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MessagePosté: 24 Nov 2019, 22:17 
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Sir Flashball
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Le vrai visage du macronisme.

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MessagePosté: 24 Nov 2019, 23:51 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
reprenant des codes du film de genre - ça m'a fait penser à du Carpenter ou à du film de zombies. Surtout avec le petit Issa qui, post-flashball ressemble à un demi-Palpatine...

Issa, c'est aussi le prénom arabe de Jésus.

Qui-Gon Jinn a écrit:
Pouah. Ça a juste été rajouté parce que la France a gagné pendant le tournage, point. Ça ne veut pas dire que ça n'a pas de sens, mais ça fait pas partie du projet.

Que ça fasse plaqué et détaché de l'intrigue est peut-être justement l'intention. Ces images sont plaquées dans le film comme elles le sont, une fois tous les vingt ans, dans l'actualité: c'est une parenthèse, qui ne renvoie à rien de réel - comme le dit plus ou moins la commissaire je crois.


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MessagePosté: 25 Nov 2019, 09:59 
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Abyssin qui monte en pression pour rien tel un vulgaire Benalla place de la Contrescarpe...

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MessagePosté: 25 Nov 2019, 10:29 
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Mais Abyssin est un vulgaire Benalla, voyons.

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MessagePosté: 26 Nov 2019, 23:10 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
On ne s'ennuie jamais, c'est même haletant, mais du coup à trop vouloir encapsuler, synthétiser, symboliser, le film force parfois un peu le trait
C'est à la fois son plus gros défaut (avec quelques afféteries de mises en scène superflues, les clins d’œil un peu trop appuyés à La Haine avec ses prises de vue de drone par exemple, ou une caméra portée parfois excessivement chahutée) et sa plus grande qualité. A trop vouloir dresser le portrait le plus exhaustif possible de la banlieue, le film sombre parfois dans l'excès : on a le droit à tous les éléments qui la composent, des mères de famille bienveillantes, les Frères musulmans qui reprennent l'ordre en main, les petites frappes locales, son unité de BAC... et son cirque itinérant (clairement ce qu'il y a de plus mauvais dans le film à mon goût, mais au moins les gitans permettent l'irruption du racisme dans le film, ce qui semble manquer à certains).

latique a écrit:
Dans le film, les adultes les appellent les "microbes". C'est vrai, en un sens: ils ont une place à part, étrangère, dans l'"organisme" de la cité. Ce sont eux qui le dérèglent, lui apportent le trouble - une "fièvre" que le film montre clairement comme un signe de meilleur santé que l'état ordinaire des choses.
Meilleure santé vraiment? C'est pas l'impression que me laisse la dernière partie du film... Dernière partie qui me semble d'ailleurs donner tout son sens au film. Et entre curieusement en raisonnance avec L'Âcre parfum des immortelles de Jean Pierre Thorn.
L'un des intervenants du film, grapheur, que Thorn avait déjà filmé 20 ans auparavant, avance que la jeune génération est encore plus excédée de sa situation que la précédente, les révoltes successives n'ayant absolument rien changées dans les banlieues, et qu'il s'attend à une flambée de violence encore jamais vu de leur part. Les Misérables me laissent la même impression, que le constat de Ladj Ly est que ces jeunes sont une cocotte minute qui va exploser comme jamais, bousculant leurs ainés qui ont eux appris à composer avec leur situation (Le maire et ses magouilles, les anciens malfrats qui ont basculé dans la religion). Je pense que c'est ça qui a marqué la critique, cette lucidité sur un certain état de la jeunesse des banlieues. Les Misérables ça n'est clairement pas La Haine et ça ne pouvait pas l'être. Par contre je m'étonne que personne ne relève ce que le film doit à un clip, vieux de plus de 10 ans déjà, tourné par l'un des membres fondateurs de Kourtrajmé et qui il me semble tirait déjà les mêmes conclusions.



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MessagePosté: 28 Nov 2019, 21:13 
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J'ai beaucoup aimé, et pour une fois, je vais être d'accord avec Abyssin : la bavure n'est absolument pas le sujet du film, même si elle est centrale. Les Misérables, c'est un film qui est constamment dans le constatation, dans la monstration : de l'emprise du religieux qu'il montre sans commenter, des violences qu'il met en avant sans chercher de coupable, des filcs qu'il décrit tout en nuances, à sa galerie de personnages jamais anges ni démons. Ly choisit de montrer des gens et une réalité sociale, et c'est au spectateur de trouver ses propres réponses. Et décidément, j'aime énormément cette fin, qui est un message adressé au pays tout entier.

4,5/6

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MessagePosté: 28 Nov 2019, 22:21 
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Encore plus rare qu’un avis de Déjà-vu : un avis de Castorp sur un film récent vu en salle


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MessagePosté: 28 Nov 2019, 22:36 
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Grave. Mais moi, au moins, j'ai l'excuse de pas voir vu les films.

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MessagePosté: 29 Nov 2019, 01:25 
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Des réserves, mais j'ai quand-même apprécié le film, qui parvient à relever de la fiction et à en même temps assumer son ancrage sociologique (en même temps un peu macronien, via un hyper-déterminisme centré sur l'individu plus que sur le groupe) .
Le dénouement m'a assez désarçonné, en se resserrant d'abord sur l'anecdote (mais ceci sans gratuité, pour au contraire faire ressortir une forme d'ambiguïté renoirenne, où le bon flic de "gauche" joué par Bonnard se révèle peut-être le pire de tous, croyant acheter d'un même geste la paix sociale et son autorité au sein du groupe de flics) avant de basculer dans une grande violence (faisant allusion à Viry-Chatillon). Il y a une forme de surécriture, mais aussi l'idée pas mal vue que dans le dénouement, fondé sur l'idée de répration et de rééquilibrage (peut-être même de repentance), il n'y a finalement que des individus, la communauté n'est plus l'objectif mais le point de départ : la réparation est ce qui produit la pulsion, quand la société (mais aussi la notion de bien commun) doivent les lisser et réprimer.
Le film parvient ainsi à être dans le mythe et la métaphore, tout en conservant une forme de véracité psychologique, qui en augmente la crédibilité tout en l'adoucissant. Ainsi, bonne idée de rendre les deux gamins au coeur de l'action, Issa et Buzz, de plus en plus mutiques et autarciqueq à mesure qu'ils créent l'histoire.

Le rôle de Buzz en particulier est assez beau, avec quelque-chose d'assez langien, qui rappelle la 5ème Victime : la maîtrise de l'image crée à la fois du pouvoir, et une terreur, éprouvée moins par celui est filmé et d'une certaine manière contrôlé que par le metteur en scène lui-même. L'image est du point de vue collectif une terreur sans mémoire éprouvée par la loi. Du point de vue individuel de l'adolescent, elle crée une d'identité, mais que l'adolescent ne parvient pas à prendre et à endosser : il est dominé par sa création (topos du romantisme quand il aborde la technologie : ainsi l'Eve Future). Une conséquence de cette impuissance est de maintenir la vieille opposition entre l'enjeu politique - avorté dans le film - (la révolte comme issue face au manque de "gouvernance" - le film replie d'ailleurs entièrement la question du lien social sur celle du gouvernment , c'est un peu le principal reproche que je lui ferais) et son dénouement moral qu'au contraire il assume : le gamin est lui-même terrorisé par la violence du groupe qui est censé le venger, mais en même temps voyeur par rapport à cette violence. Il est justement interpellé (au sens moral, pas judiciaire) par les flics - son voyeurisme "prouve" son absence de passion - il lui est difficile de distinguer l'incarnation d e la loi et celle de l'altérité, mais il doit en passer par là pour exister ). Avec ce thème langien du voyeur, qui démasqué devient un témoin (cela fait penser aussi à certain De Palma comme Body Double) , le film creuse alors habilement la situation apparemment non développée du début, quand les filles qui reprochaient à Buzz de les espionner, et retourainent cette accusation en prise de contrôle , conscientes que son manège est liée à une forme d'immaturité sexuelle. La continuïté psychologique du personnage est bien amenée, d'autant plus qu'il est complètement effacé - la sexualité est d'ailleurs réléguée en second plan, mais assumée dans ce qu'elle a d'obscur et de banalement pervers, tout en étant la seule échappatoire à la double logique de clan et de la polcie (au sens large du gouvernement) - et finalement le ressort conjoint d'une honte ontologique et du sursaut moral -d'ailleurs les pères sont autant rélégués dans l'ombre que la sexualité elle-même, ce qui lie d'autant plus la morale à une forme de questionnement ontologique.

Sinon le film dialogue étrangement avec des film plus "doux", tout en "exploitant" de sa violence pour avoir un propos plus directement politique : Swaggers de Laurent Babinet (l'attention envers les jeunes, mais aussi pour les vues dronesques de la cité, et la musique - elle aussi dronesque d'ailleurs). Le flic"de gauche" joué par Bonnard est aussi étrangement proche de celui d'"En Liberté", film pourtant en dehors du réel.
Les acteurs sont très bons. Mention à Alexis Manenti qui jour Chris (le mauvais flic), aussi vu dans 9 Doigts et co-scénariste du film, impression de reconnaître immédiatement le collègue ou le pote de lycée dominant et en même temps malléable et dépassé.
Les dialogues sur le flashball raisonne aussi avec le mouvement des Gilets Jaunes (on a opposé la banlieue avec la moblisation des Gilets Jaunes, mais la notion d'ordre et de police - et l'épuisement de la police elle-même consciente de palier par la violence à une absence de vision politique créant du lien social et des valeurs- établissent un lien entre les deux réalités, qui est au coeur du film. C'est quand-même le film français sorti cette année qui m'a le plus parlé. A un moment le film m'a aussi rappelé les Derniers Parisiens d'Hamé et Ekoué sorti il y a trois ans, par une sorte de flash (lorsque Gwada pleure chez sa mère, ou lors de la scène du kebab).

