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Briar Hill, une paisible banlieue du Connecticut, fut autrefois bouleversée par un terrible drame : un étudiant perdit la raison et tua une quinzaine de ses camarades de classe...
Quinze ans plus tard, Diana semble avoir surmonté cette tragédie. Son mari Paul, qu'elle a connu au lycée, est devenu professeur de beaux-arts à l'université. Sa fille Emma n'en finit pas de grandir et semble avoir hérité du caractère marqué de sa mère. Diana a théoriquement tout pour être heureuse. Sa vie semble épanouie et seule l'ombre de la tragédie l'obsède encore.
En ce temps-là, elle était amie avec Maureen. Elles étaient ensemble lorsque le drame s'est produit, elles étaient sur place lorsque leur camarade est devenu fou. La tragédie avait fait la une des journaux. Pourtant, tout n'a pas été dit... Derrière cette affaire se cache un secret qui depuis ronge sa vie...

Pas vu House of sand and fog, inédit direct to décodeur qui a un peu fait parler de lui avec la Shoreh qui donna son nom à la radio de la Moldavie, et c'est pas ce film particulièrement naze qui m'y poussera.
Déjà si on accélère les ralentis et qu'on supprime les flashbacks rayés, les 90 minutes doivent n'en durer que 26. Ensuite, cette thématique (comment se reconstruire quand on a été traumatisé dans son adolescence) foire complètement à cause d'un pseudo suspense un peu nauséabond dans les flashbacks (qui va se faire sauter la caboule), de scènes de traumas dans le présent un peu téléphonés et mal rendues par une Thurman on ne peut plus fadasse, un terroriste puceau acnéique qui se fâche tout rouge parce qu'il a gardé les sacs à la boum de vendredi 17h, et une sorte d'engouement de Perlman dans les eaux et jardins, avec ces pétales de fleurs, ses jets d'eau, ses splash dans la piscine, et ses grandes crues dans les chiottes.
0/6

j'aime énormément son premier film, mais la bande annonce de celui-ci laissait craindre qu'il tombe dans les pièges pompiers évités de justesse et sur le fil auparavant... En tout cas il semble donc bénéficier de la sortie salle en France (?) malgré son gros flop et accueil critique désastreux