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MessagePosté: 23 Mar 2009, 12:13 
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Le grand rôle d'Art Garfunkel!


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MessagePosté: 23 Mar 2009, 13:02 
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C'est tout-à-fait ça.
J'ajouterai simplement que le film a beaucoup de tenue visuellement, essentiellement grâce au travail remarquable sur la lumière de Giuseppe Rotuno.


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MessagePosté: 21 Juil 2022, 17:23 
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Qui l'a vu ? C'est bien ?

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MessagePosté: 21 Juil 2022, 19:41 
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vu il y a longtemps lors d'une rétro hommage Giuseppe Rotuno à la cinémathèque. J'avais bien aimé. Dans la continuité de Catch 22 et The Graduate en fait mais comme je ne connaissais rien du film j'avais été surpris par le ton et la "crudité" des mots (pour un film de 71)

Après sa "modernité" a peut être un peu vieilli aujourd'hui. Je ne sais pas


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MessagePosté: 22 Juil 2022, 06:41 
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Cantal a écrit:
Après sa "modernité" a peut être un peu vieilli aujourd'hui. Je ne sais pas

Au contraire, le speech de Rita Moreno semble avoir été écrit en 2022. Quant à la question de Qui-Gon Jinn, si vous lui répondez « oui » il n’en tiendra pas compte, ne faites pas la même erreur que moi, même la durée d’1h38 le fera douter. Du coup « pourquoi pose-t-il la question ? » me direz-vous, lui seul le sait, dans les méandres de son esprit.


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MessagePosté: 22 Juil 2022, 08:17 
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J’attends son avis pour le voir.

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MessagePosté: 22 Juil 2022, 08:19 
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Vas-y !


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MessagePosté: 22 Juil 2022, 10:08 
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Dès que Tirexo réouvre !

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MessagePosté: 22 Juil 2022, 10:27 
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Il faut soutenir un petit distributeur de patrimoine et un cinéma indépendant, en plus c'est une belle restauration 4K.

Soutenir avec la carte UGC Illimité bien sûr


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MessagePosté: 22 Juil 2022, 11:29 
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J'ignorais qu'il ressortait. S'il passe à Bastille/Bercy/Nation, j'irai peut-être.

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MessagePosté: 22 Juil 2022, 12:43 
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Déjà-vu a écrit:
Quant à la question de Qui-Gon Jinn, si vous lui répondez « oui » il n’en tiendra pas compte, ne faites pas la même erreur que moi, même la durée d’1h38 le fera douter.
Si le film ressort 51 ans après sa sortie c'est que je me doute bien qu'il vaut le coup. J'aimerai juste être motivé avec plus de détails que juste un "Oui", sans avoir besoin d'aller chercher des avis sans me spoiler sur les Tomates Pourries.

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MessagePosté: 22 Juil 2022, 13:26 
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J'te connais !


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MessagePosté: 22 Juil 2022, 20:35 
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Déjà-vu a écrit:
Cantal a écrit:
Après sa "modernité" a peut être un peu vieilli aujourd'hui. Je ne sais pas

Au contraire, le speech de Rita Moreno semble avoir été écrit en 2022.


Et inversement, on dit des choses aujourd'hui ont été dites en 1971. J'avoue que la remarque de Cantal rend curieux, comment la modernité, que je comprends comme la capacité du film à sonner actuelle mais détrompe-moi si tu faisais juste référence à un style, moderne à l'époque et vieilli aujourd'hui, peut-elle être en défaveur du film?


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MessagePosté: 20 Aoû 2022, 07:57 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
Qui l'a vu ? C'est bien ?


Et donc : très bien oui. Surprenant dans sa construction, mais très bien.

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MessagePosté: 20 Aoû 2022, 21:53 
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J’ai l’impression que le rapport à la chair est davantage utilisé comme un révélateur socio-comportemental, le « carnal knowledge » dit aussi quelque chose sur les relations inter-masculines.
Je ne retiendrais pas forcément la « crudité » des dialogues (pas plus crus que ceux de "Closer") mais davantage son aspect étonnamment spermicide et anti-bandant.
Le film fait état d’une incompatibilité consubstantielle et irrémédiable entre hommes et femmes sur le plan charnel, chacun a des envies et aspirations qui lui sont propres, sans partage, sans échange égalitaire possible, tout est fatalement et irréversiblement déséquilibré sur le plan relationnel, y compris amical : plus que les relations conflictuelles de Jonathan avec la gente féminine, c’est son rapport avec Sandy, son « pote » de fac, qui m’a le plus intéressé au final, je trouve leur relation factice et superficielle (cf. la première discussion entre Sandy et Susan sur les rôles que chaque individu joue en société) et aussi stérile qu’une branlette intellectuelle (le duo est animé de questionnements mais il n’y a pas réellement d’échanges, chacun tourne autour de ses petites obsessions et problèmes en vase clos, c’est presque du dialogue de sourds, une fois adultes et entrés dans la vie active), quand ce n’est pas malsain et glauque (le cas Susan pouvait être classé en tant qu’erreur de jeunesse, mais Sandy agite presque sa Cindy tout pimpante sous le nez de son pote englué dans son marasme conjugal, sous couvert d’ennui, mais c’est un ennui vicié…).
Ce qui n’empêche pas les personnages d’être conscients d’avoir merdé à un moment et d’être travaillés par la culpabilité et le remords. La construction narrative, judicieusement elliptique et recentrée sur Jonathan dans la deuxième partie, fait sentir l’insatisfaction chronique, le sentiment de gâchis et l’arrière-goût amer en permanence (Le « j’étais à deux doigts de jouir » - rires jaunes- donne le LA).
C’est un movie des 70's atypique, désenchanté, gouverné par la mélancolie et l’acédie, quelque part entre "Five Easy Pièces" et "Bob & Carol & Ted & Alice".
Bref, ça vaut assurément le coup d’oeil.


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