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MessagePosté: 06 Fév 2007, 00:17 
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Mufti a écrit:
Oui globalement, ce film, c'est ça. Thandie est pas extra et pourtant, Thandie, c'est la beauté et l'amour (m'enfin en même temps, son rôle est assez ingrat). Will est bien et comme tu le dis, son rôle tout en nuances fonctionne à mort. Et oui le carton final et la réplique sur-cliché des rêves sont en trop. Mais, bon, voilà. Tout le monde est d'accord, et puis je sais pas, faut pas hésiter à aller voir ce film, c'est un peu mon coup de coeur de début d'année.


Ben moi aussi...La revanche des gens du bas-côtés, entre Rocky et ça...D'ailleurs la Pursuit of Happiness est cité par Rocky...


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MessagePosté: 06 Fév 2007, 00:38 
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Time traveller's wife
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Le Pingouin a écrit:
Reste des défauts terribles, notamment une affreuse Thandie (et moi je la déteste pas) qui en fait 13 tonnes face à un Will oversobre. Parfois trop de "trop" aussi (le père qui dit "personne doit te faire oublier tes rêves, c'est beau, mais c'est trop). Et puis le carton final qui fait plouf bizarrement...Je l'aurais fait plus soft.

Oui mêmes défauts à mon avis, sauf que je ne les qualifierai pas de "terribles". Thandie je la hais donc c'est presque jouissif de la voir hystériser dans un rôle de conne. Et les cartons oui c'est chiant et pourri ! Faut quitter la salle juste avant en fait.

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MessagePosté: 06 Fév 2007, 00:41 
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Blissfully a écrit:
Ma grand-mère a aimé aussi. J'avais envie de le dire.


C'est un film plutôt gentil et consensuel. Mais bien fait.


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MessagePosté: 06 Fév 2007, 13:55 
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Inscription: 22 Aoû 2005, 21:39
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hal5 a écrit:
S'il était facile de tomber dans les pièges de la sensiblerie et du pathos indigeste, Gabriele Muccino réussi toutefois à surélever son film au delà de tout misérabilisme et établit, en bon italien qu'il est, un discret parallèle avec un chef d'oeuvre réalisé en son pays, Le Voleur de Bicyclette. Car le film de Vittorio de Sica, prenant pour prétexte le vol malheureux d'un vélo, n'avait pour autre ambition que d'observer avec justesse les relations d'un père avec son fils dans l'Italie de l'après-guerre.


Avec une grosse différence c'est que dans Le Voleur de Bicyclette, le drame c'est un enfant qui voit son père se battre pour son travail et qui se fait humilier. C'est quand même un charge contre l'idée du bonheur par le travail et le mérite.
L'inverse du film de Muccino en fait.


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MessagePosté: 06 Fév 2007, 14:01 
jiko a écrit:
L'inverse du film de Muccino en fait.

Voilà... Le film est bien fait, Will Smith est formidable, mais la morale finale me reste en travers de la gorge. Même si ce n'est pas faux, c'est appuyé sans aucune distance... Et le panneau final le prouve bien grossièrement. Il dérange même ceux qui ont aimé...


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MessagePosté: 06 Fév 2007, 14:09 
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Inscription: 04 Juil 2005, 17:56
Messages: 8569
Localisation: Caché avec Charlie
jiko a écrit:
Avec une grosse différence c'est que dans Le Voleur de Bicyclette, le drame c'est un enfant qui voit son père se battre pour son travail et qui se fait humilier. C'est quand même un charge contre l'idée du bonheur par le travail et le mérite.
L'inverse du film de Muccino en fait.


Le parrallèle se fait malgré tout, ou est recherché par Muccino. L'amérique de Reagan et l'Italie de l'après guerre se posent comme des lieux où le bonheur n'existe que superficiellement, ou pas...Que la poursuite du bonheur tient en un acharnement à survivre...

Et entre les deux panneaux de fin, l'image du "bonheur" ne tient pas dans la fortune du héros (et je trouve les panneaux en inadéquation avec le reste, et si tu lis les autres avis, c'est général), et pendant tout le film, on te montre bien que le bonheur, le vrai, c'est le fils qui regarde son père, c'est le combat du héros pour que son fils le connaisse. C'est la première phrase du film ou presque.


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MessagePosté: 09 Fév 2007, 21:17 
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Vaut mieux l'avoir en journal
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Me suis quand même bien fait chier. C'est pas mal joué, jamais réellement raté, donc je mets quand même 2/6, mais chaque scène est prévisible comme rarement, on voit la fin arriver à 100.000 bornes, et c'est qand même bien long.
2/6, donc.

_________________
Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


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MessagePosté: 11 Fév 2007, 11:58 
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Quand André Téchiné filmera ma vie scénarisée par Jacques Nolot, Zad éclatera-til en sanglots au dernier carton "En 2009, il réalisera 14% de croissance dans sa business unit après avoir fusionné avec lé géant du caoutchouc coréen" mmmh?

