Forum de FilmDeCulte

Le forum cinéma le plus méchant du net...
Nous sommes le 20 Sep 2024, 04:00

Heures au format UTC + 1 heure




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 617 messages ]  Aller à la page Précédente  1 ... 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19 ... 42  Suivante
Auteur Message
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 06 Sep 2010, 23:11 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 16:48
Messages: 11648
Localisation: in the forest of the Iroquois
Et épisode 7 qui tutoie les sommets atteints par la série.

Un vrai bijou de 40 minutes.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 09:27 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 11 Juil 2005, 11:52
Messages: 5388
Localisation: in Baltimore with Mcnulty
Noony a écrit:
Et épisode 7 qui tutoie les sommets atteints par la série.

Un vrai bijou de 40 minutes.


Par encore vu le 6 mais j'ai jeter un petit coup d'oeil sur le 7 en passant et effectivement ca à l'air du tout bon : Avec Draper et peggy en persos principaux. J'ai hâte

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 09:27 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 11 Juil 2005, 11:52
Messages: 5388
Localisation: in Baltimore with Mcnulty
Noony a écrit:
Et épisode 7 qui tutoie les sommets atteints par la série.

Un vrai bijou de 40 minutes.


Par encore vu le 6 mais j'ai jeter un petit coup d'oeil sur le 7 en passant et effectivement ca à l'air du tout bon : Avec Draper et peggy en persos principaux. J'ai hâte

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 09:53 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 11 Juil 2005, 11:52
Messages: 5388
Localisation: in Baltimore with Mcnulty
Sinon une trés belle critique sur la saison 3 et sur la série en général:
http://www.leblogtvnews.com/article-ser ... 35765.html
Citation:
Donald Draper est une icône. Une figure de papier glacé, un rêve pour bien des femmes et un objet de jalousie pour bien des hommes. Cela tient à un je ne sais quoi de cette élégance naturelle, quand il allume une cigarette ou qu’il ôte lentement son chapeau de feutre le soir en rentrant chez lui. Il y a aussi cette voix grave et profonde et ce regard triste qui cache un passé douloureux. Donald Draper est à la fois un homme de son temps et un enfant du passé. Un gamin qui a eu hâte de devenir un adulte et un adulte qui n’a jamais conjuré la souffrance de son enfance.

Donald Draper est à la fois le personnage central mais également le visage et le tempérament de Mad Men. La sublime série de Matthew Weiner, qui fut autrefois scénariste des Sopranos, parle évidemment des hommes, mais également des femmes. Beaucoup, souvent et surtout des femmes, avec une grande subtilité et une inébranlable justesse. Si l’on ne devait donner qu’une raison pour aimer passionnément cette fiction dans laquelle il ne se passe rien, c’est qu’elle raconte les gens. Elle dit leur histoire, elle dit qui ils sont et dans quel monde ils vivent. Mad Men, c’est le retour de la littérature classique après le naufrage de l’autofiction. En d’autres temps, Donald Draper aurait pu s’appeler Lucien Leuven ou Caleb Trask. Il y a en lui un curieux mélange du héros de Balzac et de celui de John Steinbeck, le frère jumeau marqué par son caractère ombrageux et secret dans A l’Est d’Eden. Quant à Betty, elle aurait pu être Emma Bovary.

Une malédiction qui poursuit Don.

