mec qui mentblabla a écrit:
Ce qu'il raconte aussi sur le numéro de téléphone est totalement mensonger : je ne l'ai pas cherché, il l'a envoyé sur Enculture à blabla
Non. Et c'est pas que tu "mens", c'est que tu souffres juste de confusion mentale.
- Tu m'as interpellé directement dans la shout d'enc. pour m'accuser (en fonction de tes "souvenirs" hallucinogènes, prob s'ajoutant à une mémoire de moineau) d'être malhonnête: je t'aurais menti en te communiquant de fausses coordonnées pour t'égarer, te menant à un labo pharmaceutique (énorme, déjà).
- Couche bonus sur le délire: tu m'as dans la foulée accusé d'être un lâche/hypocrite qui assumait pas son identité en feignant que si. Preuve de cette lâcheté/hypocrisie, dans ta "logique" avant-gardiste: on trouve pas mon n° de tél. sur le net.
- Je t'ai répondu alors que je t'avais jamais rien communiqué et que si, mon tél. se trouvait facilement. Je t'ai moi-même aiguillé, je le reconnais, en évoquant une vieille "fiche académique" qui trainerait ça ou là (à ce moment, j'imaginais pas que tu sois à ce point gravos). Deux minutes plus tard - chrono en main - tu m'appelais, et la b.o. de l'Exorciste à côté de tes hurlements stridents, c'était singing in the rain.
Pour le reste: mélange habituel de tes souvenirs approximatifs embrouillés (t'emmêles les dials et leur chronologie pire qu'un bouillon de vermicelle), et de tes projections-fixations délirantes à mon sujet, ce que tu imagines que je suis, fais, pense, mange, défèque, mes désirs, mes intentions, volitions, cachées, refoulées (que tu connais d'un Savoir intime mieux que si t'étais dans mon cerveau), etc.
Par contre: tout ce que je raconte, mon résumé, c'est exact au millimètre près.
Fais toi soigner, mec. Enfin, si c'est curable.