Forum de FilmDeCulte

Si je dois expliquer, c'était pour dire que le film a tout de la machine à cuddle et donc facile-à-aimer comme Pascal Brunner était facile-à-chanter. Et en plus c'est bien fait.

et puis le droit à la paresse parfois aussi

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Doll, it's a heartbreaking affair

Moi je suis d'accord, j'évite généralement ce genre de formules...après, c'est pas méchant-méchant.

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C'est ce que voulait mon ancien boss.

Bon ton papier sur Tsai machin le jaune là... c'est un peu de l'onanisme nan?

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Doll, it's a heartbreaking affair

J'ai absolument adoré ce film solaire et romantique. Bardem y est irresistible et le casting féminin au diapason entre Johannson, Cruz et Rebecca Hall qui toute représente une certaine facette de la féminité. C'est drôle, c'est frais, c'est beau (j'aime beaucoup la photo lumineuse du film) c'est émouvant et on tombe amoureux trois fois ce qui pour un long-métrage est quand même une gageure formidable.

5/6

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CroqAnimement votre

doublon sorry

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Argh, mon ciné ne le passe qu'en VF... je tente ou pas ?
*sachant que je suis sous le charme de la voix de Scarlett

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Ben non, un Woody en VF, c'est criminel.

Je trouve curieux que certains parlent de film "enchanteur" pour ce dernier Woody Allen que je trouve terriblement désabusé derrière sa belle lumière d'été. Ca commence comme un marivaudage sensuel et rigolo mais c'est finalement un "conte moral" (j'assume la référence à Rohmer) sur l'insatisfaction, la frustration et les illusions perdues. Tous les personnages se montrent incapables de maîtriser leurs sentiments et ne seront jamais pleinement épanouis. Comme si Woody ne pouvait s'empêcher de montrer la face sombre de l'hédonisme, de la jouissance de vivre, mais c'est justement cette contradiction-là qu'il célèbre avec une belle et heureuse lucidité.

5/6

Et Rebecca Hall est canon. Quelle honte qu'elle ne soit pas sur l'affiche.

eh beh, c'est über-mou, très chiant, très convenu, avec un côté érotique du dimanche soir sur M6, on est à kilomètres d'un match point, me suis emmerdé moi, heureusement que la Cruz m'a réveillé, je m'endormais. genre 2/6 quoi

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si son décolleté est aussi aguichant que dans Volver, je risque pas de m'endormir.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Aie!
J'aime Scarlett, Bardem et woody....
Mais...
Ok, c'est cool tu sens l'erasmus quoi! le mec qui se croit original en faisant un film sur deux américaines qui baises...
Bon c'est raccourcis mais c'est le ressentit. Donc oui j'aime pas trop oui c'est cliché oui c'est pas mon trip et non je cautionne pas.
3/6 (c'est hyper bien joué et bien mise en scène mais desfois il faut savoir se retenir...)

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Why there is so much trouble in this world?

Comme quoi, Gerry, cette fin de critique ne laissait rien au hasard: c'est VOUS qui êtes impossibles, les mecs

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Doll, it's a heartbreaking affair

très franchement, je suis pas à fond là-dessus non plus, je trouve que scarlett est pour la première fois un peu fade, malgré l'espèce d'érotisme bande-mou dont on essaie de l'affubler, et bardem, bon, c'est pas trop dur, hein, c'est atonal...

non, c'est cruz que je trouve forte, voilà.



mouaif, y'a pas grand chose, hein, déçu là aussi, le ralenti interdit, la photo jaune dégueu du début...

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Enorme, j'étais sûr que tu parlerais de cet affreux ralenti...

Mais ce n'est qu'une broutille dans un film qui brille généralement pour sa simplicité et qui semble dévolue à la présence des acteurs. De toute façon, l'essentiel ici n'est pas dans les idées de mise en scène ou les échelles de plans (Woody n'a jamais été un immense filmeur), mais bien dans la subtilité du ton choisi, dans les rapports entre les personnages. Comme chez Rohmer et Hawks, autres adeptes du filmage transparent. Je trouve quand même génial de la part de Woody d'éviter tous les pièges quand il traite le sujet de l'hédonisme... Il le fait avec un certain désenchantement, avec un regard de vieux sage qui n'a rien à prouver.