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MessagePosté: 21 Sep 2013, 11:04 
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Schtroumpf sodomite
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Art Core a écrit:
- La Ville est Calme


Ah putain, y'avait le film d'Alex aussi ? Depuis le temps que je dois le voir...

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 11:09 
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MessagePosté: 21 Sep 2013, 11:16 
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Tout pareil que Artcore pour Mecs Meufs, qui dégage un bon mood très sympa mais oui, il manque un truc pour qu'on accepte plus facilement le concept. Ca aurait mérité d'être plus développé.

(j'ai vu le film à Cannes, j'étais pas là hier)


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MessagePosté: 21 Sep 2013, 11:30 
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Je crois qu'on avait tous plus ou moins le même avis sur les autres courts.

I'm a Sharpener a le mérite d'avoir un univers original et d'exploiter pas trop mal son concept même si ça tend un peu vers du whimsy dont je suis pas super fan. Et le dispositif narratif (l'interview) fait un peu béquille. Mais à part deux ralentis de post-prod super moche, c'est sans doute le mieux réalisé. Du moins, celui où la réa m'a paru le plus être au service d'une histoire et pas juste une démo. Un peu de mal avec le jeu de Jean-Baptiste Maunier aussi. Et des longueurs.
Et puis de toute façon, même s'il est pas "génial", il est réévalué par ceux qui suivent.

Last Call est presque parodique. Qu'il s'agisse de l'esthétique à base de gros ralentis (placé semblablement en mode random) et de travellings circulaires (qui désamorcent toute émotion) ou des dialogues qui accumulent les poncifs (l'enchaînement de reproches durant la conversation avec l'ex, on dirait un sketch), c'est d'une grossièreté assez lamentable. C'est con parce que le pitch aurait pu donner un court bien tendu mais le film n'en fait presque rien. Y a une intro bien trop longue pour situer l'action et le scénario ne sert pas correctement l'histoire que le mec cherche à raconter (je demandais pas tout un film sur le mec qui essaie de se tirer de ce mauvais pas mais là, il pose le pied sur la mine et presque instantanément, il sort la photo de sa fille et chiale. DIRECT). C'est évidemment une démo technique (avec acteurs qui parlent en anglais - avec accent français - pour l'international) mais je trouve même pas que ce soit convaincant. C'est propre mais c'est mal réalisé. Le mec sait faire un joli ralenti mais ne sait pas quand il doit le faire.

La Ville est calme, je l'avais déjà vu dans une version plus longue (enfin j'ai pas vu la différence) et c'est tout aussi chiant et opaque. Une fois de plus, ok, le mec a un style, il a une idée de comment il veut approcher son histoire, mais si la technique est propre, l'exécution reste amatrice. La gestion de ce style est mal gérée quoi. La lenteur du phrasé sur des dialogues trop écrits, les fondus au noir qui te font croire toutes les 5 minutes que le film est fini, et l'univers somme toute un peu survolé, qui ne s'anime que dans sa toute dernière scène, principalement grâce à la zique... Ça a le mérite d'être sincère, comme I'm a Sharpener et Mecs Meufs, mais c'est raté. Et un détail qui m'avait échappé et que m'a révélé Liam sur le propos du film ne fait que le rendre plus antipathique à mes yeux.

And Death Will Be Alright a donné effectivement à tout le monde l'impression d'être une pub pour parfum. En soi, c'est un joli spot, du sous-Tarsem quoi (ici au moins les ralentis paraissent pas aléatoires) mais ça passe vraiment pour de la démo pure, même si on pourra toujours déceler du sens, entre cette imagerie de limbes (très Inception d'ailleurs), cette Terre au ciel, et ce titre évocateur. Avec Mecs Meufs, c'est aussi le seul qui ne m'a pas paru long (enfin là c'est normal, vu qu'il est court).


Et sinon, j'étais content de voir Mecs Meufs aussi bien marcher, surtout à la séance de 18h, quasi-complète. Ca riait de bon coeur et quand les applaudissements partent à la fin, tu sens que c'était pas "par obligation". Faut dire qu'il avait la chance d'être la seule comédie (volontaire), passant en dernier après des trucs plus plombants. Les appréciations et les réserves évoquées par les gens (moi y compris) sont généralement les mêmes, c'est toujours "rassurant" en un sens.
Et même un gros truc du film qui passait moyennement pour moi a fonctionné comme voulu par Liam sur le public. Comme quoi.

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 11:51 
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Alors, puisque donner mon avis est une affaire de morale...

J'ai trouvé ça franchement réussi. Drôle, dynamique (de tous les films de la projo, c'était d'assez loin celui qui gérait le mieux son rythme) et surtout absolument jamais confus. Les mondes parallèles sont introduits à chaque fois avec des détails signifiants
(les changements d'étalonnage, des actions d'arrière plan, la pinte devenue verre de martini)
dont l'accumulation fini par devenir cohérente. Il y a aussi cette idée toute bête, pour les trois actrices, d'avoir une blonde, une brune et une rousse de sorte qu'elles soient immédiatement reconnaissables malgré des rôles un peu en retrait. Ça va dans le sens d'un film qu'on sent très sûr de lui et de sa capacité à raconter son histoire avec un maximum d'efficacité.

Après, il y a des moments où effectivement on va un peu vite. Le premier dialogue passe trop rapidement de la discussion gentille à l'engueulade,
la rupture de ton avec la scène de viol arrive aussi d'un seul coup. D'ailleurs j'ai eu un peu de mal avec le passage dans la cabine de chiottes qui est assez confus, où on sent que le décor limitait trop les possibilités de mise en scène.


La dernière chose qui m'empêche d'être à fond, c'est le sujet qui ne me parle pas plus que ça. Mais là c'est vraiment personnel et le film est suffisamment drôle et bien construit pour bien marcher. Et le générique de fin est génial.


Sinon sur l'ensemble de la projo, je ne suis à fond sur aucun film mais j'ai été soufflé par la qualité visuelle de l'ensemble : que ce soit les décors ou la photo, tous les films avaient un look très, très pro.

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 12:07 
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Les 4 premiers films c'est du 0/6 constant, de la merde en tube.

Pour Mecs Meufs, j'ai le même problème depuis le scénario : le début reprend le mood sympa de Lose Actually, Bob est comme d'hab impeccable, mais le virage à mi-parcours me semble faible, la démonstration de l'inversion des sexes sans finesse aucune, qui culmine dans une scène glauque et gratuite ("volontairement abjecte" de l'aveu de Liam :-D ), dont le film ne se relève pas.
Mais c'est sans hésiter le seul film personnel et sincère du lot, le seul à ne pas vouloir être simplement une carte de visite ou une démo technique (overdose de ralentis vilains et d'After Effetcs dégueu dans cette séance), le seul qui ne semble pas un mauvais déclaque de modes complètement dépassées (cet imaginaire si étriqué de la fiction française, qui semble toujours du sous-Jeunet échappé d'une époque révolue et infame), et le seul réalisé par un être muni d'un pouce préhenseur et d'un cerveau. C'est déjà énorme, vue l'inanité habituelle et sans cesse confirmée des courts métrages de fiction français, refrain connu, toujours le même, qui me confirme pourquoi je fuis toujours ce genre de projections tellement déprimantes.

Le soir il y avait Numéro Deux à la Cinémathèque, bah c'était comme une récompense après ce calvaire.

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 12:30 
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5 films, 3 titres anglais... allez tous vous enculer!

Je donnerai mon avis plus tard après une seconde vision!


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MessagePosté: 21 Sep 2013, 13:14 
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Pour ceux qui ont loupé la protection, y a moyen de le voir en ligne ?

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 13:39 
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Cosmo a écrit:
Pour ceux qui ont loupé la protection, y a moyen de le voir en ligne ?

Bientôt !

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 14:57 
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Ah cool, j'ai bien hâte !

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 15:09 
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Film Freak a écrit:
Et un détail qui m'avait échappé et que m'a révélé Liam sur le propos du film ne fait que le rendre plus antipathique à mes yeux.

(...)

Et même un gros truc du film qui passait moyennement pour moi a fonctionné comme voulu par Liam sur le public. Comme quoi.


Tu peux expliciter ça en spoiler, stp ?

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 15:24 
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Zad a écrit:
Film Freak a écrit:
Et un détail qui m'avait échappé et que m'a révélé Liam sur le propos du film ne fait que le rendre plus antipathique à mes yeux.

Tu peux expliciter ça en spoiler, stp ?

Con comme je suis, j'avais pas particulièrement prêté attention à la lumière scintillante dans les apparts qui n'est autre que la lumière de la télévision donc le côté "l'état contrôle le peuple par la télé et donc les gens ne sortent plus, ne se parlent plus" m'avait quelque peu échappé.
Maintenant que je le sais, je trouve que ça fait un peu film de papy/jeune rebelle/"bouh la télé".


Citation:
Et même un gros truc du film qui passait moyennement pour moi a fonctionné comme voulu par Liam sur le public. Comme quoi.

Dès la lecture du scénario, je trouvais que la rupture de ton était pas évidente. Sa présence ne me gênait pas (au contraire, je la trouve justifiée), mais je flippais que le spectateur ait passé trop de temps dans la comédie pour "comprendre" le basculement. Dans un monde où des gens rient (nerveusement et/ou bêtement) devant la moindre scène très violente (cf. certains rires durant Drive), je craignais qu'ils continuent à rire de la situation. En gros, c'était un basculement casse-gueule et c'est la réa qui allait devoir assurer la transition.
En l'état, je trouve que le basculement n'est pas assez prononcé, qu'on a pas le temps de sentir un vrai danger et surtout un vrai malaise, mais si j'en crois 99% des retours que j'ai eu, ça a totalement marché sur les gens.

Sinon, une autre "statistique" intéressante : la grosse majorité des spectateurs qui ne sont pas fans de la scène de viol sont des hommes. Les meufs sont plutôt très contentes de la présence de cette scène.

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 16:58 
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J'ai beaucoup aimé, c'était jubilatoire (jusqu'à un certain point bien sûr), d'autant plus après les autres courts du programme ASM, tous soignés mais parfois WTF*. On retrouve la fraîcheur et la spontanéité de Lose Actually, ce ton tout de suite en place (ce qui pour un court est un sacré atout), cette aptitude à boucler en deux jours un film stylé, et puis surtout, ce sentiment que Liam en a sous le pied (il y aurait matière à faire plus long - manuel de la lose). Le film compte quatre phases, ce qui est ambitieux en moins de quinze minutes, je me dis qu'il y en a peut-être une de trop. La première est un peu rapide dans le débit des dialogues mais ça passe (sorkinism), la deuxième franchement drôle (grâce au pitch), j'apprécie le changement de mood de la troisième, qui permet de faire passer le message
ce n'est pas la panacée d'être à la place des filles - des meufs pardon
, mais je ne comprends pas bien la fin (remember Le Portail - désolé Liam). C'est en fait quelque chose qui me gênait déjà à la lecture du scénario : j'ai toujours un peu de mal avec le recours à une "chute". En général, c'est percutant au risque de trahir un manque de développement. Ici, comme Art Core, je ne comprends pas bien dans quel univers on se trouve, et du coup, encore moins le message (il n'y en a pas forcément mais la confusion des genres devient un peu celle du sens). Enfin voilà, techniquement j'aurais deux-trois choses à redire mais pas plus, chapeau, il y a un capital sympathie énorme et puis... Vous passez tous bien en gros plan cinémascope sur le grand écran du Publicis.

*Un tailleur de crayons professionnel ? Sérieux ?! Pourquoi pas directement la graphologie, puisque cela existe ? Le film de guerre pathétique.


Dernière édition par Déjà-vu le 21 Sep 2013, 20:45, édité 1 fois.

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MessagePosté: 21 Sep 2013, 16:59 
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Cosmo a écrit:
Ah cool, j'ai bien hâte !



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MessagePosté: 22 Sep 2013, 01:18 
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