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MessagePosté: 08 Déc 2019, 01:21 
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J'ai regardé tout le film avec un intérêt certain, forcément pris par la main par cet improbable mélange entre Training Day et La Haine, mais si je trouve le tout très bien exécuté, ça m'a glissé dessus sans rien accrocher. La faute sans doute à une évolution somme toute très programmatique, avec ses archétypes qui ont tendance à devenir fatigant (notamment l'opposition "jeune recrue morale/habitué raciste" chez les flics).

Le film est plus intéressant quand il touche aux personnages autres que les protagonistes, notamment toutes les autres autorités de la cité ("Le Maire", excellent personnage, mais également les Frères Musulmans, étonnamment "épargnés" sur la fin) qui créent donc des rapports de force intéressants, mais évidemment aussi ces gamins qui ouvrent le film, tous noirs ou métis mais drapés en bleu blanc rouge, et ferment le film, dans un climax qui m'a vaguement gêné par son aspect très "fictionnel".

Puis quand arrive cette dernière séquence en quasi copier-coller du Kassovitz et surtout la citation de Victor Hugo qui m'a fait rouler des yeux, je me suis vraiment demandé où était la "claque" ressentie par beaucoup de gens.

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MessagePosté: 08 Déc 2019, 01:32 
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Film Freak a écrit:
les Frères Musulmans, étonnement épargnés sur la fin


Pas vraiment (le film les ménage moins que les interviews du réalisateur), lors de la scène du lion, on voit que la rhétorique du prêcheur est improvisée et bidon. La scène est d'ailleurs assez drôle, du fait du ton soutenu de Bonnard : deux hypocrisies se flairent et se reconnaissent.

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MessagePosté: 08 Déc 2019, 01:43 
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Vieux-Gontrand a écrit:
Film Freak a écrit:
les Frères Musulmans, étonnement épargnés sur la fin


Pas vraiment (le film les ménage moins que les interviews du réalisateur), lors de la scène du lion, on voit que la rhétorique du prêcheur est improvisée et bidon. La scène est d'ailleurs assez drôle, du fait du ton soutenu de Bonnard : deux hypocrisies se flairent et se reconnaissent.

Je parlais au sens littéral : les enfants s'en prennent aux 3 flics, au Maire, à la Pince...mais les Frères Musulmans sont complètement absents, épargnés, alors que Salah est celui qui a remis aux flics la vidéo que lui avait amené Buzz.

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MessagePosté: 08 Déc 2019, 02:04 
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Parce que ce sont les seuls dont ils ont peur (c'est l'angle mort du film : faire de la peur un principe moral et social). De même les seuls pères du film sont les deux flics blancs, l'un sévère, l'autre séparé - Bonnard reprend un peu son personnage dans Rester Vertical (et le flic qui a commis la bavure reste infantilisé par sa mère, qui est en même temps son seul objet d'amour ).

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MessagePosté: 08 Déc 2019, 13:10 
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Le film est très freudien. On n'est plus dans le meurtre du père (du patriarche collectif en fait , les deux figures ne sont distinguables que dans le personnage de Manenti qui se borne à n'être qu'un père dans une famille nucléaire
d'ailleurs enucléé à la fin du film, pas une situation insignifiante
), mais après celui-ci dans la déploration pathétique de son absence, qui se confond alors avec la loi elle-même. Le film "raccorde" cette idée frappante de Freud : le poète qui célèbre la mémoire du père primitif dans le style homèrique est lui-même le coupable à l'initiative du parricide collectif (il essaye d'instaurer un ordre politique qui relaye l'ordre patriarcal mais butte sur son scrupule : son idéal se confond avec sa faute, seul le récit qu'il écrit pour lui-même peut les séparer).

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MessagePosté: 16 Déc 2019, 18:05 
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Les frères Mus ne sont pas épargnés par hasard. Dans le film (et peut-être dans la vraie banlieue), cette jeunesse qui passe son temps à se faire exploiter / tabasser / harceler par les crapules, les flics, les parents, finalement ce sont les barbus qui la font le moins chier, qui leur parlent de paix, alors que ce sont des intégristes. Ce sont eux les plus malins, et leur présence discrète n'a absolument rien de gratuit, n'en déplaise à Qui gon.
Ceux qui sont absents, ce sont les éducateurs, les politiques (au point que "le maire" fait plus pour la communauté que le réel édile). Les jeunes sont abandonnés aux griffes des pires raclures qui ne pensent qu'à les foutre sous pression, tu m'étonnes qu'ils tuent le père !

Sinon, un détail de la plus haute importance : Issa vole des poules pour nourrir le lionceau non ?

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-Good. Now go fail again.


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