Forum de FilmDeCulte

Top 5 Déceptions :
5. Us
4. Roubaix, une lumière
3. Gemini Man
2. Glass
1. Quand on crie au loup


Et le flop :


10. Un grand coup dans mon cul. Au-delà de toutes ses faiblesses (de réa, d'humour, d'écriture), le défaut fatal du film est d'être un film d'arnaques ou pas une arnaque n'est un tant soit peu crédible. Tous les persos sont aussi cons qu'un flic dans une prod Europa.


9. MIBite. À l'heure où on crache sur les "produits conçus par algorithmes" de Netflix, c'est du Renoir à côté de ce scénario vraisemblablement écrit par des robots qui pensent mettre au goût du jour un univers qui n'a plus rien d'original depuis bien longtemps.


8. Green Bouze. Chaque cérémonie de remise des Oscars a connu un outrage et 1991 ne déroge pas à la règle. Quand Miss Daisy & son chauffeur remporte la statuette face à Do The Right Thing, Hollywood envoyait un message clair et net concernant le genre de film sur le racisme qu'il préférait. Trente ans plus tard, rien n'a changé. En tout cas, rien ne semble avoir changé pour un certaine catégorie de gens qui semblent préférer toujours célébrer le feel-good movie qui les fait se sentir bien à propos d'eux-mêmes. Green Book est un énième film par des blancs sur un blanc et pour des blancs en quête de bonne conscience, où les questions de droits civiques sont simplifiées au point de se régler une personne à la fois et dans la douceur. Un échec sur le plan politique mais également artistique.


7. Hellbouze. Comme prévu, on est face au premier film post-Deadpool, où les "fuck" balancés comme le ferait un puceau qui veut faire grand et où la violence (qui n'en est pas hein, c'est juste du gore) sont davantage des marques de vulgarité crasse que d'une quelconque subversivité (et encore moins maturité évidemment). Mais plus que le film de Ryan Reynolds, j'ai surtout eu l'impression de voir, entre ce Hellboy qui ressemble à la version monstre de Meat Loaf dans le clip (génial, de Michael Bay) de "I'd Do Anything For Love" et passe son temps à HURLER la moitié de ses répliques (#crisedado) et ces riffs de grosse guitare qui crache à chaque scène d'action, le fantasme filmée d'un prépubère pour qui le summum du cool, ce sont les pochettes d'albums de metal pourri.


6. Isn't it bouze. Film embarrassant mais surtout énervant de paresse, de manque d'inventivité, de rigueur dans son postulat, de cohérence vis-à-vis de ses propres règles, et d'une bête hypocrisie dans son propos au vu de la fin rétrograde.


5. Récidive. Hé bé ça lui a pas fait du bien, la taule, à Roger. J'ai entendu à propos du film "c'est daté" comme critique et "c'est pulp" comme défense. C'est ni l'un ni l'autre, c'est juste nul. C'est vide. Le plus embarrassant dans ce film malaisant de néant, c'est l'accumulation de "blagues" sur le sexe. On sent la frustration du mec enfermé dans une cellule pendant je ne sais combien de temps. On dirait un film de puceau. On dirait un film écrit par un mec de 14 ans qui pense encore qu'un tueur à gages en costard, c'est cool et que railler l'art contemporain, c'est edgy. Avec une violence gore à la Deadpool. Kikoo lol.


4. Shitty Stories. Film d'horreur mainstream adapté d'une série de livres pour enfants donc encore moins flippant que Ça. Film à sketches faits d'archétypes et de clichés sans tension, que des jumpscares de merde. C'est plus Shit que It.


3. Lessivé. Ni clair sur son sujet, ni drôle dans son traitement, le film échoue sur toute la ligne. Un film inconséquent de plus pour le cinéaste, qui se termine sur une dernière séquence qui se croit indignée et indignante mais ne fait que se souiller le slip avec notamment un dernier plan embarrassant au possible. Finalement, la retraite, c'était pas si mal.


2. RAMBOUZE. De son intro inutile et illisible à son climax en dé-surenchère du 4, c'est un catastrophique mix de Taken et d'une telenovela (les dialogues, mazette!) avec une image numérique que même un Direct-to-NRJ12 renierait. Stallone réussit à faire pire que le 2 et le 3 qui avaient au moins du sens. Là c'est un film pour rien. C'est le Rocky IV de la franchise mais sans l'esthétique clip galvanisante donc juste un film de vengeance politiquement puant.


