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MessagePosté: 30 Nov 2008, 09:18 
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Blissfully a écrit:
En fait, ironiquement, le film va plutôt à l'encontre de ce qui plaît aux Oscars depuis maintenant un bon nombre d'années. Kidman et Jackman, par exemple, il y a 50 ans, ils étaient nommés tous les deux, aujourd'hui, avec des rôles pareils, aucune chance.


je vois ce que tu veux dire pour les acteurs, mais il cherche quand même clairement na nomination de meilleur film...


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MessagePosté: 07 Déc 2008, 22:29 
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Poupée qui fait non
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Billy Hayes a écrit:
Jackman en tros gros poseur (c'est interdit de se laver comme ca ou de débarquer de la sorte en smoking blanc)...


non, ça devrait être que ça pendant 3h même :twisted:

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Janet


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MessagePosté: 07 Déc 2008, 22:30 
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Poupée qui fait non
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Billy Hayes a écrit:
et effectivement le méchant est naze. Physique d'homme de main et charisme de larbin...


mais c'est surtout Faramir, moi c'est ça qui m'a gênée, de voir Faramir débarquer tout le temps !

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Janet


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MessagePosté: 07 Déc 2008, 22:34 
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Poupée qui fait non
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Avis proche de Bliss et 4/6 déçu car c'était un potentiel 6...
Les éléments qui le composent me plaisent mais le film dans son tout est en effet bancal, trop de longueurs ET de raccourcis à la fois, des clichés bien exploités mais qui sont ruinés par d'autres choses... et j'ai toujours du mal avec Nicole Kidman...
L'espoir Oscars est bien mince en effet.

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Janet


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MessagePosté: 24 Déc 2008, 09:42 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Ou comment finir l'année en beauté!

J'ai trouvé ça proprement CATASTROPHIQUE. L'histoire est d’un inintérêt total. La sauce ne prend jamais et l’ennui débarque rapidement pour ne plus nous lâcher jusqu’à la fin. Ça dure 2h40 et c’est iiiiiiiiiiiiiinteeeeeeeeeeeeeermiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinaaaaaaaaaaaaaaaaaaableeeeeeeeeeeeeeee….. Souffrance. La dernière demi-heure, non seulement ça n’en finit pas mais le spectateur a DEUX scènes d’avance – histoire de remuer le couteau dans la plaie.
En clair ce film est un ramassis, une MONTAGNE de CLICHES (min. un par minute) et de PONCIFS (de quoi remplir 3 pages du topic). Mon dieu mais qu’est-ce que je me suis emmerdé, ça me gave même d’en parler. Rajoute à tout ça le bassinage du over the rainbow choix de chanson complètement PAS original, les gros plans (toujours les mêmes) sur les papys aborigènes…
Et puis c’est d’un moche !!! Que ce soient les ralentis pourris, les effets de lumières chelous, les effets spéciaux HONTEUX ou la musique dégueulasse, j’ai trouvé ça d’une grande laideur. Nicole fait pitié, David Wenham encore plus, Hugh Jackman est pas mauvais mais… de toute façon on ne croit pas un seul instant à leur amour. Emotion moins huit mille, évidemment.
Et cette impression aussi que le film a 70 ans de retard.

Donc oui, RIEN à sauver, c’est complètement nul. NUL.

0/6

Ballroom Dancing : pv
Romeo + Juliet : 5/6
Moulin Rouge!: 2/6

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"


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MessagePosté: 24 Déc 2008, 10:16 
lol, je sens que je vais souffrir... :)


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MessagePosté: 25 Déc 2008, 10:31 
Superproduction désincarnée, qui tente maladroitement de revenir à un classicisme rétro mais qui ne fait que l'enterrer un peu plus dans sa tombe. C'est certes spectaculaire mais aussi totalement toc, et on peut pas faire plus artificiel : Lhurmann a eu envie d'en mettre plein la vue, il a oublié d'en mettre plein de vie.

