Citation:
C'était donc à toi d'aller dans un bar avec un espace fumeur bien délimité... Je suis sûr que tes potes fumeurs auraient accepté et seraient allés fumer leur clope dehors le temps de la soirée passée avec toi...
Le truc c'est que très peu de bar ont réellement mis ça en pratique et l'état a été trop con pour les forcer.
Moi des bars avec une vraie délimitation, j'en connais pas. Et dans les restos, c'est (c'était) le plus souvent un "côté" fumeur, un "côté" non-fumeur. Et la fumée qui se balade au milieu.
Citation:
L'intolérance des non fumeurs est plus pernicieuses, elle se base sur leur bon droit à leur propre santé, c'est un comportement aussi egoïste que celui du fumeur... Le manque de compassion de ta part vis à vis des fumeurs en est la preuve...
Je pense sincérement que cette loi peut contribuer à en aider certains à arrêter.
Citation:
Moi ce qui me choque le plus dans cette loi, c'est qu'il n'y a aucun accompagnement dans l'arrêt de fumer qui est prévu à part 50€ dans l'année de remboursement de patch. Et des fumeurs montrés du doigt, culpabilisé et ccusé de tous les maux par les autres
Le site tabac.gouv.fr:
Développer l’accompagnement humain au sevrage en démultipliant les deux modes de consultations de tabacologie
Objectif : Augmenter l’offre de consultations d’aide au sevrage pour les fumeurs en passant de 500 à plus de 1 000 lieux de consultations sur le territoire.
Les "consultations de groupe" sans rendez-vous.
Elles permettent aux fumeurs de se rencontrer, d’échanger et d’instaurer une dynamique collective motivant l’arrêt. Il en existait 26 fin 2006. L’objectif pour l’année 2007 est de multiplier par 8 leur nombre pour atteindre le chiffre de 260. (Coût : 8 millions d’euros en année pleine).
Les consultations individuelles sur rendez-vous plus traditionnelles.
Elles accompagnent de manière personnalisée le fumeur dans sa démarche. Il existait 500 lieux de consultations individuelles fin 2006 (225 dans les établissements publics et 275 dans le secteur privé). Les départements disposent tous d’au moins un lieu de consultation (173 700 patients sur toute la France). L’objectif pour l’année 2007 est d’augmenter le nombre de lieu de 40 %, pour atteindre 200 lieux supplémentaires. (Coût : 13 millions d’euros en année pleine).
Prendre en charge l’accompagnement médicamenteux en proposant une prise en charge forfaitaire des médicaments d’aide à l’arrêt recommandés par la HAS
Objectif du Gouvernement : en 2007, aider 1,2 million de fumeurs à s’arrêter de fumer.
Les traitements médicamenteux recommandés par la HAS sont :
Les traitements nicotiniques de substitution (TNS).
Il existe 4 modalités d’administration : système transdermique, gomme, pastille sublinguale et inhaleur. La durée de prescription du traitement varie entre 6 semaines et 6 mois pour un coût moyen mensuel de 62 euros. Depuis le 1er février 2007, l’Assurance maladie rembourse, pour un montant maximum de 50 euros par an et par bénéficiaire, ces traitements nicotiniques de substitution (TNS). Les études cliniques montrent que l’utilisation d’un TNS augmente le taux d’arrêt (de 10 à 18 % selon que l’on utilise ou non un TNS), ce qui double presque les chances de s’arrêter de fumer (contre placebo).
Les autres médicaments d’aide au sevrage.
Au nombre de deux actuellement, ils sont délivrés uniquement sur prescription médicale (le bupropion, la varénicline).
La HAS recommande également des thérapeutiques non médicamenteuses, qui ne font pas l’objet d’une prise en charge pour l’instant.
A la demande du ministre de la Santé et des Solidarités, la Haute autorité de santé s’est prononcée sur l’efficacité et l’efficience de l’ensemble des thérapeutiques disponibles dans l’aide au sevrage tabagique et sur les stratégies thérapeutiques à privilégier (avis du 23/01/2007). Elle a notamment identifié des groupes à risque prioritaires. Des mesures complémentaires pourraient éventuellement être envisagées au vu de la recommandation de la HAS.
Poursuivre le dispositif d’aide à l’arrêt du tabac "Tabac info service"
Le ministère chargé de la Santé et l’INPES ont développé un dispositif permanent pour accompagner et soutenir les fumeurs dans leur démarche d’arrêt : Tabac info service.
Par téléphone
Une ligne d’aide à l’arrêt est à disposition du public : le 0 825 309 310 (Tabac info service, 0,15 €/minute, service ouvert de 8h à 20h du lundi au samedi). Outre l’information, l’orientation et le conseil simple, TIS offre aux fumeurs la possibilité d’un service de seconde ligne, avec prise de rendez-vous téléphonique pour entretien avec des tabacologues pour conseil dans la démarche de sevrage. Ce service accompagne aussi les professionnels de santé dans l’amélioration de leur offre de soins par la fourniture de documentation et par un partage de leurs expériences en matière de prise en charge de la dépendance tabagique.
Sur internet
En complément de la ligne d’aide à l’arrêt, l’INPES a lancé un site internet dédié à l’arrêt du tabac : tabac-info-service.fr, dont l’objet est de permettre aux internautes d’accéder à un accompagnement personnalisé dans leur démarche d’arrêt ou celle de leurs proches. On y trouve notamment : l’annuaire des consultations de tabacologie et d’aide à l’arrêt du tabac , des éléments sur les risques du tabagisme et les bénéfices de l’arrêt du tabac et les solutions pour arrêter de fumer. De plus, il existe également des liens vers les sites de l’Assurance maladie (liste des traitements pouvant bénéficier du forfait), et de la HAS (détail des recommandations). Citation:
Parceque oui, on le sait la cigarette c'est extrement mauvais, alors il faut lutter contre. Comment? ben toujours de la meme façon, au détriment du consiommateur alors que c'est à la racine qu'il faudrait agir. je n'aborde aps lesujet de l'arret de la vente et de la production de cigarettes, je serais utopique mais pourquoi ne pas en changer la composition ? Apres tout, le tabac à la base, c'est une feuille séchée, rien que du naturel... Pourquoi lui rajouter de la merde ? Pour créer l'addiction ? Pour donner du goût ? Y'a surement des moyens pour le faire sans que ça soit aussi nocif, mais c'est plus dur à trouver, faut réfléchir, faut investir, alors qu'interdirei, ça prend pas de temps et c'est facile à pondre une loi...
Chuis d'accord, de toute façon y a une grande hypocrisie derrière tout ça.