1. Anal. Besson essaie de faire passer un énième remake de Nikita pour quelque chose de frais avec un fanfilm de Nolan qui copie l'action de John Wick mais avec une réa de 2002.

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ah tiens mon flop 5

5. Le Jeune Ahmed
Film de vieux qui a volé le prix de la mise en scène. Et pourtant j'aime les Dardenne habituellement.

4. Lucky Day
Série B d'une faiblesse...

3. Yves
Je le confesse : le gag de l'eurovision m'a fait rire aux larmes. Mais le reste...

2. Celle que vous croyez
Nanar de luxe assez grandiose avec des twists dans le twist ridicules.

1. The Front Runner
Je hais ce film mensonger, je hais son réal, j'ai été énervé pendant deux jours après l'avoir vu.

Pas un top parce que j'ai la flemme, mais tous les 0 et 0.5/6 de cette année :

Avengers: Endgame 0.5
Bienvenue à Marwen (Welcome To Marwen) 0.5
Fast & Furious : Hobbs & Shaw (Fast & Furious Presents: Hobbs & Shaw) 0.5
Je promets d'être sage 0.5
Men in Black: International 0.5
Aladdin 0
All Inclusive 0
Anna 0
Apprentis parents (Instant Family) 0
Convoi exceptionnel 0
Domino 0
Greta 0
Ibiza 0
Just a gigolo 0
Made In China 0
Nicky Larson et le parfum de Cupidon 0
Quand on crie au loup 0
Rambo: Last Blood 0
Scary Stories (Scary Stories to Tell in the Dark) 0
Tanguy, le retour 0
Yves 0

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Pas un top parce que j'ai la flemme, mais tous les 0 et 0.5/6 de cette année :

Avengers: Endgame 0.5
Bienvenue à Marwen (Welcome To Marwen) 0.5
Fast & Furious : Hobbs & Shaw (Fast & Furious Presents: Hobbs & Shaw) 0.5
Je promets d'être sage 0.5
Men in Black: International 0.5
Aladdin 0
All Inclusive 0
Anna 0
Apprentis parents (Instant Family) 0
Convoi exceptionnel 0
Domino 0
Greta 0
Ibiza 0
Just a gigolo 0
Made In China 0
Nicky Larson et le parfum de Cupidon 0
Quand on crie au loup 0
Rambo: Last Blood 0
Scary Stories (Scary Stories to Tell in the Dark) 0
Tanguy, le retour 0
Yves 0

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

6 Underground : le pire de Michael Bay sans aucun recul. La vulgarité faite film, sans second degré, rien. Une vraie merde.
High Flying Bird : je sais même pas comment j'ai fait pour aller au bout de ce film qui n'a jamais réussi à m'intéresser une minute. Du blabla insupportable et vain d'1h30 autour du basket, le film le moins sexy du monde.
Le Voyage du Prince : vu à Annecy, la souffrance. Une certaine image de l'animation française en charentaise avec son conte philosophique chiant comme la mort, son doublage qui rappelle les pires heures d'Il était une fois la vie et son ambition visuelle coincée dans les années 70. Détesté.
Les Fauves : le NANAR français de l'année. Comment des producteurs, des commissions, des gens intelligents ont pu se dire que ce film était un projet avec du potentiel ? Polar ridicule de bout en bout, c'est écrit comme un court-métrage avec son mystère éventé en dix minutes et le film multiplie les choix risibles dont le symbole le plus hilarant et la petite queue de cheval de Laurent Lafitte. Le film a fait 15 000 entrées, catastrophe industrielle mais ça surprend qui ?
Yves : je hais ce film. De la comédie qui se croit maline et moderne mais qui est d'une tristesse... Pas ri une seule fois devant cet humour sinistre et paradoxalement très vieillot et Legbhil que j'aime plutôt bien d'habitude m'a insupporté avec son charisme de mollusque.
Domino : De Palma se prostitue dans ce thriller indigne. Je garde en mémoire la prestation apocalyptique de Coster-Waldau qui a lui seul enterre le film qui avait pas besoin de ça tellement il est mauvais par ailleurs.
Girls with balls : le ciné de genre français dans toute sa splendeur. On veut faire du Peter Jackson première période mais on n'arrive qu'à faire une comédie embarrassante, sans rythme, sans idées et réalisée comme un sketch Golden Moustache. Pitoyable.
Velvet Buzzsaw : rien à dire sur ce film que j'ai trouvé grotesque de A à Z, tout est affreusement caricatural et n'a aucun sens. Un vrai film malade qui part dans tous les sens et qui finit par ne plus ressembler à rien. Ca pourrait être fascinant mais c'est juste de la merde.

