Forum de FilmDeCulte

Ptain pourquoi ils l'ont pas fait pour Transformers!!!!

Bon sinon, ça donne de l'espoir pour le Zemeckis et le Cameron.

_________________

Mais c'est n'imp', ça...

_________________
Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Pourquoi?

_________________

Sans vouloir répondre à la place d'Arnotte, c'est un peu con de mettre juste les 10 PREMIERES minutes en 3D.

Genre tu commences avec un truc trop bon, et après c'est la pente descendante.

Il vaut mieux soit en mettre un peu partout, soit FINIR là dessus (comme ils avaient fait sur le 5, il me semble).

_________________
Liam Engle: réalisateur et scénariste

En même temps, c'est bien les 10 premières minutes qui sont de très loin les plus spectaculaires...

Je suis globalement d'accord avec toi Qui-Gon, et c'est déjà ce que disait Mufti, c'est plus logique d'avoir le climax en 3D. L'apothéose quoi.
Après, comme le remarque Jericho, la grosse scène d'action du film, aussi-brève soit-elle, est au début, pas à la fin ce coup-ci. Donc bon.

Parler de "pente descendante" ou de "n'imp" juste parce qu'après 10 minutes, c'est plus en 3D, mouaif. C'est juste un bonus, rien de plus.

_________________

Justement, j'aime pas ce principe de "cadeau" ou "bonus"... Soit tu mets le film en 3D, soit pas...

_________________
Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Vision réductrice mais ok...

_________________

A propos, elle est pas gégé... Le pétage du Millenium Bridge, c'est complètement gratuit. On est des méchaaants! Ouaaais! On va péter le pont! Ouaaaiiis! (et puis tous les piétons disparaissent *par magie* ouaaaiiis!)

_________________
Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Quelle plaie !
Scandaleuse adaptation d'un roman pourtant haletant.
Moins bon de tous les films, mais de looooooin.
Aucun intérêt, aucun rythme, aucune implication, les moments forts sentent la chaussette sale et la culotte d'adolescente pubère, les moments clés sont passés à la trappe.
Putain mais c'est quoi l'arnaque là ?! Je savais que la saga était aussi axée sur les amourettes des apprentis sorciers mais je m'attendais pas à un remake de Premier Baiser !
C'est mauvais, cucu au possible, mielleux et pathétique, plein de bons sentiments (le millenium bridge qui pète avec plus personne dessus...) tout ça avec des acteurs mauvais en plus. Raaaaaaaaaaah ! Quel gachis putain !
L'intrigue est survolée, la mort de machin est expédiée, genre la belle corvée quoi mais merde, c'est quand même LE temps fort du bouquin !
Bref, c'est long et chiant.
zzzzzzzzzzz/6

_________________
On a frôlé la fissure anale...

Au terme d'un week-end d'enchaînement de tous les épisodes de la saga, en vue de la sortie de l'avant-dernier film, et pour les montrer à ZaZa qui ne les avait jamais vu, je me suis enfin revu le 6 aujourd'hui.
C'était le seul que j'avais vu qu'une seule fois, en salle, alors que je les ai tous vu au moins deux fois au ciné et plusieurs fois en DVD/Blu-ray, et celui-ci je l'avais même pas encore acheté, étant resté sur le goût de la déception pour un film que j'avais apprécié mais que je trouvais en deçà des espérances (comme je l'ai déjà dit, pour moi c'est le meilleur livre après le 3 et Yates est le meilleur réal après Cuaron).

Cette fois-ci, défait du souvenir du livre, dont la lecture est à présent bien lointaine, et succédant à un marathon des cinq premiers volets, j'ai pu davantage apprécier ce chapitre pour ses qualités et sa cohérence au sein d'une franchise cinématographique.
Si la première fois, les choix d'abandonner certains "flashbacks" sur la vie de Voldemort ou de diminuer l'ampleur des scènes d'action au profit des amourettes adolescentes m'avait quelque peu frustré, ces décisions me sont apparues plus évidentes ce coup-ci. Quand j'y repense, y a des trucs qui "devaient" sauter, qui sont dispensables quand tu te dois d'adapter un tome de 600 pages en un film de 2h30, et quand ce sacrifice est fait afin de pouvoir s'attarder davantage sur les protagonistes, je ne le regrette finalement pas.

Je déplore que le rythme soit trop lâche et que la dimension de l'intrigue paraisse inférieure à celle des deux films précédents, mais je trouve ce que Yates et Kloves font en échange plutôt nourrissant.
Le ton est donné par cette magnifique intro, originale, qui précède chronologiquement la dernière scène du film d'avant, indiquant que cet opus sera plus intime, plus mélancolique, s'intéressant au rapport Harry/Dumbledore...mais aussi Malefoy.
J'aime que l'un des enjeux du récit soit la "lutte pour l'âme" de Draco, disputée comme une Guerre Froide entre Voldemort et Dumbledore...
J'aime les scènes tristes et assez belles comme l'anecdote de Slughorn sur le cadeau offert par Lily...

C'est pour ce genre de séquences que je trouve le film précieux quelque part...
Et aussi pour son visuel, dont je ne me lasse pas, tellement classe...ou carrément majestueux (la scène des Inferi).

Du coup, ça m'a bien chauffé à nouveau pour le 7 alors que je ne l'attendais presque plus...même si je crains que la division en deux longs métrages fasse de la 1ère partie un road movie franchement relou...

_________________

Elle est vraiment très bien cette scène, bien jouée, bien précise, simple... Ca fait partie des petits pics élégants qui me font préférer celui-ci au 5è opus, malgré les réserves énormes que j'ai sur l'ensemble.

J'ai revu ce film un peu par hasard car mon fils voulait le voir. C'est évidemment comme si je le voyais pour la première fois, absolument AUCUN SOUVENIR de RIEN.

Hé bien c'est pas si mal. Je trouve que le film a une certaine douceur qui va bien avec son côté ouaté. Tout est enterré, en sourdine, l'image est quasiment en N&B par moment. Y a quelque chose de sépulcral. Bon après je sais pas quoi en penser de plus mais je trouvais que ça passait bien.

_________________
Liam Engle: réalisateur et scénariste