Forum de FilmDeCulte

Il est pas mal du tout d'ailleurs.

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Pré Carré

Oulà, le temps de me prommener un peu partout, je n'avais pas vu toutes vos réponses.

En tout cas, merci d'y être passés (n'hésitez pas à recommencer !)

De Venise, j'ai retenu beaucoup de films asiatiques. Le Ang Lee dont je suis vraiment tombée amoureuse. Un film coréen au titre impossible à retenir en VO, mais c'est Beyond the Tears en anglais, du vieil Im Kwon Taek, c'est une comédie musicale avec des chants traditionnels qui peuvent agresser les oreilles (ce n'est pas peu dire) mais niveau mise en scène c'est très très très impressionnant.
Le western zarbi de Miike, Django Western quelque chose, est très particulier mais très intéressant aussi.
Et un étrange documentaire de Jia Zhangke sur le travail des couturiers chinois.

Côté cinéaste aux yeux ronds, j'ai loupé le nouveau Allen (et pourtant, j'aime beaucoup) mais le seul à m'avoir vraiment touché, c'est le film de Wes Anderson. Un peu moins bon que d'habitude mais avec de grandes séquences à s'en tordre le coeur.

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Mon blog cinema :
http://cinema.cine.confidential.over-blog.com/

En tout cas, sois la bienvenue, ce forum a besoin de filles qui matent des films en avant-première. Et ton blog est somme toute charmantissime.

Un film savoureux avec des situations comme on les vit tous!

Des acteurs qui se font plaisir...en nous faisant plaisir! Avec Romain Duris en Doinel des temps modernes!

Une comédie comme on les aime. Un régal sympathique!

Bon sérieusement, je trouve le tour de passe-passe qui consiste à mettre du CSS et du Mika, et embaucher Aïssa Maïga et Romain Duris à la place de Virginie Pradal et Olivier Lejeune assez réussi: de loin, on croirait presque que ça n'est pas du gros boulevard pour beaufs, alors qu'un peu plus près bon ben tu t'en aperçois un peu mieux.

Ca raconte globalement rien de plus qu'une accroche d'un topo trentenaire d'un quelconque torchon, on te fait des petits épisodes pourris avec ça, parsemé de digressions dignes d'un nanar (tous les trips costumés sont PATHETIQUES) et de gags navrants. Des gags de gaz, des gags de souris j'ai peur, ou mon préféré: Romain Duris (nul à chier) arrose les plantes, et le tuyau se retourne *arf lol*, et il le garde sur sa gueule pendant 15 secondes! Alala, je crois pas avoir autant ri depuis Les Bronzés 3 où Gérard Jugnot, on comprend pas ce qu'il dit, et il beurre une biscotte qui craque et il tombe tout le temps dans l'eau! Ah que c'est facétieux!

Et putain la vision de couple glauque et beauf, un vrai film de prosélytisme gay en fait. Version opportuniste, con et paresseux.

0/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Je suis tombé sur cette scène :
http://users.skynet.be/fa245234/Defoe-I ... _Homme.avi

C'est affligeant de nawak...en fait ils ont juste enchaîné TOUS LES GAGS POSSIBLES et ils ont tout mis, donc t'as 50 conneries jouées de manière caricaturale en l'espace de 3min.
Le mâchage de chewing-gum c’est digne d’un sketch des Inconnus là…le film se veut réaliste, non ? C’est arrivé à quelqu’un cette scène ? Telle quelle ? Que la meuf ait sorti UNE ou à la limite DEUX des phrases qu’on l’entend dire là, ok, mais putain là, l’avalanche de facilités, de vulgarité même pas drôle…

C'est chaud.

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Franchement ? Je trouve ça assez drôle, le côté too much. Mais faut voir le film en entier sérieux, impossible d'être sûr là.

Le film à la mauvaise réputation par excellence. Qui en fait est assez sympathique. Totalement décousu, déjà-vu, et qui ressemble à un film à sketchs... mais sympathique. C'est sans doute plus facile de l'appréhender une fois qu'on est prévenu de son côté sous-Klapisch inhérent au choix de l'acteur et du sujet... J'aime assez la légèreté du ton, certaines répliques, et bien sûr Duris, que je pourrais payer pour voir jouer le bottin. Mais ici il en fait des tonnes, jusqu'à se parodier assez tristement, et il participe aux délires cheapos du réalisateur (en incarnant Leonard De Vinci ou un homme des cavernes, entre autres...). Déjà que c'est casse-gueule dans les Klapisch quand ça dure deux secondes le temps d'un clin d'oeil (genre Erasme dans L'auberge espagnole). Bon, ça dure 1h10 et ça en paraît 1h40, parce que c'est complètement bordélique, mais j'y ai trouvé un certain plaisir malgré la nullité de l'ensemble - au mieux la banalité. Une ambition maigrichonne quand même pour ce Raphael Fejtö, pote d'enfance de Duris, à qui je ne prédis pas un troisième long pour tout de suite... voire jamais ?

1,5/6

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I think we're gonna need a helmet.

Oui, ça ne marche pas du tout ça...

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loooool tout ça est tellement vrai

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