrène cette "jeunesse révoltée" qui aurait pu être filmé comme du fait divers à la Larry Clark - et la fin drops the ball de manière assez faiblasse.

3/6

PS : film qui sort un an après son passage à Deauville = lose.

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Oui le film est vraiment étonnant dans toute sa première partie, avec une certaine légereté quant au parti pris : on est pas dans l'efficacité à tout prix avec l'alter ego, qui n'apparait finalement que très peu. La structure est également assez étonnante, très éloignée également de ce qu'on pourrait attendre d'une telle comédie vendue comme grand public, alors qu'en fait pas du tout.

C'est vraiment dommage que le final soit si underwhelming... Cera est bon en français.

Ah bah c'est déjà fait en fait, il met 5.

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Et c'est mérité.

Non.

Allez, à dans deux jours pour un 5/6 à American Trip et un futur 6/6à Your Highness

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Jamais vraiment drôle, jamais vraiment irrévérencieux, jamais vraiment touchant, jamais vraiment rien du tout mais toujours entre les deux rives d'un cinéma indépendant totalement formaté dans sa caricature de l'histoire d'amour adolescente de l'Amérique profonde et des ambitieux qui regardent du Mizoguchi (où du Ozu ?) et écoutent du Gainsbourg dans une communauté White Trash caricaturée, elle aussi, jusqu'à l'os.
2/6

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CroqAnimement votre

Mignon, un peu lent et long à démarrer, plutôt émouvant et bien joué même si les acteurs ressassent les mêmes rôles à longueur de film. La fin est jolie.
3/6

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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