2/6


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MessagePosté: 26 Déc 2008, 23:46 
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On va être gentil, on va dire "film d'un autre temps" pour justifier le classicisme qui tend à la banalité du scénario et les longueurs dues à la volonté d'une dimension épique...parce que c'est pas bien méchant comme film, tu sens le mec sincère et néanmoins conscient de forcer sur l'imagerie (les plans carte postale, l'iconisation de son héros) et qui essaie d'apporter de l'intérêt, de la nouveauté (les aborigènes, leurs coutumes, tout ça).

Mais bon, ça reste trop basique et ça ne s'envole que trop rarement.
La voix off est souvent bien redondante (quand elle est pas limite neuneu vu le narrateur) et la plupart des persos assez caricaturaux (surtout Kidman dans la première demi-heure, cliché de la bourge à la campagne).

En dépit d'un bon nombre d'incrustations foireuses, il reste quelques belles images, une ou deux scènes fortes, les aborigènes, et un bon gros festival Hugh Jackman. Ca fait plaisir à la midinette que je suis.
Jamais n'a-t-il été plus magnifié que dans ce film...dommage que ça ait pas marché, ça l'aurait propulsé star (et j'ai peur que Wolverine ne cartonne pas).

3/6

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MessagePosté: 27 Déc 2008, 19:10 
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Dernière édition par Nijal le 25 Fév 2009, 17:48, édité 1 fois.

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MessagePosté: 29 Déc 2008, 01:00 
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Localisation: Caché avec Charlie
Ça a été dur...

Bon, j'ai pas du tout aimé, je trouve que le réalisateur n'arrive pas à placer du frais dans son film. C'est tellement convenu de partout, c'est Out of Africa sans la classe, c'est Pearl Harbor sans les bombes (pour le bout bombesque), c'est Cold Mountain sans la rage, c'est Gone with the wind sans le fond...

Ca voudrait, mais ça n'y est jamais vraiment. Et la sur-icônisation fait parfois soupiré mode "c'est trop tard là, c'est plus possible" (cf les long plans ralentis sur Jackman notamment). Peut-être que je suis trop froid vis à vis du film, trop distant, je sais pas.

2/6


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MessagePosté: 29 Déc 2008, 09:35 
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Expatrié en tongs
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Inscription: 15 Juil 2005, 17:40
Messages: 14155
Localisation: The Far Side of the World
Etonnemment (ou pas en fait) j'ai plutôt carrément aimé, un peu grâce à ses défauts aussi. Le film fait un peu fake d'un peu partout, ses incrustations un peu ratées, ses plans un peu trop composés, son histoire un peu trop simpliste, sa photo n peu trop artificielle.
Mais j'aime bien les ambitions de Baz Luhrmann, la beauté des espaces et l'implication de ses deux acteurs principaux. Je trouve qu'il y a quelque chose de beau dans tout ça, malgré l'apparente laideur par moment. J'aime ce moment de cinéma totalement naïf et désuet.

Bon de l'autre coté, la naiveté sur le traitement des aborigènes rend le propos un peu limite et c'est parfois bien paternaliste et le personnage de mon pote Faramir pue du total fion à un point...

4.75/6


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MessagePosté: 31 Déc 2008, 19:46 
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Inscription: 24 Nov 2007, 21:02
Messages: 28190
Localisation: In the Oniric Quest of the Unknown Kadath
Deception de l'année avec le Spielberg. Tout y est terriblement raté ou presque. Je craignais que le film ne soit trop académique et sage, ce qui aurait été un moindre mal mais non Luhrmann garde son dynamisme et quelques bribes de sa rage de cinéma mais les utilise tellement mal que ça ne ressemble plus à rien et que tout devient insupportable. Trop de clichés qui auraient dû fonctionner mais qui tombent lamentablement à plat. Trop d'incrustations foireuses et hideuses indignes d'une production à 100 Millions de $. Trop de tout d'ailleurs tellement Luhrmann veut faire une fresque universelle et exhaustive sur son pays mais ne parvient jamais à rendre le tout cohérent.
Le plus gros problème est quand même le scénario dont la première partie se contente de nous raconter l'histoire d'un troupeau de vache qu'on doit mener d'un point A à un point B, ce qu'on fait avec des ellipses honteuses (le passage what the fuck du Never Never) et puis la guerre (certainement beaucoup moins importante) arrive uniquement comme moteur dramatique des deux personnages principaux totalement inintéressants. On rajoute par dessus les cartons sur les enfans aborigènes qui donnent une conscience humaniste au film que par ailleurs il n'a absolument pas. Tout semble brouillon, mal écrit, pas fini, bordélique, les scènes sont individuellement ratées et sans force (gros ratage pour LE moment de bravoure du film avec les vaches qui courent vers la falaise).
Bref presque rien à sauver. Pas même la musique, si bien utilisée dans les deux films précédents du réal - qui en faisait un élément à part entière de sa mise en scène - mais ici totalement anecdotique voire pire, horriblement pompière. Et je ne parle pas de l'abominable chanson du générique de fin...

