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MessagePosté: 28 Oct 2013, 00:53 
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flatclem a écrit:
C'est le manque de patience de certaines personnes qui m'étonne.
Dans 10 ans les films seront redevenus muets et les cinéphiles parleront tous comme Tom, Tetsuo et Bub.

Ce n'est pas une question d'impatience, mais de rigueur et de cohérence.

Un compromis, idéalement, ce n'est pas réaliser tes intentions à moitié : c'est accepter de partir avec des éléments de départ que tu n'aurais pas désiré (devoir engager des stars, avoir de la musique, que sais-je...). Mais ça ne dispense pas de les intégrer à ton projet : ton boulot est de faire un film entier et cohérent.

Si Cuaron doit mettre des monologues, il reconfigure son film pour que leur arrivée ne fasse pas "parasite" par rapport à ce que le reste de son film dessine (je parle évidemment de mon point de vue, ces monologues ne gêneront pas tout le monde).


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MessagePosté: 28 Oct 2013, 01:03 
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Tom a écrit:
flatclem a écrit:
C'est le manque de patience de certaines personnes qui m'étonne.
Dans 10 ans les films seront redevenus muets et les cinéphiles parleront tous comme Tom, Tetsuo et Bub.

Ce n'est pas une question d'impatience, mais de rigueur et de cohérence.

Un compromis, idéalement, ce n'est pas réaliser tes intentions à moitié : c'est accepter de partir avec des éléments de départ que tu n'aurais pas désiré (devoir engager des stars, avoir de la musique, que sais-je...). Mais ça ne dispense pas de les intégrer à ton projet : ton boulot est de faire un film entier et cohérent.

Si Cuaron doit mettre des monologues, il reconfigure son film pour que leur arrivée ne fasse pas "parasite" par rapport à ce que le reste de son film dessine (je parle évidemment de mon point de vue, ces monologues ne gêneront pas tout le monde).

Oui enfin là on est presque dans un procès d'intention, ou plutôt tu projettes des intentions. Je vois pas un projet au départ dans lequel ces monologues seraient une incohérence.

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MessagePosté: 28 Oct 2013, 01:14 
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Ah bah oui forcément, je projette des intentions dans le sens où à un moment, je fais une lecture du film - de ce qui en fait la force et la proposition, et donc du projet qu'il dessine (celui du survival le plus pur possible, me semble-t-il, où l'émotion et la sidération naîtraient d'abord de la configuration, de l'expérience primale, et non de la psychologie des personnages). Donc ça reste évidemment subjectif et sujet à mon interprétation.


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MessagePosté: 28 Oct 2013, 01:20 
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Je rejoins FF la.
Aussi je pense que même s'il y a quelques monologues fonctionnels à base de "alors la je dois faire ça" ou "le démarrage c'est le livret vert", on a aussi un beau monologue (dialogue avorté) avec le chinois qui va justement au dela de la simple explication.

Ceci dit j'ai déja bossé avec une nana qui répétait tout ce qu'elle faisait à voix haute avant de le faire. C'st incroyablement chiant. "Alors là je Alt+clic droit, et je drag". ZZZzzz


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MessagePosté: 28 Oct 2013, 01:22 
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C'est la manière dont tu formules la chose que je trouve foireuse dans la mesure où tu ne fais cette lecture que sur les 20 premières minutes du film. Tout le reste du film contredit cette lecture. Tout le reste du film prouve objectivement que ce n'était pas le projet de Cuaron.

Le mec l'a écrit comme ça, tourné comme ça et monté comme ça. Son projet a toujours compris ces monologues donc il n'y a pas d'incohérence.

Il y a juste un film qui n'est pas celui que tu voulais voir passée l'intro.

