Forum de FilmDeCulte

Cory meurt d'une overdose d'héroïne dans une maison abandonnée de Baltimore. La veille de ses funérailles, sa famille et ses amis se réunissent pour partager leurs souvenirs. Dans leurs récits apparaît en filigrane le portrait d'une ville rongée par la pauvreté, les conflits générationnels et le désir partagé par tous de vivre, malgré tout, le rêve américain.

Il est regrettable que cette sundancerie soit régulièrement parasitée par son concept bidon de fausses interviews dans des lieux improbables (genre je te pose des questions pendant que tu flottes dans une piscine) parce que dès qu'on se détache de ça, le hors cadre laisse exploser de purs moments de grâce, comme l'enterrement qui vire karaoké où un vieux barbu danse sur de l'électro.
3/6

Merci de me rappeler qu'il faut que j'aille le voir.

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I am the constant. You were always a variable.

Bon ben c'est fait.

Sympathique mais totalement dispensable, surtout à cause de la forme en fait.
Après le film est intéressant par la vision qu'il sonne des white trash, injustement laissés de côté dans The Wire.
Des jeunes qui attendent, sans avenir, dans une ville dévastée...
Ya quelques personnages assez fous, comme ce tatoueur qui raconte tranquillement, et tout en réalisant son tatouage, comment il a passé 15 ans en prison après avoir retrouvé puis tué le violeur de sa femme.
Ou ces gamines qui se foutent de la gueule d'officiers de police alors qu'un tueur est en cavale dans les parages...

Mais finalement ça pêche un peu par manque d'ancrage dans le réel, c'est un peu trop éthéré comme réalisation pour un docu-fiction qui se veut social (musique très belle mais inadaptée aussi).

A réserver aux fans de Baltimore. 3/6.

Edith pour Art Core

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I am the constant. You were always a variable.

T'es sûr que c'est un docu ?

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CroqAnimement votre