Forum de FilmDeCulte

Foutage de gueule pure et simple, le scénariste se moque du spectateur et balance des rebondissements au petit bonheur la chance. Que vient faire Doom avec l'armée ? On se le demande, je n'ai toujours pas pigé à quoi il sert.

Un autre truc qui montre la débilité du scénariste : Richard et Susan décident de quitter l'équipe. Ils VIENNENT de le décider ! Scène suivante (qui dans la chronologie se passe immédiatement après, genre une minute après) : Johnny, qui a entendu les intentions de Richard et Susan, commence à gueuler, du genre "ah ouais, et vous comptiez nous le dire quand ?!!!!". J'avoue que je ne pige pas.

J'oubliais la crème : Alba, bien entendu, absolument lamentable, pire qu'une actrice porno, mais qui parvient à être supplantée dans la nullité par... La black qui joue Alicia !! Putain, alors elle non seulement elle est nulle, mais en plus elle cabotine à mort avec son regard d'aveugle qui fixe le vide ! Dans le genre aveugle, même Gibert Montagné est plus supportable !

Voila, y a pas grand chose à dire... Le surfeur existe le temps de deux plans, Doom est inutile et l'acteur semble meme s'en rendre compte, les gags sont lamentables, les FX ne sont même pas à tomber... Il y a même certaines scènes où je me suis sérieusement demandé s'ils ne manquaient pas de budget.

0/6

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Ok, je n'ai pas vu le film, mais ça c'est impossible.

Voilà.

Moi je retiens comme tu dis deux plans: celui où il surfe sur le building, en plongée (en encore, on le voit un peu dans la bande-annonce), et celui où il apparait entre les arbres.

Alba est une insulte au jeu d'acteur, à tous ceux qui rament pour essayer de vivre de ce métier.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je confirme, c'est possible.

C'est incroyable comment un seul personnage peut amener un point entier à un film.

Le Silver Surfer c'est comme cette espèce de grosse déchirure au milieu du film qui laisse entrevoir un autre truc, tellement plus noble.

Si j'apprécie le parti-pris du film de super-héros joyeux, coloré, ça reste quand même assez pauvre et manquant quand même d'ampleur. Mis à part tout ce qui tourne autour du Surfer, bien évidemment.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Quand il là ? J'aime assez bien ça.



Ca passe très bien ça. Même si je m'attendais à plus d'hommages à la forme générale de son espèce de chapeau.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Yep me too.

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Catastrophique en effet.

Et, pour moi, c'est physique. J'ai trop de mal avec sa tête. La bouche, les joues, l'implantation du pif. Y a un truc intangible qui me déplaît profondément dans sa gueule (dans son corps, c'est autre chose).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Vu avec du retard (enfin je me suis retrouvé là par hasard) et.......
Ben au moins c'est l'une des rares suites qui ne m'aura pas déçu, le n° 2 suit à la lettre la règle du toujours plus.
Malheureusement vu le 1er ca donne du toujours plus pourri en matiere de :
- Fx (putain les FX de M. Fantastic, la chose au moins reste aussi pourri que dans le 1),
- de décors (ils ont recyclés la foret de x-men 3, la ville en asie)
- de persos (ah doom qui s'en va et qui revient , ah le sufer et sa psychologie)
- d'histoire (au moins là ca raconte rien)
- d'acteurs (jessica t'es mauvaise actrice d'habitude mais au moins t'es agréable à regarder mais la en blonde c'est pas possible)
- d'humour ( ah l'humour toujours l'humour)

Enfin bref c'est tellment merdique à tous les niveaux qu'on pourrait concurrencer le bottin à énumérer tout ce qui foire dans ce film

Sans note/6

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