Je ne sais pas si ça intéresse toujours mes petites review sur les classiques, mais j'en suis presque à la fin (j'ai entamé la saison 26 et je freine pour ne pas finir trop vite) aussi je fais un rapide bilan de celles dont je n'ai pas encore parlé.
En tant que mega fan de Five (qui n'est pas loin de détrôner Ten dans mon top One, si ce n'est déjà fait), ça m'est difficile de parler des épisodes de sa période. Je les aime de toute façon, même s'ils sont moyens.
Cependant si je dois faire une sélection :
Saison 19 : "Castrovalva" avec le Maître, donc je double kiffe. "The visitation", "Black Orchid" dont j'ai déjà parlé. "Time-flight".
Saison 20 : "Mawdryn Undead", "Enlightenment".
Le spécial 20 ans de 1983 : "The Five Doctors" au scénario pas terrible et surtout qui utilise mal le potentiel de tous ses personnages, mais du nanan pour les méga fans, car on y retrouve quatre Docteurs (et non cinq, titre mensonger
). Dont Jon Pertwee, toujours aussi classe, Patrick Troughton, toujours aussi drôle, un remplaçant de William Hartnell, qui s'en sort pas mal et bien sur mon Peter Davisounet favori.
Un certain nombre des compagnons dont le Brigadier et Sarah Jane. Ainsi que la plupart des ennemis mythiques, dont les Daleks, les Cybermen et le meilleur, le seul, l'unique Maître.
Saison 21 : "Warriors of the deep", "Planet of fire".
Le dernier épisode de la saison 21 "The Twins Dilemma" voit l'apparition du Sixième Docteur. Il est parait-il connu comme un des plus mauvais épisodes des classiques. Personnellement je ne l'ai pas trouvé si mauvais que ça et les effets de la régénération sur Six sont plutôt drôle.
Autant la période Five a été faste pour moi, autant la période Six, c'est une purge. Pas de la faute du Docteur que je trouve assez marrant et finalement sympathique (c'est le moins aimé des classiques), - même son habit de perroquet ne me dérange pas - ou des scenarii des épisodes. Mais de son abominable compagne Peri "Worst ... companion ... ever!". OMG, mais butez-la, ce serait une oeuvre de salut public ! Elle n'a que deux phrases à son vocabulaire : "Peut-on retourner dans le TARDIS ?" et "Ces couloirs/tunnels/autre se ressemblent tous pour moi", dites d'un ton geignard.
Saison 22 : "Vengeance on Varos" où on fait la connaissance du plus drôle de tous les méchants des classiques selon moi : Sil. "Mark of the Rani" ah, la Rani, je l'adore, elle s'est faite trop rare hélas. "The Two Doctors" avec Six et Two.
Saison 23 : idée pas mauvais que de faire d'une saison une seule histoire, ici "The Trial of a Time Lord". J'ai eu un peu de mal quand même avec ces épisodes qui ont du mal à décoller, malgré quelques personnages secondaires sympathiques comme Sabalom Glitz ou Sil qu'on retrouve dans Mindwarp. Mon préféré restant The Ultimate Foe à cause du Maître bien entendu.
Le Septième Docteur. Pas d'explication sur la raison pour laquelle Six se régénère en Seven. Cela arrive au début du premier épisode de la saison 24, sans qu'on sache pourquoi.
Saison 24 : "Time and the Rani" tant qu'il y a la Rani, ça ne peut être que bon de toute façon
. Ensuite les trois suivants de la saison, j'ai eu plus de mal, malgré le fait qu'ils soient courts.
Saison 25 : "Remembrance of the Daleks" j'ai vraiment beaucoup aimé, pour les références au début de la série (ça se passe dans les décors du tout premier épisode du premier Docteur), mais aussi pour le Docteur qui se montre particulièrement retord. J'ai plus de mal aussi avec les trois suivants de la saison.
Voila, j'en suis au début de la saison 26, toute dernière des classiques et je n'ai pas hâte que ça se termine. Je fais mieux, je regarde tout à nouveau du début avec d'autres personnes et je me régale à nouveau, la revoyure étant bénéfique à la plupart des épisodes.
Je dois dire cependant en les revoyant après avoir déjà fait un premier tour général des classiques que les scenarii de la période One/Two/Three sont d'une inventivité qu'on ne retrouve pas par la suite. Une fois qu'on est habitué au côté vieillot et "effets spéciaux" plus que cheap de l'époque, surtout pour les deux premiers Docteurs, c'est que du bonheur.