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CroqAnimement votre

Rassure moi cosmo, tu n'as pas encore vu Star Wars IX?

Pour les grandes déceptions de l'année je vais citer trois gros morceaux...

- Star Wars: The Rise of Skywalker: la douche froide, la désillusion, le gâchis. La séance la plus déprimante de l'année.
- Dolor y Gloria, je m'attendais à une splendeur (vu les échos), mais ça n'a fait que confirmé le fait qu'Almodovar, je ne suis pas fan. En fait. A part deux trois beaux moments (et Banderas est juste parfait), je me suis un peu fait chier.
- Once Upon a Time... in Hollywood. J'ai aimé le film, hein, qui est d'ailleurs loin d'être dégueu, mais pas du tout autant qu'espéré. Ca ne m'a pas beaucoup touché.

Pour les flops: (avec, comme chaque année, une belle délégation belge..)

Genre 1/6

- Chanson Douce: j'ai pas compris l'intérêt de ce film, mais parfaitement compris son échec: qui a envie de voir ça? Il y a des histoires qui feraient mieux de rester sur papier. Le bon cast ne suffit pas à sauver le film du naufrage.
- Duelles: Masset-Depasse se la joue Hitchcock. Les efforts ont été faits esthétiquement mais le scénar est tellement improbable que tout tombe à l'eau. Et Veerle Baetens est un affreux miscast. Vraiment gênant.
- The Lion King: Démo technique incroyable mais film consternant, photocopie piégée dans un photoréalisme qui ne fonctionne pas et n’exprime rien. Méga déprimant.
- The Load (Teret): Aucun souvenir, à part un mec, un camion, et un ennui à périr.
- Mon chien stupide: gros rejet pour cette plate adaptation, énième prétexte pour Attal de se refaire un egotrip, qui manque de chien, qui n’intéresse et n’amuse que lui. J'ai eu envie de le frapper durant tout le film.
- Seule à mon mariage: si on veut un exemple de "film belge" (au sens ultra péjoratif), en voilà un beau.

Et les pires supplices: #LASOUFFRANCE

- Synonymes (0,5): Je n'ai pas cru une seconde à cet insupportable pensum politico-métaphorico de mes couilles, d'une laideur sans nom et d'un ennui abyssal.
- 5 è il numero perfetto (0,5): Rien ne fonctionne dans cette auto-adaptation embarrassante, ni l’esthétique, ni le “scénario”, ni rien, c’est hideux et d’un ennui mortel..
- Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu? (0): On prend les mêmes et on fait encore pire. Tout bonnement consternant.. La honte, la vraie.
- Cavale (0)
- Witz (0)
C'est deux derniers sont des innommables bouses made in Belgium, irregardables, insortables (pas sortis en France), inexportables (ni ailleurs)... A se flinguer, vraiment.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Jouissivité des jeux de mots de Freak sur son flop.

Mes déceptions:

1. Godzilla II - Le Roi des monstres
2. Long Shot (Séduis-moi si tu peux)
3. Première campagne (le doc sur les journalistes pendant la présidentielle 2017)
4. Adults in the Room

Mon flop:

1. Toute ressemblance...
2. The Dead Don't Die
3. Comme des bêtes 2 - j'étais tellement content quand un mec d'Illumination lui-même m'a dit qu'il trouvait que c'était de la grosse merde

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Si si

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

The Load c'est comme ça que Film Freak appelle Tenet.

C’est surtout ce qu’il va blow devant TENET.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

La consternation : Le Roi Lion, les bras m'en sont tombé devant cette cinématique de jeu-vidéo qui veut se faire passer pour du cinéma.
La souffrance : Le Godzilla dont j'ai la flemme de retrouver le titre entier, je ne sais pas pourquoi je ne me suis pas barré avant la fin.
La déception : Domino. Meme en connaissant les nombreux problèmes de production, de tournage et de budget, j'ai mal pour de Palma. Le film n'aurait jamais du sortir.

Je pensais que mon allusion était nette.

Elle l'est.

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Netflix les gars, Netflix.

Mais pas son calembours visiblement.

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