oeil-de-lynx a écrit:
Si vous voulez partager votre score dans le sondage (c'est pas un concours) :
https://www.addictaide.fr/iframe-article/?pid=40En complément du topic gourmand, ça méritait sa propre discussion
Buvez-vous de l'alcool ? Si oui en quelles occasions et en quelles quantités, seul à la maison, pendant les repas, dans un cadre mondain, au travail ?Quel sont vos alcools favoris ? Etes-vous du genre connaisseur pointilleux avec le vin, la bière, le whisky ? Pour de vrai ou pour faire genre ?Pouvez-vous sortir sans boire une goutte ou est-ce une chose que vous n'envisagez même pas ?Avez-vous déjà fait un blackout ou eu des problèmes dûs à votre état d'ébriété ? Ou simplement constaté des effets à long terme sur votre santé ?Avez-vous déjà cherché à réduire ou arrêter ?À 9. Nocivité de ma consommation.
Je peux en boire seul, pendant les repas, dans un cadre mondain et au travail.
Mon alcool favori est la bière, je connais les procédés et quelques houblons mais pas plus sur les indices apparus sur certaines étiquettes récemment.
J'aime beaucoup le vin rouge mais 99% du temps durant le repas.
Et les spiritueux, whisky et rhum brun. Les alcools blancs, je trouve ça dégueu sauf quelques uns d'exception et donc beaucoup trop cher et pas assez passionné.
Les liquoreux, ça doit être du domaine de deux fois par an invité ou en resto mais j'en achète jamais.
Tout ce qui est mélange, c'est non. Pas que je ne puisse pas apprécier un cocktail mais si j'en ai bu 10 dans ma vie... Si j'ai envie d'un jus de fruits, je prends un jus de fruits (ok, c'est quand même plus complexe le cocktail mais bon, pour moi c'est quand même un jus de fruits avec une chauffe en dernière saveur).
Alors sortir sans une goutte d'alcool, encore heureux !
Non, dans le cadre mondain j'imagine. Enfin tout dépend du cadre et des accompagnants. Si je suis invité ou que j'invite, si les personnes m'accompagnant ne boivent pas d'alcool je n'en bois. Par contre, je le fais sans problème au resto ou dans un bar.
J'ai fait deux blackouts. À moins d'un an d'intervalle. À 40 ans passés. En dehors de clefs et de portefeuille (retrouvé plus tard, cadeau pour mes 18 ans de ma sœur, donc plus de 20 sans jamais le perdre malgré des cuites), je me suis posé des questions.
Comme déjà répondu dans l'autre topic, jamais rien de cassé, de disputes, de pertes, de problèmes quoi lié à l'ivresse.
Du fait aussi de ne jamais me mettre des mines si je considère les gens ou les lieux alentours glauques, certainement.
Et que l'alcool ne me rend pas agressif. J'ai plus l'alcool amoureux.
Et pas d'effets sur la santé a priori. Enfin si la gueule de bois. Mais depuis la quarantaine, cette incapacité à récupérer aussi vite et à avoir cette sensation d'éthanol dans la chair fort désagréable.
Et le bide quoi.
Alors ça m'a mis dans une situation à problème, potentiellement une autre, et je sens que ça m'use donc ouais, j'ai consciemment décidé de ralentir ma consommation.
Déja, j'ai paradoxalement acheté des cubis plutôt que des bouteilles. Une bouteille de vin, le problème c'est qu'il faut la boire en 3 jours. Et si j'ai vraiment envie d'un verre pour accompagner un met, bah je me frustre ou je me siffle la bouteille en 3 jours. Avec les pochons de sang là, bah je peux passer des jours sans boire de vin.
Pour la bière, comme déjà dit, les bières légères mais savoureuses sont apparues et je n'achète plus que rarement au-dessus de 5°. Et je suis redescendu aux bouteilles de 25cl. Même si ça limite le choix. Les cannettes de 33 ou 44cl sont quand même bien chers. Et les bouteilles de 75, bah c'est encore pire que le vin, faut tout boire dans les 3h. Donc je n'en achète plus.
Sinon, ya aussi le plaisir rituel. Boire une bière (a fortiori du vin) sans verre, j'aime vraiment pas. Boire ça en canette alu c'est affreux, au goulot, c'est vraiment bof.
Et puis le plus important : prendre conscience que beaucoup de verres sont des habitudes. Et du coup, remplacer ça par un thé (ya son petit rituel aussi), c'est pas mal.
Et le verre de vin au déjeuner aussi, sauf exception en étant accompagné, finito. Ça m'épuise. L'impression d'avoir la digestion trop difficile.