TOP SCENES
2008
15.
Jerk, de Gisèle Vienne (vu à Avignon - Reprise au th de la Bastille en Avril)
Solo pour marionettiste serial killer
14.
Rubato ma glissando, d'Annette Messager et Gerard Pesson (vu à la cité de l'architecture pendant le festival d'Automne)
Courte performance de trifouillage sonore à travers les objets éphémères de la célèbre plasticienne
13.
Airport kids, de Stefan Kaegi et Lola Arias(vu à Avignon)
Avenirs d'enfants concertistes perdus dans les halls d'un aéroport. Nouvelle réussite du suisse déjanté.
12.
Ice, de François Verret (vu au théâtre des Amandiers de Nanterre)
Chorégraphie désarticulée et tenace inspirée des écrits d'une héroïnomane en hiver
11.
La veillée des abysses, de James Thierrée (vu au théâtre du Rond Point)
Enchantement chaplinesque et polyphonie magique des arts du cirque et de la danse
10.
Empire (art & politics) de Superamas (vu à Avignon)
Où l'on crache irrévérencieusement sur Christine Albanel et on part à la recherche de Samira Makhmalbaf... Un collectif qui ne respecte ni rien ni personne, et surtout pas la grande famille de la culture
9.
Les éphémères, d'Ariane Mnouchkine (vu au théâtre de la cartoucherie de Vincennes)
Bribes de bonheur et de souffrance manoeuvrés sur pilotis pour cette grande fresque humaniste artisanale
8.
Cette obscurité féroce, de Pippo Delbono (vu au théâtre du Rond Point)
Poignant carnaval des marginaux et méditation miraculeuse sur la maladie et l'approche de la mort
7.
Stifters Dinge, de Heiner Goebbels (vu à Avignon - en tournée)
Performance scénographique inouïe sans acteurs mais pour voix aventurière et pianos survoltés
6.
To be straight with you, de DV8 (vu à la MAC Créteil)
La sexualité, la religion, la mondialisation et la tolérance reprennent corps dans les chorégraphies les plus spectaculaires, inventives et intelligentes vues depuis très longtemps
5.
Valérie Lemercier au Palace
L'art et la manière de faire rire seule sur scène
4.
Purgatorio, de Romeo Castellucci (vu à Avignon)
Après avoir drappé et escaladé la cour des papes, l'italien esthète glace les sangs avec cette cauchemardesque virée nocturne chez une famille pédophile
3.
Je tremble, de Joël Pommerat (vu à Avignon)
Cabaret des cruautés où se croisent les monstres ordinaires sortis tout droit de la boîte de Pandore de Mulholland Drive
2.
A disappearing number de Simon McBurney (vu au théâtre des amandiers de Nanterre)
Entre l'Inde et le Royaume-Uni, des figures mathématiques délitent les destinées et chahutent le cours du temps
1.
Seuls, de Wouajdi Mouawad (vu à Avignon)
A la croisée des chemins et de la schizophrénie, un spectacle intimiste qui se dépouille de sa parole pour exploser en des milliers de couleurs et de possibles