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MessagePosté: 28 Oct 2013, 01:40 
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Les 20 premières minutes, tu veux dire avant qu'elle parle de sa gosse à Clooney ? Non, y a pas un passage où je me dis "c'est parfait et là ça casse", pas de sentiment de découpe. Le trauma me gêne moins en tant que donnée scénaristique (la première discussion sur le sujet, me suis dit "ah tiens", mais ça m'a pas plus choqué que ça), que par la manière dont c'est maladroitement exploité ensuite. Par exemple en amenant la question dans une scène qui est en soi pure détresse (le passage soyouz par exemple), comme si l'angoisse devait être justifiée par ça, et non pas la situation. Me demande-t-on de m'identifier à cette figure humaine terrorisée par ce face à face avec l'espace, ou de m'identifier à la vie de ce personnage et à son histoire ? Si on veut que ce soit les deux, il faut que ce soit mieux pensé, articulé, et j'ai eu l'impression que ça ne l'était pas assez, que ça ressortait par petits monologues à base de "je te rejoins ma fille", que ça traînait un peu partout n'importe comment. C'est pour ça que je dis "parasite" : ce trauma utilisé d'abord et avant tout pour souligner l'absence de volonté de survie du personnage au fur et à mesure de ce parcours, ce serait déjà par exemple tout à fait autre chose. Ici, on a une donnée qui est là / pas là, intermittente, bref, qui selon mon ressenti se greffe mal, et le recours au monologues (par ce besoin d'exprimer la psychologie du personnage) en serait en partie le symptôme.

J'ai l'impression de pas être clair : en gros, ce que je ressens, c'est pas un film qui va là où j'ai pas envie, mais un hiatus. Par exemple entre la finesse de certaine scènes et la musique ultra-bourrine qui va avec. Je dis pas au film "sois bourrin" ou à la musique "sois fine", je sens juste un truc qui s'articule mal, et qui a l'air de parler de deux façons à la fois. En l’occurrence, le côté épuré/minimaliste/primal prend je trouve le dessus, donc c'est ça que je retiens et c'est là que je vois le projet du film, mais à dosage différent j'aurais vu autre chose.


Bon et maintenant je dois vraiment aller me pieuter, mais y a pas de souci pour continuer la conversation demain ! :D


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MessagePosté: 28 Oct 2013, 01:48 
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Tom a écrit:
C'est pour ça que je dis "parasite" : ce trauma utilisé d'abord et avant tout pour souligner l'absence de volonté de survie du personnage au fur et à mesure de ce parcours, ce serait déjà par exemple tout à fait autre chose.

Mais moi c'est précisément ce que j'ai compris, dès la première fois.
La meuf a perdu sa fille de 4 ans de la manière la plus conne possible donc elle lâche l'affaire. Pourquoi rentrer? Pour continuer à conduire sans aller nulle part?

Citation:
Ici, on a une donnée qui est là / pas là, intermittente, bref, qui selon mon ressenti se greffe mal.

C'est l'information capitale concernant le protagoniste. On te la donne au début et tu sais tout ce que tu as besoin de savoir pour comprendre le personnage. Pourquoi surligner davantage?
Surtout que ça résonne plus ou moins subtilement tout le long par la suite : quand elle perd Clooney et murmure "I had you", quand elle entend le bébé d'Aningaaq, etc.

Et pour ceux qui auraient préféré qu'il n'y ait pas cette caractérisation supplémentaire, je comprends même pas. Sans ça, tout le processus de renaissance n'a que très peu de sens.

J
Citation:
'ai l'impression de pas être clair : en gros, ce que je ressens, c'est pas un film qui va là où j'ai pas envie, mais un hiatus. Par exemple entre la finesse de certaine scènes et la musique ultra-bourrine qui va avec. Je dis pas au film "sois bourrin" ou à la musique "sois fine", je sens juste un truc qui s'articule mal, et qui a l'air de parler de deux façons à la fois. En l’occurrence, le côté épuré/minimaliste/primal prend je trouve le dessus, donc c'est ça que je retiens et c'est là que je vois le projet du film, mais à dosage différent j'aurais vu autre chose.

Mais je comprends le fond de ta pensée, c'est la forme que je trouve présomptueuse, quand tu dis que Cuaron compromet son projet. Bah non, c'était pas son projet, c'est tout.

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MessagePosté: 28 Oct 2013, 01:48 
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J'ai rien compris à ce qu'a dit Tom.

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MessagePosté: 28 Oct 2013, 09:26 
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Moi je crois avoir compris : c'est un robot comme Rotary, et dès que ça part un peu dans l'emphase, il aime pas. Lui, il lui faut du bon gros noir et blanc sans son !


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MessagePosté: 28 Oct 2013, 09:39 
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Ah bah oui c'est clair, le muet c'est un cinéma où y a TROP PAS d'emphase... Vous mériteriez que je vous fasse cours, tiens.

Film Freak a écrit:
Mais je comprends le fond de ta pensée, c'est la forme que je trouve présomptueuse, quand tu dis que Cuaron compromet son projet. Bah non, c'était pas son projet, c'est tout.

Présomptueux pfff... Faut que je mette "j'ai l'impression que" au début de chaque phrase ? Je juge (à tort ou à raison, après chacun voit midi à sa porte) la cohérence de ce qu'il me propose, et je prend pour mettre étalon ce qui est dominant dans le film. Si au milieu des Fils de l'homme tu as soudain le Benny Hill Theme pour accompagner leur fuite, ce serait présomptueux de penser que ça va peut-être à l'encontre du projet tel qu'on peut le recevoir ?

Tu peux me répondre que le projet tel que je le définis est mal cerné, ou que ce que je pointe ne le contredit en rien (ce que tu fais), mais me reprocher ce type d'argumentation, je trouve ça un peu zarb.

Pour en finir : ce qui me bloque devant le film c'est donc cette impression de dysfonctionnement dans les différents éléments de la narration (l'impression que si y a un lien à nous faire ressentir entre cette histoire d'enfant et l'expérience spatiale, y a peut-être plus urgent à faire qu'aller filmer les larmes en 3D...). Pour le reste, laissons chacun à son ressenti, et je n'exclue pas une bonne surprise à la deuxième vision.


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MessagePosté: 28 Oct 2013, 10:33 
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Tom a écrit:
Présomptueux pfff... Faut que je mette "j'ai l'impression que" au début de chaque phrase ?

Mais même pas, parce que ça me paraît hallucinant d'avoir la présomption de savoir quel était le vrai projet de Cuaron...

Citation:
Je juge (à tort ou à raison, après chacun voit midi à sa porte) la cohérence de ce qu'il me propose, et je prend pour mettre étalon ce qui est dominant dans le film. Si au milieu des Fils de l'homme tu as soudain le Benny Hill Theme pour accompagner leur fuite, ce serait présomptueux de penser que ça va peut-être à l'encontre du projet tel qu'on peut le recevoir ?

La malhonnêteté de ton exemple se retourne contre toi : ce choix serait tellement en décalage qu'il témoignerait du coup du vrai projet de l'auteur justement.

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MessagePosté: 28 Oct 2013, 10:39 
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Tom a écrit:
je n'exclue pas une bonne surprise à la deuxième vision.

C'est marrant cette foi que vous avez que dans la deuxième vision, moi je peux revoir un film 5, 10, 15, 20 fois, mon avis ne changera pas, il est établi dès la première.

Simple constat.


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MessagePosté: 28 Oct 2013, 10:40 
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Déjà-vu a écrit:
Tom a écrit:
je n'exclue pas une bonne surprise à la deuxième vision.

C'est marrant cette foi que vous avez que dans la deuxième vision, moi je peux revoir un film 5, 10, 15, 20 fois, mon avis ne changera pas, il est établi dès la première.

Simple constat.

C'est un peu aller à l'encontre de...la nature humaine?

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MessagePosté: 28 Oct 2013, 10:46 
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Film Freak a écrit:
C'est un peu aller à l'encontre de...la nature humaine?

Je suis inhumain.


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MessagePosté: 28 Oct 2013, 11:33 
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Children of Men est l'un de mes films préférés de ces dix dernières années. Je l'ai déjà revu une dizaine de fois, sans me lasser.

Ici je retrouve donc tout ce qui me transporte au cinéma : la narration par l'image, l'épure du pitch, le plan-séquence, les plans en caméra subjective. Et effectivement, tout y est.

J'ai passé un bon moment, dans une salle pleine à craquer complètement absorbée par l'écran et l'enjeu dramatique... c'est donc possible ! Quant à la 3D, je l'ai hélas davantage appréhendé comme un filtre entre le film et moi, plutôt que comme un élément d'accroche. C'est trop directif pour moi, je passe trop de temps à regarder les objets en amorce, les stylos qui flottent... j'en perds souvent ma concentration.

Bref, je suis déçu du film.

Non pas qu'il soit décevant en termes de mise en scène... pas du tout. Mais le personnage de Sandra Bullock me pose un énorme problème d'identification.

- Le casting déjà, en comparaison d'une Sigourney Weaver ou d'une Jodie Foster, fait très mal. Je n'éprouve que de l'ennui à regarder ce visage botoxé tenter désespérément de faire passer une émotion. J'ai constamment l'impression de regarder Liane Foly dans l'espace, et c'est douloureux.

- Ensuite, je trouve qu'en dépit de son inexpérience et de son émotion forceptisée, l'identification avec l'être lambda que nous sommes ne fonctionne pas aussi bien que pour Weaver dans Alien : peu importe le moment, elle en sait plus que nous. Elle sait quels sont les protocoles de repli, elle sait comment atterrir, elle a eu des entraînements... bref elle a toujours une longueur d'avance sur nous. On est pas autant que Cuaron voudrait nous le faire croire, dans le cas de l'individu ordinaire placé dans des conditions extraordinaires. Ripley est entraînée elle-aussi, mais face à l'Alien, elle est aussi à oilpé que nous.

- Mais surtout, le trauma qu'on lui inflige, l'histoire personnelle qu'on lui greffe, est de mon point de vue absolument navrant. Déjà, je suis plutôt partisan de faire vivre au spectateur le trauma initial avec le personnage, plutôt que de lui en coller un dans son passé, qu'il devra résoudre dans les 90 prochaines minutes. Ensuite, je trouve ses monologues particulièrement mal écrits, sur-signifiants et lourdingues au possible. Je rappelle quand même que Ripley dans Aliens avait un background similaire, pour autant on ne soulignait pas autant le lien entre ses épreuves d'aujourd'hui (survivre et protéger Newt) et son trauma terrien (y compris dans la version longue, pourtant plus explicite). Je passe sur le fait que dans le premier Alien, ce trauma était totalement absent, car parfaitement dispensable. Bref, Gravity n'est pas Alien, et Stone n'est pas Ripley - pas de souci. Cette histoire de deuil d'enfant, c'était aussi présent dans Children of Men, sans que ça prenne le pas sur le récit à ce point. Mais tourner l’entièreté du film vers la résolution du deuil traumatique, le réduire à un survival Lara Croftien avec des péripéties qui se répètent, je trouve ça... ennuyeux, et gavant.

Pourtant, dès les premiers instants, j'étais cueilli à vif, avec cette impression de solitude et de désespoir profond que je n'avais pas retrouvé au cinéma depuis la chute de Bud dans Abyss... ou le dilemme posé par le même Cameron lorsque que Bud et Lindsey n'ont qu'une combinaison pour deux... et j'ai retrouvé ça dans le Cuaron, du premier au dernier instant où Clooney est encore dans la boucle. Mais en dehors de ça, lorsque je suis seul avec Bullock, je n'éprouve plus rien qu'une sorte de passivité, et un léger mais constant agacement, que tout est désormais tourné vers la résolution de ce trauma en bois. C'est un peu comme de regarder une longue cinématique, en attendant des QTE qui ne viendront pas.

Vraiment dommage.
Je ne sais pas si une revision apaisera cette déception.

3,5/6

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I think we're gonna need a helmet.


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