Il y a dans Mad Men une majesté narrative, un respect des canons du récit, une lenteur exaspérante qui laisse aux personnages le temps de vivre, d’exister, de nouer entre eux des rapports complexes et de montrer les différences facettes de leur caractère. Révéler un secret, cela exige du temps. Parvenir à une rupture peut prendre des années. Un mariage ne s’effiloche pas au premier accroc. Pour que la séparation soit bouleversante, il faut que l’on ait vécu avec Donald et Betty. Il faut que l’on se soit apprivoisé à eux et qu’on les connaisse comme eux se connaissent sinon comment pourrions-nous partager et comprendre leurs émotions ? L’annonce du divorce qui vient presque ponctuer la saison 3 est l’une des scènes les plus bouleversantes qu’il m’ait été donné de voir depuis bien longtemps. D’abord, parce que Jon Hamm est capable d’exprimer la douleur d’un simple regard dans lequel l’incompréhension le dispute à l’incrédulité qui s’efface devant la peur, qui elle-même finit par céder la place à l’étourdissement. Ensuite, parce que cette scène est belle sur l’instant, mais parce qu’elle trouve un écho inattendu dans une autre scène. Don, qui vient demander à Peggy Olson de l’accompagner dans l’aventure de la nouvelle agence après le départ de Sterling et Cooper.

Dans un cas, Don perd tout, son univers familial s’effondre et cette faillite personnelle le renvoie à celle qu’il connut dans son enfance. Comme si une malédiction le poursuivait. Dans l’autre cas, il réussit à convaincre Peggy, petit animal tremblant, assise sur le bout de son fauteuil, hésitant dans l’affirmation de sa féminité moderne et se débattant avec la tradition qui ne cesse de lui rappeler qu’elle n’est qu’une femme et que sa voix n’a toujours pas la force de celle des hommes. Professionnellement, son existence est un succès, tout ce qu’il entreprend est couronné par la réussite. On ne peut pas tout avoir et le bonheur a la décence de ne pas être indécent. La joie ne s’apprécie qu’à l’aune de la souffrance. Il faut apprendre à perdre pour savoir ce que gagner veut dire.

Femmes modernes

C’est de cela dont nous parle Mad Men. De l’histoire des hommes, des femmes, des relations qu’ils entretiennent et de l’éternité de ces relations, sans cesse mouvantes et se répétant à l’infini. Elle nous parle aussi de cette lente évolution, de cette conquête quotidienne pour reconnaître au deuxième sexe cette place qui est la sienne. Peggy Olson est l’incarnation de la modernité. Elle me rappelle Anna Karénine, autre magnifique figure moderne. Présentée comme une incarnation du péché parce qu’elle est incrédule, parce qu’elle déteste son mari et parce qu’elle assume sa passion coupable avec Vronski, Anna devient peu à peu une représentation de la liberté au fil du livre. Peggy suit cette même évolution. D’abord mère célibataire, incapable d’assumer l’éducation de son enfant, elle gravit peu à peu les échelons, elle pousse les hommes qui se révèlent bien peu courageux au moment de défendre leurs prérogatives. Son émancipation se révèle en une réplique, une seule. Installé dans une suite de l’hôtel Pierre à New York, Cooper demande à Peggy d’aller lui chercher à café parce qu’il vient de travailler plusieurs heures d’affilée et que son attention se relâche. La réponse tombe comme le rideau sur la fin d’une époque : « non ».

Là encore, cette affirmation du bouleversement dans le rapport entre les hommes et les femmes trouve un écho avec une scène un instant plus tôt. Joan Holloway, qui a elle aussi décidé de s’engager dans l’aventure, fait son entrée dans l’agence Sterling Cooper où les préparatifs du départ s’accomplissent à la faveur du week-end. Christina Hendricks est d’une beauté et d’une assurance à couper le souffle. Sans avoir besoin de parler, elle affirme à tout le monde que c’est elle qui va s’occuper de toute l’intendance de la transition et que cela ne souffre aucune contestation. Les hommes n’ont qu’à lui obéir au doigt et à l’œil.

Passage à l’économie ultra-libérale

Cette sécession est un moment capital que Weiner a exploité avec une maestria parfaite. Elle est l’occasion de poser la question de l’égalité des talents mais également de la répartition des pouvoirs entre hommes et femmes. Et comme il le suggère, ces messieurs devraient se montrer un peu plus clairvoyants et ne pas s’aveugler parce qu’ils ont encore le sentiment de donner des ordres. Ensuite, elle marque l’aboutissement d’une tendance qui s’est dessinée doucement par petites touches: le passage de l’économie paternaliste à l’économie capitaliste. Cette transformation était en germe lorsque que Sterling Cooper est reprise par les Britanniques. Don Draper a cette remarque d’un autre temps : il n’a jamais signé de contrat, il disposait d’une assurance verbale, la parole ayant valeur de loi, elle ne pouvait pas être contestable pensait-il. Cette OPA hostile aboutit finalement à un départ des cadres de l’agence de publicité, qui décide de fonder leur propre compagnie, de profiter de l’élargissement du marché publicitaire sous l’effet d’une consommation de masse pour bâtir une concurrence. Il ne s’agit pas là du mythe revisité du self-made-man. Non, il s’agit d’une version moderne du capitalisme sauvage dans lequel tout sera négociable par avance, où le talent compte autant que la manière dont il se monnaie. Ce que Peter a parfaitement compris en exigeant de devenir l’un des associés. La promotion à l’ancienneté et au mérite est déjà une valeur du passé. On n’est qu’en 1963, mais déjà le libéralisme des années 80 est perceptible.

Cette modernité est également suggérée dans de nombreuses autres scènes. L’une des plus significatives est celle où le vieux Bert Cooper se trouve dans son bureau. Il vient de faire l’acquisition d’un tableau de Mark Rothko, peintre américain qui appartint à une génération d’artistes qui ont fondamentalement modifié la nature et la forme de la peinture abstraite. Il y a quelque choses d’impressionniste dans Mad Men. Tout y est dit par petites touches, successives, presque imperceptibles sur l’instant, un peu à la manière de ces œuvres de Claude Monet qui vous montrent une réalité changeante au fil du jour, en suivant la lumière, car rien n’est pareil selon l’instant auquel on le regarde.

Weiner nous dit que le marché de l’art va bientôt devenir un enjeu financier majeur. Un domaine dans lequel l’argent va couler à flots, presque d’une manière indécente. Il va échapper à l’univers des riches amateurs et des passionnés fortunés pour entrer dans celui des riches qui pensent qu’une œuvre d’art suspendue dans leur salon atteste de leur bon goût, de la subtilité de leur jugement esthétique et de leur culture. Pour reprendre un passage de L’Espoir d’André Malraux, c’est le triomphe de ceux qui n’ont pas besoin de l’art pour vivre, mais qui le considèrent comme une valeur marchande.

Le deuil de JFK

Suivant la même technique, on va poser la question de l’homosexualité (pour laquelle Don Draper fait d’ailleurs preuve d’une inattendue largesse d’esprit), mais également la question des droits civiques alors que le Civil Rights Act n’est pas encore signé. Cela intervient en 1964. De même est abordée à mots couverts (comme cela devait alors se passer) la question de l’avortement. Il faudra attendre pour cela l’arrêt de la Cour suprême des Etats-Unis Roe vs. Wade de 1973. Egalement est posée la question des couples mixtes et puis celle du divorce qui constituait alors une exception et une pratique regardée d’un mauvais œil dans une Amérique puritaine. Les choses se passent sans doute mieux parce que Don et Betty évoluent dans un milieu un peu plus avant-gardiste, celui de la publicité.

Enfin, Mad Men nous parle cette période troublée du début des années 60 après quelques années de calme et de prospérité qui suivirent la fin de la Seconde guerre mondiale. Des bouleversements interviennent comme des frémissements annonçant des heures sombres et de souffrance. On suit à la radio la crise des missiles de Cuba où pendant quelques jours, le monde se trouve au bord du gouffre nucléaire. De cet épisode sortira l’équilibre de la terreur avec la confection de milliers d’ogives dont la menace plana d’une manière pesante lors de la glaciation de la Guerre froide sous Leonid Brejnev puis Andropov et Tchernenko avant la glasnost et la perestroïka initiées par Mikhaïl Gorbatchev. La guerre du Vietnam n’est pas encore là, mais on peut la deviner, on peut sentir le malheur qui rôde et qui va finir par rattraper l’Amérique insouciante et tout occupée à consommer.

