Forum de FilmDeCulte

Top 5 Déceptions :
5. Solo: A Star Wars Story
4. The Predator
3. Les Veuves
2. Sale temps à l'hôtel El Royale
1. Avengers: Infinity War


Et le flop :



10. Trop générique pour être fun, c'est un film qui fait acte de présence, comme Dwayne, quasi-figurant chargé d'accompagner l'intrigue comme on attend le bus avec un pote pour pas qu'il attende seul.


9. Si c'était pour faire un court métrage étiré au scénario indigent et mou, c'était pas la peine de sortir de ta retraite, Steven. Une belle mise en scène ne peut sauver un script de téléfilm du jeudi après-midi sur M6. Le pire Soderbergh. Séance la plus pénible de l'année.


8. J'imagine la gueule de bois de Paramount et Bad Robot quand ils ont vu ce pot-pourri de SF aussi difforme que les créatures du film et aussi ridicule que son happening Netflix qualifié de "gamechanger" par la réalisatrice visionnaire d'Un raccourci dans le temps.


7. Tu captes quand des fois t'as envie de vomir, tu vas aux chiottes et ton diaphragme se contracte plusieurs fois mais y a rien qui sort? C'est ce film.


6. Quand les supermécas du futur devront créer un exemple pour illustrer l'article "film d'horreur" de leur encyclopédie sur les humains qui peuplaient la Terre jadis, ça ressemblera à cet amas de poncifs narratifs et formels aussi flippant que quand je m'interroge sur un bruit avant de réaliser que c'est la pluie.


5. Un film vulgaire qui devient de plus en plus con au fur et à mesure qu'il avance, comme si Michael slashait un à un les neurones des scénaristes.


4. "TW dénonce! Jve dire a tous mes mutuals ke jsui tro vnr mdrrrr c abuse kom la societe elle nou traite tro kom des pute! C la chasse au sorciers serieu lol je propose un hocus blocus aprè la cantine! RT appréciés ❤️ #menaretrash #acab #micron #macrotte"


3. Jaeger scheisse-ter.


2. Le septième art est sauf car Jean Labadie estime que cette oeuvre avec le scénario d'un Walker Texas Ranger et la gueule d'un NRJ12 movie mérite davantage l'appellation "cinéma" de par sa sortie en salles que le téléfilm Roma, qui sera bien plus vite oublié évidemment.


1. Si je veux avoir honte après avoir regardé un truc à l'humour scato où personne n'a rien eu à foutre du scénario, avec des gros plans de corps-à-corps bordéliques et un gros truc gonflé plein de veines, je vais sur efukt.

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Déjà liké sur twitter, mais je relike ici.

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N'écoutez pas Film Freak

Oui meilleur punchline.

Sinon le fait d'aller moins au ciné, bébé oblige, j'ai évité les grosses daubes. C'est sur Netflix que j'ai subi les pires trucs, le nullissime Mute et le nullissime Cloverfield Paradox.
Au ciné je dirais que les trois pires séances ont été :

Diamantino : j'aime beaucoup les courts du réal (j'en ai acheté deux pour Arte d'ailleurs), toujours des concepts absurdes traités avec le plus grand sérieux, une émission de télé réalité au moyen âge dans un truc à la Westworld montypythonesque ou le dernier que j'adore l'histoire d'un robot qui fait du stand up et qui tombe amoureux d'une jeune fille d'une tribu autochtone du Brésil. Mais là c'est pas passé. Le film est juste pas drôle du tout, réalisé à l'arrache et assez interminable. Il y a une certaine douceur qui finit par poindre ici ou là mais ça fait vraiment film de petit malin irritant. Le gag des petits chiens qui apparaissent sur le terrain de foot c'est le pire gag de l'histoire du cinéma.

Okko et les fantômes : film vu par hasard à Annecy et affligé du début à la fin. Espèce de pot pourri du pire de l'animation japonaise, c'est niais comme pas possible, c'est infantilisant c'est ridicule. Détesté.

In the fade : Quelle merde sérieux, revenge movie pathétique avec une Diane Kruger qui en fait des méga tonnes en mode tragédie ultime. Au delà de ça c'est un film profondément idiot. Truc en compétition officielle à Cannes...

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CroqAnimement votre

Oh, Okko ?

Mon flop déception
5. Astérix - Le Secret de la Potion Magique
Fan du premier, là ce fut une séance douloureuse. Ma fille n'a pas aimé, je n'ai pas aimé, les autres enfants étaient insupportables.
4. How To TalkTo Girls At Parties
J'aime bien les autres John Cameron Mitchell, là c'est un court étiré, mal filmé. Je m'en souviens déjà plus alors que je l'ai vu il y a une semaine.
3. Suspiria
Zik démente, esthétique démente... mais que c'est long et vain. Quel gâchis.
2. Un Peuple et son roi
Grosse déception devant ce film mal raconté même s'il dit des choses intéressantes.
1. Voyage à Yoshino (Vision)
Désillusion japonaise. J'adore Kawase, là ce n'est pas passé du tout.

et maintenant mon flop
5. Alberto Giacometti, The Final Portrait
Le biopic pour les nuls, avec un incroyable concours de cabotinage.