Pas de pitié Queshua, 2/6


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MessagePosté: 11 Fév 2007, 19:22 
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DPSR a écrit:
Quand André Téchiné filmera ma vie scénarisée par Jacques Nolot, Zad éclatera-til en sanglots au dernier carton "En 2009, il réalisera 14% de croissance dans sa business unit après avoir fusionné avec lé géant du caoutchouc coréen" mmmh?


La réponse est oui.


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MessagePosté: 11 Fév 2007, 19:49 
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Serial Modo
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J'hésite. D'autant que je suis pas très Téchiniste...

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MessagePosté: 15 Fév 2007, 23:06 
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ce qui me les brise même si j'ai passé un bon moment avec ce film et que j'aime bien will smith c'est que ça nous rabache le message pour être heureux soyons riche. Mise à part ça je lui met un bon 4,7/6,1.
Par contre il y a beaucoup de jolies messages et ce film à néanmoins beaucoup de sens.

Valeur du travail, de l'amour d'un père pour son fils, de l'intelligence des que peuvent avoir certains patrons de recruter sur la personnalité et non sur le CV ... plen de bon truc positif mais au final pour être heureux soyons riche. Enfin c'est pas si limité car si on s'en tient au contexte du personnage de pseudo looser joué par will smith qui connait la misère jusqu'au point de dormir dans la rue avec son fils on peut comprendre effectivement son bonheur de finir par devenir milliardaire grâce à l'intelligence des patrons d'avoir su déceler ses talents ( comme quoi des gros patrons sympas ça existe) même si évidemment c'est dans un but de profit.
Bien aimé le passage ou il fait oublier la tristesse de la situtation, lorsqu'il sait qu'il devra dormir dehors avec son fils, en inventant une histoire de machine à remonter le temps.
La bande son est terrible vachement funky soul terrible.

Finalement je lui mets un bon 5/6. Merde il est pas mauvais ce will smith.



A tchao


Dernière édition par Sajesse le 15 Fév 2007, 23:15, édité 1 fois.

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MessagePosté: 15 Fév 2007, 23:12 
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Je ne pense pas que ce soit le fond, ni l'intérêt du film.


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MessagePosté: 15 Fév 2007, 23:15 
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Sajesse a écrit:
ce qui me les brise même si j'ai passé un bon moment avec ce film et que j'aime bien will smith c'est que ça nous rabache le message pour être heureux soyons riche. Mise à part ça je lui met un bon 4,7/6,1.
Par contre il y a beaucoup de jolies messages et ce film à néanmoins beaucoup de sens.

Valeur du travail, de l'amour d'un père pour son fils, de l'intelligence des que peuvent avoir certains patrons de recruter sur la personnalité et non sur le CV ... plen de bon truc positif mais au final pour être heureux soyons riche. Enfin c'est pas si limité car si on s'en tient au contexte du personnage de pseudo looser joué par will smith qui connait la misère jusqu'au point de dormir dans la rue avec son fils on peut comprendre effectivement son bonheur de finir par devenir milliardaire grâce à l'intelligence des patrons d'avoir su déceler ses talents ( comme quoi des gros patrons sympas ça existe) même si évidemment c'est dans un but de profit.
Bien aimé le passage ou il fait oublier la tristesse de la situtation, lorsqu'il sait qu'il devra dormir dehors avec son fils, en inventant une histoire de machine à remonter le temps.
La bande son est terrible vachement funky soul terrible.

Finalement je lui mets un bon 5/6. Merde il est pas mauvais ce will smith.



A tchao


ouais ta raison j'ai d'ailleurs éditer mon post :wink:


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MessagePosté: 15 Fév 2007, 23:25 
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enfin quand même a quand un film avec le message heureux qui sait se contenter ?

L' Histoire vraie de ce film est belle mais ça arrive à combien de personnes ce genre d' extreme de passer de la misère à devenir milliardaire ?

Autour de moi je vois plus des gens qui naissent pas riche qui vivent pas riche et qui meurt pas riche mais qui ne sont pas malheureux pour autant.

A quand un film dédié à ces gens ? Ou plus largement à la sagesse ?

C'est sur ce serait peut être moi trippant que ce pas mauvais à la recherche du bonheur. A moins que ce soit le conditionnement de la société de consommation qui me joue des tours et qui me fait encore associer ce qui est qui est fun et trippant à ce qui devient riche et puissant.
Pourquoi un film sur des gens au destin banal (ni trop beau, , ni trop riche, ni trop pauvre, ni trop moche ....) ne serait il pas aussi trippant ??

J'en connais remarque heureusement :wink:


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MessagePosté: 15 Fév 2007, 23:27 
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Làààà... Voilà...


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