Ce basculement s’accomplit avec l’assassinat de John Kennedy le 22 novembre 1963 à Dallas. Il est évident que les Etats-Unis n’ont pas fait leur deuil de cet épisode tragique de leur histoire. Ils n’ont pas surmonté cette épreuve. Cette mort a été montrée des centaines de fois à la télévision ou au cinéma, elle a fait l’objet de milliers de documents, rapports, livres, enquêtes, témoignages, récits. C’est certainement l’événement du demi-siècle écoulé qui fut le plus commenté, le plus représenté, le plus montré aux Etats-Unis. Et pourtant Weiner trouve un moyen nouveau de nous offrir ces quelques minutes tragiques. Idée de génie, il décide de ne rien montrer. Juste de filmer Don Draper, ignorant dans tout son égoïsme du monde qui l’entoure, qui sort de son bureau. Dans la grande salle des dactylos, tout le monde est rassemblé autour d’un simple poste de radio, au chevet d’un président que l’on espère encore vivant, tandis que retentit le vacarme assourdissant des téléphones auxquels personne ne répond. Pendant quelques instants, on est dans la tragédie. Plus rien d’autre n’existe. Le monde autour de nous disparaît. Le monde crie et hurle à l’extérieur, mais avec les personnages, on n’entend plus qu’une voix, celle du commentateur de la radio qui nous annonce que JFK est mort. Et l’on a envie de pleurer. Mad Men, c’est la résurgence de la tragédie classique dans le postmodernisme.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 09:55 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 16:48
Messages: 11648
Localisation: in the forest of the Iroquois
JeeB a écrit:
Noony a écrit:
Et épisode 7 qui tutoie les sommets atteints par la série.

Un vrai bijou de 40 minutes.


Par encore vu le 6 mais j'ai jeter un petit coup d'oeil sur le 7 en passant et effectivement ca à l'air du tout bon : Avec Draper et peggy en persos principaux. J'ai hâte


Sincèrement, c'est un épisode somptueux. Je me rends compte que c'est vraiment lorsque la série se permet des bulles comme celle ci (ou comme lorsque Don partait à Los Angeles), qu'on se focalise sur les sentiments des personnages, que la série est la plus belle. Il y a une tension de fou dans cet épisode, avec une noirceur qui s'instille petit à petit, une destruction du personnage de Draper de tous les instants, et une renaissance finale, avec encore une fois ce motif du réveil (il aime ça le Weiner j'ai l'impression) qui déchire absolument tout (le moment ou Peggy ouvre la porte sur Don, le lancement de Simon & Garfunkel... brrrrrr que c'est bien cette série).


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 09:59 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 11 Juil 2005, 11:52
Messages: 5388
Localisation: in Baltimore with Mcnulty
Noony a écrit:
JeeB a écrit:
Noony a écrit:
Et épisode 7 qui tutoie les sommets atteints par la série.

Un vrai bijou de 40 minutes.


Par encore vu le 6 mais j'ai jeter un petit coup d'oeil sur le 7 en passant et effectivement ca à l'air du tout bon : Avec Draper et peggy en persos principaux. J'ai hâte


Sincèrement, c'est un épisode somptueux. Je me rends compte que c'est vraiment lorsque la série se permet des bulles comme celle ci (ou comme lorsque Don partait à Los Angeles), qu'on se focalise sur les sentiments des personnages, que la série est la plus belle. Il y a une tension de fou dans cet épisode, avec une noirceur qui s'instille petit à petit, une destruction du personnage de Draper de tous les instants, et une renaissance finale, avec encore une fois ce motif du réveil (il aime ça le Weiner j'ai l'impression) qui déchire absolument tout (le moment ou Peggy ouvre la porte sur Don, le lancement de Simon & Garfunkel... brrrrrr que c'est bien cette série).