4. In the Fade (Aus Dem Nichts)
Le revenge-movie tout pourri, passé et primé à Cannes.

3. La Particule humaine (Buğday)
Le Tarkovski du pauvre, chiant et abscons.

2. Centaure
Le film tout droit sorti des années 80 et du world cinéma qu'ils sont gentils ces peuples nomades

et le grand vainqueur....
1. Gueule d'ange
Marion Cotillard qui surjoue la cagole, le montage complètement WTF, la nullité du truc, sa sélection honteuse à Cannes...

10 déceptions: (sans ordre)

Abracadabra de Pablo Berger
Le mec fait le sublimissime Blancanieves, et puis il fait cette chose.

Kings de Deniz Gamze Ergüven
La fille fait le superbe Mustang et puis foire son deuxième film. Ca reste bien mis en scène mais le scénar ne ressemble à rien - en plus de se tromper d'histoire, elle dilue complètement son sujet.

Downsizing d'Alexander Payne
J'aime (ou adore) tous ses films, le mec a un pitch/sujet en or, et puis il signe son pire film. WTF. Je pense aussi que ce sujet méritait une série de plusieurs saisons.

Beautiful Boy de Felix Van Groeningen
Cast en or, beau sujet, une bande-annonce prometteuse, et puis plouf. Trop long et répétitif, le film souffre de son montage chichiteux et de son jukebox incessant (irritant) qui sabotent toute émotion. Reste Chalamet, vraiment parfait et impressionnant.

Lean on Pete d'Andrew Haigh
J'avais adoré 45 Years. J'avais adoré le scénario. Et puis le film est tout plat et tout chiant.

On Chesil Beach de Dominic Cooke
Déception un peu inévitable tant le bouquin (une tuerie) était, à mes yeux du moins, quasi inadaptable. Bref, adaptation proprette et appliquée qui n'atteint jamais la puissance émotionnelle du roman. Reste Saoirse Ronan, toujours convaincante.

Isle of Dogs de Wes Anderson
Je ne suis pas un fan de Wes Anderson mais j'adore Fantastic Mr Fox, mon préféré de lui. J'y croyais énormément, j'étais convaincu de kiffer. Et je me suis fait chier comme un rat. Horrible déception. Reste la direction artistique, l'inventivité formelle.. (au service de rien)

Todos lo Saben d'Asghar Farhadi
J'aime le film, mais par rapport à ses films iraniens, que j'adore, c'est quand même pas au niveau.

Call Me By Your Name de Luca Guadagnino
Le film le plus overhyped de l'année? Le film ne décolle pas avant sa dernière demi-heure (et toute la fin, dont le dernier plan, est très belle). En attendant, c'est une romance gay en bermuda, lisse et monotone, un peu chiante. Bon, heureusement, il y a Timothée Chalamet, une putain de révélation, il est génial.

Incredibles 2 de Brad Bird
J'aime le film, vraiment, mais je me devais de le citer ici car c'est clairement pas "la-suite-tout-aussi-géniale-que-l'original" tant espérée (et tant attendue depuis toutes ces années).


10 séances de la souffrance: (sans ordre)

Carnivores des Renier Bros.
Limite amateur (putain la laideur esthétique!), le film est surtout immature et chichiteux à trop vouloir créer des ambiances sans y parvenir. Complètement raté et pénible à voir.

The Extraordinary Journey of the Fakir de Ken Scott
Un insupportable euro-pudding cheap, niais et diabétique. Affreux.

Finding Your Feet de je ne sais plus qui, d'ailleurs ça n'est pas sorti en France
La caricature extrême de la "comédie sociale anglaise", très très vite insupportable à regarder.

Galveston de Mélanie Laurent
Ennui mortel devant ce petit polar sans intérêt (sauf Ben Foster, toujours bon). La fin est réussie mais c'est un peu tard pour sauver le film du ratage. Vraiment un film pour rien.

Le Grand Bain de Gilles Lellouche
Je suis tout seul sur ce coup, je sais. Mais j'ai souffert. De bout en bout. Impossible de m'attacher à ces personnages pathétiques dans cette "comédie sociale" interminable et exaspérante, ni drôle ni crédible une seconde.

I Feel Good de Delépine et Kervern
Je ne me suis pas du tout senti bien devant ce film qui semble complètement torché malgré les chouettes idées de départ. Film paresseux et finalement assez embarrassant.

Lukas avec Van Damme
JCVD nous la joue héros fatigué dans un petit polar sans intérêt, rempli de clichés. Pénible.

Tout le monde debout de Franck Dubosc
Dubosc fait trop confiance à son pitch et oublie d'écrire un bon scénario. Un pur ratage, ni drôle ni touchant. Reste la belle Alexandra Lamy, qui s'en sort plutôt bien.

Un Peuple et son Roi de Pierre Schoeller
J'aurais pu le citer dans les déceptions car j'ai beaucoup aimé ses films précédents, mais ça sentait le sapin dès le départ. Aucune émotion devant ce wiki-film certes soigné visuellement mais plombé par un texte théâtral et un casting qui sonne faux. En attendant la décapitation, j'ai cru mourir d'ennui.

Croc-Blanc d'Alexandre Espigares
Une énième version du mythe. Ce n'est pas celle-là qu'on retiendra. Le style hybride est tout bonnement hideux (3D/peint) et casse l'effet recherché de réalisme. A part ça, c'est à périr d'ennui et d'une banalité désolante.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

J'ai bien aimé croc blanc. A la fois esthétiquement (il faut 2 minutes pour s'y faire) et au niveau de l'adaptation. La seule erreur est la chanson du générique de fin totalement hors sujet....

Cela ne vaut pas tout en haut du monde mais cela change des animes à la minion, hôtel transylvania, etc

Et cela a fonctionné chez les gosses(ils ont réclame le dvd) mais aussi sur le grand père pourtant peu adepte de films d'animation

Etonné que tes enfants aient accroché vu la lenteur (voire la noirceur) du truc.


C'est c'est sûr. Tout en haut du monde c'était top (lol). Ici, vrai blocage avec l'esthétique que je déteste.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je sais que Degryse a des goûts de merde mais ça se fait pas.

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Il vous en prie

Tes goûts sont pire que les miens, je pense que tu le savais.

Je ne vais pas me faire que des amis.

Les films prétexte (sujet de société fort dont au final le réalisateur se fout, plus occupé à travailler son ambiance choc/malsaine):
Jusqu’à la garde
La violence conjugale c'est mal, mais ça permet tout de même de créer un climax étouffant à la fin.

Pororoca, pas un jour ne passe
La pédophilie c'est mal, mais ça permet néanmoins de rejouer la scène de Dupontel avec l'extincteur dans Irreversible.

Utoya, 22 Juillet
Hors catégorie, Poppe n'a qu'à peine attendu que les corps soient froid pour faire du drame d'Utoya un slasher.

Amanda n'était pas loin de pouvoir prétendre à cette catégorie, tant les attentats du Bataclan sont traités par dessus la jambe (sur une roue arrière de moto en l’occurrence). Mais il n'est pas non plus particulièrement malsain, juste à côté de la plaque, comme s'il n'avait pas su comment traiter le sujet. Lacoste qui ricane de la première à la dernière minute est monolithique.

Les films dont le ridicule ne tue pas:
First Reformed
Ça commence comme un mauvais remake d'Un Journal d'un curé de campagne, ça se termine en lévitation par une improbable conversion.

High Life
Juliette Binoche en distributrice de sperme, je dois avoir un truc contre Pattinson je trouve tous les films où il joue nul.

Suspiria
Ça commence pas trop mal... mais ça se transforme rapidement en grand Barnum, j'aurais du écouter Arnotte.

Les Frères Sisters
Le film n'est pas tant ridicule qu'il ne mérite pas que je crée une catégorie rien que pour lui. Film le plus rapidement oublié de l'année.

Les films Netflix:
Roma
Je ne vois que les intentions de Cuaron mais je n'ai ressenti aucune émotion, l'impression d'un objet totalement froid auquel on me demanderait d'adhérer par pur respect.

La Ballade de Buster Scruggs
Certainement ma plus grosse déception tant j'apprécie les Coen. Le premier sketch est insupportable, sentiment de paresse globale pour le reste, tout est vide, c'est chiant et creux. Je me dis qu'ils l'ont fait exprès pour tuer Netflix.

trois dans mon top 10... mais rien que pour la mention d'Uttoya, j'approuve.

Pour moi le pire des 3 c'est le Audiard, le Cuaron je suis vraiment tout seul à faire un rejet, le Schrader si on oublie le Bresson ça doit pouvoir passer. Utoya je me suis tâté à écrire dessus, mais il y aurait tellement (de mal) à en dire que je préfère l'oublier.

+ 100. Les attentats sont plaqués au-dessus de la même intrigue de ce Sentiment de l'Eté, comme une déclinaison d'un même malaise. En faire un prétexte à un récit d'initiation tardive est très maladroit et confère au film un aspect à la fois politiquement signifiant et irrationnel (la scène de l'embrouille aux Buttes-Chaumont)
Lacoste bon cette année dans le Christophe Honoré et Première Année (dans un registre à la limite limite plus dramatique que dans le Hers) ceci-dit.Pale sao

Puis franchement foutre l'intro d'"Hair shoes" des Pale Saints comme musique de fond d'une attaque islamiste, c'est de la récupération, même Eastwood est plus à gauche dans le traitement du sujet.

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre