Forum de FilmDeCulte

Ah oui mais non non non, je vous rassure, quand même!!

Il vieillit déjà bien en tout cas et j'ai déjà envie de le revoir.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

...?? Exception faite de la commande Green Hornet, je ne trouve pas du tout!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Bah c'est justement le gros problème pour moi. La hype de sa réa annihile toute émotion (et Green Hornet c'est de loin mon préféré, tu vois le niveau !); C'est pareil pour Jonze et compagnie, j'enrage quand ces mecs ont des scénars sympas qu'ils enrobent de leurs conneries arty-bobo-jefumedespetards.
J'aurai adoré Eternal Sunshine fait par un mec comme Zemeckis quoi.

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Netflix les gars, Netflix.

Tout pareil.

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N'écoutez pas Film Freak

Sa beauté/cinégénie irradie comme pas possible, mais en plus elle joue bien. Bref, une révélation.

Info pour Freak:

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Le film ou le cul?

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Ah il y a de ça, c'est sûr, mais elle le fait bien.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

le cul

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Les joies de l'avion présentent:

De l'autre côté du périph
Pendant 30 minutes, j'ai cru au vrai et bon Buddy Movie à la française, avec un bon duo comique, quelques punchlines bien senties... et puis le film disparait. La mise en scène est absente, c'est dommage...
3/6 pour le gag de la levrette

Cookie
Freak, je te l'aurai bien conseillé pour une session escalope de la lose. Peut-être le climax le plus con de l'univers à base d'enfant chinois que l'on planque dans une valise... Alice Taglioni vaut un point, Efira est atroce de mauvais jeu.
1/6

Mais comment font les femmes ?
Incroyable navet qui laisse en plus un putain de goût puritain dans la bouche, avec le retour de maman-bobonne qui doit sauver son mariage. Pierce Brosnan a dû lire le scénar à mi-tournage tant il a l'air de s'en contrefoutre. Le cheval est horrible.
0/6

Escaloooooope

Samouraïs et le Alain Delon chinoiiiiiis

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Le cinéma de genre français du début des années 2000.

Ah oui le film avec Jessica Parker putain quel horrible enfer.

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CroqAnimement votre

Les programmateurs TV se sont surpassés en diffusant 2 jeudis de suite sur D 17 2 films de Bruce Lee La fureur du Dragon et La fureur de vaincre.
Clairement, pour moi, La fureur de vaincre est celui que je préfère, le meilleur à mes yeux; je veux parler bien sûr des scènes de combat car, mis à part la scène sentimentale du cimetière, le reste est joué pour le public chinois du Hong-Kong des 70's et prête à sourire devant l'outrance du jeu des acteurs, Bruce Lee compris. On voit que ce cinéma a su remarquablement évoluer depuis.
J'ai eu la chance de voir tous les films de Bruce Lee au ciné. Sur grand écran, La fureur de vaincre reste un moment magique plus encore que La fureur du Dragon qui est pourtant le seul film réalisé (et terminé) par l'acteur.


Sinon, bonne surprise avec American gangster de Ridley Scott qui m'a scotché plus de 2 h (7 avril sur France 2) : révoltant, dérangeant mais très bon

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Je viens de revoir Retour vers le Futur sur TMC c'est toujours aussi parfait !

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J'ai toujours rebondi. Quand j'ai fait Jet Set 2 qui a été un échec, je me suis posé des questions et suis revenu avec Camping

Fabien Onteniente, Mardi 12 mars 2013

J'ai été un peu écoeurée de voir la mise en place de la filière d'approvisionnement de la drogue à partir du Vietnam et pendant la guerre avec tous les sous-entendus que ça comporte. Je sais que ça s'est passé ainsi mais mais entre le lire et le voir, même dans une oeuvre de fiction, je sais pas, ça m'a interpellée.
Idem avec la manière dont Denzel Washington met toute sa petite famille au travail et personne n'a l'idée de dire non; c'est amené d'une manière tellement tranquille, normale, innocente que ça en est dérangeant. Mais toute l'histoire est comme ça, l'ascension de cet homme, incognito, sans prise de pouvoir brutale, qui se garde de ce Milieu dont il devient pourtant l'un des piliers. Pratiquement aucune scène de violence, mis à part au tout début. Ca commence comme Scarface dont le film est le contre-exemple.
American gangster ne raconte rien que l'on ne sache déjà sur les trafics liés à la drogue mais le ton différent a sans doute contribué aux sentiments que j'ai éprouvé.

Pour faire une comparaison, Scarface ne m'avait ni révoltée, ni dérangée peut-être parce qu'il répond aux codes du genre et qu'on s'attend à ce qu'on va voir.

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk