Forum de FilmDeCulte

Bah je pensais que le coup de la nana qui est en fait l'ange gardien du perso de Jamel serait amené comme un twist.

Je crois Besson voit ça comme un twist de milieu de film, mais franchement, faut être débile pour pas le voir venir... dès l'affiche...

Moi j'en arrivais presque à esperer que le twist soit que finalement bah en fait c'est pas un ange...enfin bon.

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non ça tu rêves un peu beaucoup...

*Et vous allez voir que Cosmo va aimer...*

pendant toute la séance j'avais MICHAEL en tete ( mais oui ce film genial avec john travolta en ange ).

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Moi c'était un mal de crâne que j'avais en tête...

Mouais avec en plus une BO superbe et pas du tout envahissante pendant tout le film je comprends pas pourquoi...

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C'est rigolo, j'ai posé un avis il y a 15 minutes sur Classik, et y a quelques remarques en commun avec ce qui a été exprimé ici *comme quoi, le bon goût sait où se nicher*.

Voici.

J'ai profité que je paye pas en ce moment au ciné où je taffe pour y aller, vu que j'avais fini mes courses de la noyelle plus tôt que prévu. Et j'aurais mieux fait d'aller me prendre un vin chaud à côté de la patinoire en centre-ville, passque j'ai trouvé ça bien mauvais. Et de partout... On vante la magnificence de la manière dont il a filmé Paris, et je trouve la plupart des plans d'extérieur quelconques. On nous loue Jamel so surprisingly serious, j'y ai vaguement cru le temps de 2 scènes *de toutes façons, dès la mauvaise voix-off d'ouverture, je croyais pas au personnage*. Besson la joue "'tention, y'a une surprise au milieu du film", alors j'attendais des trucs de guedin au niveau de l'histoire, un passage à la couleur, un caméo de Patrick Topaloff...

Le scénario, en plus d'être basiquement niais, accumule les situations et les dialogues moisis (si je cite toutes les scènes qui me passent par la tête, y en a pour 30 lignes), Ray Rasmussen est mieux dans les fausses toilettes du Palais des Festivals de Cannes avec Rebecca vu que là-bas elle parle pas et donc on comprend bien tout ce qu'elle dit *j'aurais carrément préféré qu'elle joue en danois et qu'elle soit doublée, c'est dire*, y a rien à sauver des acteurs secondaires, de Melki a Riaboukine en passant par les mauvais acteurs qui jouent les cailleras bidons.

Bref, très déçu, vu que si je m'attendais à un scénario bien neuneu, je m'imaginais pas que ça allait être 1h30 du ton des 10 dernières minutes du 5ème Element, et j'attendais le minimum syndical côté mise en scène, ce qu'il sait faire de mieux à mon sens (et 2 scènes vraiment inspirées sur tout le métrage, c'est peu).

Le bouche à oreille devrait être assez mauvais, sinon c'est à se manger les couilles en salade pour le réveillon.

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"Dans une France fictive, une nouvelle loi autorise un spectateur en état de détresse morale à attaquer un spectateur qui fait "Eeeeeeehng"..."
Qui-Gon Jinn, 16.10.2014

Ha non non, je devais faire la critique et tout... mais pas le temps de faire plus d'une heure de voiture aller-retour là dans les délais demandés... Mais j'irai le voir... Je vais voir TOUS les Besson moi...

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Histoire de tirer sur l'ambulance, on se fait une petite filmo Besson ? C'est parti... (9h28, je me fais déjà chier au boulot)


L'AVANT DERNIER
Enfin j'ai pu voir ce court métrage à l'origine du Dernier Combat. Il y a du professionnalisme derrière, c'est indéniable. Surtout au niveau de la photographie et du montage sonore. Par contre, le film n'a strictement aucun intérêt, tant au niveau de l'histoire que de la mise en scène (très plate, en plans larges et redondants).
1/6

LE DERNIER COMBAT
Matrice de l'oeuvre à venir du cinéaste, ce premier film dégage une réelle sensibilité et un réel univers, au travers d'une mise en scène inventive, et d'un scénario en forme de pari osé. Sans le moindre dialogue, Besson parvient à faire passer l'émotion. Et le Paris d'après la bombe est sublime.
5.5/6

SUBWAY
Aie, on déchante ! On sait qu'une demi heure de métrage est resté sur la table de montage. Cela expliquerait la connerie profonde de ce scénario anémique où il ne se passe strictement rien ? Ajoutons à cela des dialogues hallucinants de crétinerie (à ce niveau, les deux meilleurs films de Besson restent ceux où les dialogues se font rares : Léon et Le Dernier combat), les acteurs cabotinent atrocement, et déjà on sent poindre les tics de Besson, notamment en ce qui concerne sa vision des flics - qu'il n'aura de cesse de répêter au cours des vingt années suivantes.
0/6

LE GRAND BLEU
Un sens certain de la photographie, de l'utilisation de la musique (un rien pompière, mais reconnaissons qu'à l'époque, on avait tous le disque, ou presque), de la direction d'acteurs... Un certain rythme, aussi. En soit, c'est pas si catastrophique, mais les tics de Besson, tant formels que thématiques et scénaristiques (les italiens qui bouffent des pâtes en débardeur), sont déjà bien lourdingues.
2/6

NIKITA
Si moralement le film pose problème, il parvient grâce à une mise en scène efficace (à défaut d'être originale) à garder sans problème le spectateur en éveil. Comme d'habitude, les dialogues foutent un peu le tout en l'air, et certains acteurs sont pitoyables (Karyo).
3/6

ATLANTIS
Joli et sans intérêt. Le seul souvenir que j'ai, c'est celui d'une musique envahissante.
3/6

LEON
La claque. Besson pompe sans vergogne à droite à gauche et son film devient un catalogue de scènes et de personnages piqués ici ou là. Au demeurant, le scénario est un calque de celui de Gloria, de Cassavetes. Les dialogues (rares dans la première partie) sont toujours aussi cons, les acteurs en font des tonnes, la mise en scène même si un peu plate se fait moins répétitive. Et heureusement, le film se restreint au niveau du contenu pédophile.
2/6

LE 5EME ELEMENT
Un foirage ahurissant, dans lequel chaque élément est emprunté à un autre film et organisé autour d'un scénario pétrifiant de conneries et d'invraissemblances (on ne compte plus les incohérences), et d'une mise en scène molassonne. Les acteurs sont nuls, les costumes aussi.
0/6

JEANNE D'ARC
Sous l'oeil de Luc, la pucelle d'Orléans devient une cinglée traumatisée par le viol de sa soeur par les anglais, qui court au ralenti dans les champs, et brûle sur les airs de Carmina Burana. La honte absolue.
0/6

ANGEL-A
Bizarrement, je suis curieux. Le mixage (sur le papier) entre Les Ailes du désir et Paris filmé comme au temps de la Nouvelle Vague, m'attire. Puis mon Besson préféré était déjà en n&b. Maintenant, je ne m'attends pas aux miracles. Mais croyez le ou non, je n'enterre jamais un cinéaste, même quand il s'appelle Besson.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Ah en oui, j'y croyais aussi, vu que le reste est trop évident dès le titre...
Putain vous venez de me l'achever définitivement ce film (bon, il en avait pas vraiment besoin, j'y serais jamais allé, mais un bon dernier coup de pied quand on est à terre ça fait toujours du bien !)

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Netflix les gars, Netflix.

C'est pas eux qui chient comme des cons sur King Kong?



bon, y'a celle du miroir, trop classique mais en effet """"inspirée"""" mais l'autre je vois...

déjà qu'il faisait du teasing sur la fameuse actrice secrète et qu'au final c'est une quasi inconnue dont tout le monde se tape (et là Mufti va répondre "ou QUE tout le monde se tape") !

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Janet

SUBWAY

Souvenir d'un truc qui vieilli, mais pas chiant... Longtemps que je ne l'ai pas vu toutefois
4/6

LE GRAND BLEU

Pas vu depuis 88... Aucun souvenir à part que je m'étais fait chier grave. Et que y'avait des jolies images dont je me souviens encore...

NIKITA

Excellent souvenir d'un film efficace et parfois touchant. 4.5/6


LEON
Mon Besson préféré comme pour beaucoup... J'avais trouvé ça très beau et très bien
5.5/6


LE 5EME ELEMENT
J'avais suradoré au ciné, la revision tempère un peu le truc, mais je trouve ça sacrément bien foutu et avec un peu d'effort, on peut passer sur le bouts de gras...
5/6


JEANNE D'ARC
Je me suis fait chier, mais faut reconnaître que Besson a essayé d'avoir un regard personnel sur Jeanne d'Arc...
3/6


ANGEL-A

Une nullité abyssale, j'arrive pas à comprendre comment on peut pondre un scénar aussi mince et facile et prévisible et chiant et tout... Le film sent vraiment fait à la va vite, sans la moindre intrigue, le moindre enjeu, le moindre intérêt. Je déteste absolument tout de bout en bout (sauf Jamel et pourtant il est pas aidé par un perso qui est d'une connerie qui ferait passer les deux zigotos des Chevaliers du ciel pour du Kubrick)

non même pas, y'a que Besson qui a le droit de la tringler... Et putain qu'est-ce qu'elle est bien foutue...