Dans le court extrait que j'ai vu pour la première j'ai trouvé que peggy dégageait quelque chose de sexy. J'adore son personnage et sa relation avec Don et cet épisode à l'air de n'être que ça...
Ce soir ep 6 et 7!

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 17:22 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 16:48
Messages: 11648
Localisation: in the forest of the Iroquois
Mad Men fait la une de Rolling Stone.

Et c'est moche !

Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 17:27 
Hors ligne
Expert

Inscription: 15 Juil 2009, 21:22
Messages: 7336
Et le personnage de Peggy est totalement contredit au nom du sacro-saint glamour.

Mouarf.

Pour continuer dans les trahisons, il y a aussi la campagne de pub de Canal+ sur la série, avec ce slogan : "La morale de cette série, c'est qu'il n'y en a aucune". J'espère que ça attire des spectateurs au moins.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 18:24 
Hors ligne
Expert

Inscription: 04 Juil 2005, 15:04
Messages: 10218
Localisation: Montréal
Les photos de tournage sont mieux que ce que suggère la couv.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 07 Sep 2010, 18:30 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 11 Juil 2005, 11:52
Messages: 5388
Localisation: in Baltimore with Mcnulty
Noony a écrit:
Mad Men fait la une de Rolling Stone.

Et c'est moche !


VULGOS A SOUHAIT!

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 08 Sep 2010, 09:13 
Hors ligne
Expert

Inscription: 15 Juil 2009, 21:22
Messages: 7336
L'épisode 7 est excellent en effet. Je ne sais pas trop quoi dire de plus.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 11 Sep 2010, 06:44 
Hors ligne
Oberkampf Führer
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 14:38
Messages: 15542
Magnifique épisode 7, qui m'a foutu une bonne claque.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 11 Sep 2010, 07:26 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 14:38
Messages: 3254
Localisation: Somewhere Over the Rainbow
Ozymandias a écrit:
Magnifique épisode 7, qui m'a foutu une bonne claque.


Pareil. Ils sont très forts...


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 11 Sep 2010, 09:08 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 16:48
Messages: 11648
Localisation: in the forest of the Iroquois
Je vous aime.

L'image de Draper en larmes, avec du vomi sur sa chemise qui s'enchaine avec lui, tout propre tout frais en train de lire son journal, c'est totalement déprimant et incroyable de simplicité pour continuer à approfondir le perso.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Mad Men
MessagePosté: 11 Sep 2010, 19:40 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 04 Juil 2005, 14:38
Messages: 3254
Localisation: Somewhere Over the Rainbow
Noony a écrit:
Je vous aime.

L'image de Draper en larmes, avec du vomi sur sa chemise qui s'enchaine avec lui, tout propre tout frais en train de lire son journal, c'est totalement déprimant et incroyable de simplicité pour continuer à approfondir le perso.


C'est fou comme ces deux persos fonctionnent bien et réellement. La tension en début d'épisode (quand Peggy doit partir, qu'elle enlève son manteau, le remet, puis lui qui fait son relou, elle qui se laisse faire), la complicité ensuite (au resto, avec la souris, et l'épisode glamour avec Draper puis l'autre ivrogne qui veut se lâcher sur un fauteuil)... et ces larmes, cette main effleurée, ce regard avant de sortir... Ils sont magiques.


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages postés depuis:  Trier par  
Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 617 messages ]  Aller à la page Précédente  1 ... 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19 ... 42  Suivante

Heures au format UTC + 1 heure


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités


Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages

Rechercher:
Aller à:  
cron
Powered by phpBB® Forum Software © phpBB Group
Traduction par: phpBB-fr.com
phpBB SEO
Hébergement mutualisé : Avenue Du Web