Forum de FilmDeCulte

Bof... C'est un film d'action avant tout. C'est angoissant, mais pas comme un film d'horreur. On n'en rêve pas la nuit, au contraire, c'est assez excitant pour un gamin. Par ailleurs, c'était aux yeux de mon père (et des miens) un film d'action visible par tous (pas d'interdiction) avec l'acteur de Conan.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

J'ai vu voyage au bout de l'enfer à 8 ans. Terrible souvenir

et ton avatar?

10 ou 11 ans. Il n'y a jamais réellement eu d'interdit pour voir des films. Tant que je les voyais avec mes parents, ils pensaient que j'étais capable de voir la part des choses.

J'ai vu le silence des agneaux en vhs (1 an après sa sortie). J'avais 11 ans

Ah putain, Le petit dinosaure... Coment j'ai pu l'oublier celui-là ?!
Je l'ai vu tellement de fois, et il me rendait tellement triste aussi. Merci de me l'avoir remis en tête.

Et Fievel aussi.

(et merci pour ton message, j'espère que tu ne perdras jamais cet amour pour le cinéma.)

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

C'est pas prévu

Et content qu'au moins une personne ait lu le message en entier.

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Et ça s'appelait comment le film d'anim avec le chien qui meurt, qui se passe dans une décharge ? Je l'avais vu chez un pote ça m'avait bien marqué.

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CroqAnimement votre

Charlie donc.

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Ah oui merci !

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CroqAnimement votre

Walt, né en 1993.









En tant qu'enfant des 90's, j'ai grandi avec les blockbusters et dessins animés de cette période (essentiellement en VHS) en vrac:
Jurassic Park, Jumanji, Last Action Hero, Star Wars, Gremlins, Le Géant de Fer, Toy Story, Men in Black, GoldenEye, Le Roi Lion, Small Soldiers, Retour vers le Futur, Total Recall, Predator et même les films familiaux que faisait schwarzy à l'époque genre La Course au Jouet.

Les film des années 90 c'était vachement bonnard pour le gosse que j'était, puis après ça il y a eu la découverte de réalisateurs qui m'ont durablement marqué (McT, Carpenter, Cameron, Mann, etc...).

Avec les K7 enregistrés, je me rappelle que j'appréciait également tout le "décorum" de l'époque, que ce soit les pubs d'alcools aujourd'hui interdites, ou encore le Tchi Tcha caractéristique de Canal +, indissociable des souvenirs de mon enfance au même titre que les génériques de Batman et des Tortues Ninjas.







J'avoue que n'ai pas vu que des bon films durant cette période, je me rappelle avoir eu en VHS le Godzilla de Emmerich et Space Jam (le Rogger rabbit du pauvre) mais déjà à l'époque je trouvais ça pas terrible...



Le vrai déclic déterminant qui a fait de moi un cinéphile, c'est sans doute la vision du Parrain 2 qui m'a permis de me rendre compte de la richesse du 7ème art, et qui reste LE film clé de ma cinéphilie.

Tant qu'on y est, je me rappelle d'un film/dessin animé japonais de SF qui m'avait marqué, avec un gamin qui se faisait attaquer par des insectes géants, et il y avait un vieux dans le groupe de héros, qui n'était autre que le gamin plus âgé.
Si quelqu'un se souviens du titre merci d'avance...

Ah tiens, le terme est simple mais j'aime bien ton "film-clé de ma cinéphilie". Au-delà des goûts qui évoluent plus ou moins, le ou les films qui déclenchent une cinéphilie offrent une bonne grille de lecture de cette cinéphilie. Et je me rends compte que dans mes films préférés, il y a toujours un peu de l'onirisme et de l'abstraction d'une part, de la rigueur et de la construction méthodique d'autre part, de mon film clé à moi, 2001, l'Odyssée de l'espace.

Tu peux lancer un topic là-dessus, Baptiste.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Sans doute générationnel ... mais davantage nos parents que nous-même - manifestement, ce sont nos parents qui nous ont emmené voir ces films car ils les aimaient, mon père adorait James Bond au début des années 80.

Bon, après, je les ai aimés aussi hein, mais c'était clairement l'inspiration de mon père.

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There is no such thing in life as normal

C'est vrai.
C'es certainement à partir de ce film que j'ai commencé à apprécier les histoires avec des personnages plus nuancés, un peu trouble, limite anti-héros (encore que pour Michael Corleone le terme de héros tragique conviendrait mieux).
Et pour avoir revu récemment le documentaire qui lui était consacré (où on voit Seymour Hoffman) je considère Cazale comme un très grand acteur.