Du beau gâchis.
1.5/6 (un point et demi d'encouragement pour le prochain)

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CroqAnimement votre


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MessagePosté: 13 Jan 2009, 03:37 
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Dancing Queen
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Localisation: Neverland
A moi à moi... Bon je le dis d'emblée je suis une vendue. On me met Hugh Jackman chez Baz Lhurmann le tout dans les années 40 en Australie, la coupe est déjà pleine...

Alors voilà je mets 5/6 au film parce que je ne peux pas mettre moins même si le film a des longueurs, je me suis régalée de part en part. J'ai adoré le trop plein de clichés surtout autour du personage de Drover, la sauce à la Baz qui prend parfaitement, le contour des acteurs tout illuminés qui fait fausse incrust mais qui justement marche, le jeu de Hugh Jackman et Nicole Nikdman, les grands espaces Australiens.

Ce n'est clairement pas mon Lhurmann préféré mais il marche parfaitement sur moi.

Filmo Lhurmann
1. Romeo + Juliet (6/6)
2. Moulin Rouge! (6/6)
3. Australia (5/6)
4. Ballroom Dancing (4.5/6)

Une vendue quoi.

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MessagePosté: 03 Mai 2010, 11:16 
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Inscription: 18 Aoû 2005, 21:23
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Ho mais c'est assez rigolo en fait ce truc.
Ça accumule pourtant les scènes, les plans et les effets interdits... mais ça fonctionnerait presque, au final. Presque, hein.
Cela dit, si le cahier des charges était de faire une fresque pseudo-historique sous la forme d'un roman photo bidon composé de cartes postales moisies, c'est réussi.


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MessagePosté: 24 Fév 2011, 01:55 
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Teacher

Inscription: 13 Mai 2010, 11:50
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Ah, qu'il me tardait de voir le film qui fit passer Kidman de plus belle femme du monde à botox-mamy à front de Frankenstein !

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Bon, je suis pas atterré comme je pensais l'être, peut-être parce que je m'attendais à un summum d'académisme étouffé dans la minutie de la reconstitution...

Il reste que cette perspective, d'évidence, s'est posée au réal : le film se montre incroyablement angoissé à l'idée de rater son statut de grande fresque marquante, comme si on avançait déjà fatalement en terrain miné, anachronique, dans un combat perdu d'avance. Luhrmann tente d'opposer à cet encroûtage redouté une certaine rage, une flamboyance (malheureusement assez souvent limitée à un boostage de la saturation, sans autre travail formel beaucoup plus réfléchi). Cela parvient à garder le film alerte, mais ne le sauve pas d'un gloubi-boulga indigeste et confus.

L'argent qui semble couler à flot décrispe un peu le projet, tant cela lui confère une aisance dans la façon d'enchaîner les situations d'envergure avec générosité, dans une sorte de trop-plein constant qui a au moins le mérite, dans le déséquilibre et la démesure, de faire vivre un peu le projet au-delà de son programme naphtaliné. C'est cependant aussi un poison : cette espèce de panique à l'idée de rater le "grand film", tout comme une peur manifeste de s'ennuyer (quelle surprise de voir que le cadre de la grande fresque sérieuse ne met finalement pas ce réal très à l'aise), pousse Luhrmann à collectionner toutes les scènes et situations possibles, tous les aspects, décors, lieux, personnages que permettent son sujet - chose encore aggravée par le rôle officiel de "film-réconciliateur-national", qui verrouille d'emblée la possibilité de voir ce récit risquer grand chose, de réellement farfouiller, de proposer une vision personnelle de l'Histoire Australienne que ce long entend englober toute entière.
Ainsi, parce qu'il ne prend pas le temps de semer, parce qu'il n'a pas de patience (le film croule sous les ellipses), Luhrmann n'atteint jamais l'achèvement des grandes fresques : personnages pas assez construits qui doivent se contenter d'archétypes, manque de résistance dans les rapports entre protagoniste, qui aurait idéalement pu cultiver l'émotion (l'un des axes les plus prometteurs du film, soit la relation entre Kidman et l'enfant via une maternité qui va se construire, est d'emblée expédié et réglé).


Le film n'a de toute façon pas les épaules pour une telle ambition. Il y a trop de petites vulgarités, partout : SFX dégoulinants (oh l'animation 3D du titre bien dégueulasse !), rituels aborigènes réduits à du new age, des suspens honteux (aaaah ouf, c'est pas l'héroïne qui est morte mais sa copine !), un ennemi traité comme un méchant de dessin animé, Kidman en mode deFunès une bonne partie du film, chromo envahissant...

Australia a pourtant une réelle personnalité par moments, au-delà de la générosité. Cette "couleur" particulière, cette espèce d'identité qu'il se cherche, le film la trouve par intermittences, lorsque le chiadage des plans tient moins à une méticulosité soignée qu'à des jeux d'éléments vivants (le visage de la mort qui chute dans la mare, la noyade dans le réservoir d'eau, les lumières du cinéma et la pluie qui trombe, la ville brumeuse et fumante au petite matin...). On sent, à travers ce que travaillent formellement ces scènes, que la clé de ce projet tel qu'il a été pensé réside dans le choix d'approcher l'Australie via la "magie" aborigène, via quelque chose qui transcenderait les bâtisses de far-west pour venir y injecter lyrisme et onirisme, quand bien même il faudrait pour cela simplifier cette culture à une imagerie des plus caricaturales. D'ailleurs, le point de vue du gamin y parvient un peu, évitant au film de s'assécher dans le pur étalage de faits historiques et guerriers.

Mais ce n'est vraiment pas assez, tant il est voyant que Luhrmann tremble comme une feuille à l'idée de se confronter à la question aborigène de front, à affronter yeux dans le yeux cette population : le mur n'est pas tant historique (la honte du génocide) que tout bêtement culturel. En témoigne le personnage du vieux roi, boulet hallucinant que le film trimballe de décor en décor sans savoir quoi en faire, avec un acteur que Luhrmann ose visiblement même pas diriger, approché dans une gêne qui confine parfois au reportage national geographic de luxe. Il y a là une incapacité flagrante à s'approprier la question aborigène pour en saisir autre chose qu'un parfum cliché stérile. Hallucinant de voir ainsi comme le film survole les scènes les concernant, dans une myriade d'ellipses et de fondus enchaînés, en surface, comme dans l'incapacité totale de trouver un moyen de rentrer dedans (on peut à ce titre remarquer combien, avec justement très peu d'imagerie, le film de Weir parvenait lui à trouver une traduction cinématographique brillante à cette mythologie). Quand le seul contrechamp trouvé à une culture mastodonte de 40 000 ans et à ses serpents arc-en-ciel est "Le magicien d'Oz", on mesure quand même l'étendue de l'échec du dialogue que le film prétend naïvement réactiver.


Je retiens un film assez généreux et coloré, parfois touchant quand il arrive à être simple (le gamin qu'on maquille pour lui permettre d'aller au cinéma comme les autres gosses, le barman qui garde absurdement ses réflexes au milieu du bar en ruines, ces petits trucs mignons), assez agréable dans son irréalisme (la façon dont le pays semble pouvoir se traverser en deux jours, dont chaque personnage peut se retrouver n'importe où), mais quand même profondément raté au vu de son ambition première. Et putain, j'aurai jamais pensé écrire ça un jour, mais Kidman là-dedans est vraiment mauvaise...

3,5/6


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