Forum de FilmDeCulte

On ne peut pas dire que le film soit mineur. C'est un vrai pixar tout aussi important qu'un Ratatouille par exemple

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Captain phpBB - kikoo lol mdr !!!!!

On peut considérer Ratatouille mineur.

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Je le trouve plus original, quand même

Lequel?

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Là-haut

ça reste un DA sur un vieux monsieur

D'ailleurs entre Button, Gran Torino et Là-haut, c'est un thème en vogue, la vieillesse, dans le cinéma US

Vieillissement de la population moyenne dans les États occidentaux (même si aux Etats-Unis, ce vieillissement est moins marqué...). Faut s'adapter aux évolutions du public...

Oh la critique de vendu !!!

Il y a en effet une scène absolument magnifique, celle qui est citée dans l'article, mais c'est 5 minutes géniales dans un bon film de 1h44.

Quand Carl, un grincheux de 78 ans, décide de réaliser le rêve de sa vie en attachant des milliers de ballons à sa maison pour s'envoler vers l'Amérique du Sud, il ne s'attendait pas à embarquer avec lui Russell, un jeune explorateur de 9 ans, toujours très enthousiaste et assez envahissant... Ce duo totalement imprévisible et improbable va vivre une aventure délirante qui les plongera dans un voyage dépassant l'imagination.

Même s'il manque la scène genre la ratatouille de maman ou l'espace dévasté qui flatte l'intelligence du spectateur et que certains persos comme le chien ou le boy scout renvoient parfois ce Up à son rang de films pour enfants, il faut aussi compter avec l'imaginaire fantasque de Pete Docter (Monstres & cie) et sur un certain panache pour choisir un vieux (ou même filmer du sang à la suite d'une agression) au coeur d'un film d'aventures débridés qui s'apprécie mille fois plus si on n'en sait pas plus que ce qu'il y a sur l'affiche.
4-5/6

gentil film écrit n'importe comment, drôle surtout quand il part en vrille, mais relou dès qu'il essaie de recoller son scénario écrit à la walou.

la 3D ne sert ABSOLUMENT à rien.

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Petite déception mais le trailer ne me titillait pas plus que ça (et passer après Wall-e c'est chaud aussi)...

Pour moi un Pixar mineur oui, mais assurément un beau film, plein d'émotions (le début est très gloups quand même, j'étais en larmes) et touchant au drame poétique, avec deux persos adorables mais... le scénario est assez planplan, il y a moins de folie (quelques instants sympas - - un peu trop disséminés), des trucs franchement bof (rien à foutre des chiens et des oiseaux), évidemment on s'entend que ça reste du très haut niveau dans le domaine de l'animation, toujours incomparable avec ce qui se fait ailleurs, 4,5/6.
(NB : vu en VO mais pas en 3D)

Quant au court qu'il y a avant, Partly cloudy, je l'ai trouvé "gentil" (mais là encore, passer après le bijou Presto c'est pas facile non plus).

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Janet

J'ai trouvé ça déconcertant, entre la gravité du début (c'est même très triste), la folie au milieu et une fin peut-être plus classique avec de l'espoir, de l'amour, une morale, etc. M'étant passablement endormi à la moitié, je retiendrai tout le début plutôt couillu pour une production de ce genre avec les thèmes abordés et son traitement (du sang dans un dessin animé pour "enfants" faut oser), et entendre les gens bouffer leur pop-corn durant ces scènes est quelque peu rageant. Les enfants et les adultes ne verront absolument pas le même film.

Sinon, le court métrage du début est original et bien sympa mais ne marquera pas autant que presto.

on n'a pas eu le court à cannes, tiens, dommage

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J'ai pas vu le film mais j'ai presque envie de dire: tant mieux! Non ?

Bon là c'est un cas un peu particulier parce que je sais pas si le film a été conçu en 3D dès le début du processus ou pas... mais toujours est-il que vive les films où la 3D est juste un outil immersif en plus, et pas forcément un gadget ou quoi.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ben justement non? Si la 3D était vraiment un outil immersif en plus, elle servirait à quelque chose non?

Faut que Zad explique ce qu'il entend par "rien servir" alors...

Parce qu'un mec à Cannes - je crois que c'était Pandi - me disait que ce qu'il avait kiffé c'était que le relief ne se donnait jamais à voir, et était juste là pour rendre le truc plus enveloppant, plus immersif, sans se faire remarquer.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste