Forum de FilmDeCulte

Je vous préviens de suite c'est aussi bandant qu'une reconstitution du viol de Clémentine Autain....

ça commence comme un épisode de l'oeil du cyclone avec le court de Marina Abramovic où une sorte de sexologue austère lunetée Tchi Tchin narre des légendes chamarrées sur nos amis les mormons du moyen âge avec tout de suite après la preuve en image avec des religieuses qui se pelottent leurs seins parfois euh... distendus ou des mecs en train d'enculer des pelouses. Dès que ça devient trop borderline (alors nos amis les paysans se mettaient des poissons frits dans la chatte pour mieux les servir au petit dej afin de s'assurer de la fidélité de leur compagnon) on passe à l'animation soft. Consternant.

S'ensuit un collage de coït épileptique autour d'une centaine d'extraits porno sans imagination par un certain Marco Brambilla (c'est marrant à part ceux qui sont connu on dirait que tous ceux qui ont participé à ça l'ont fait sous un pseudo à la Sexy Zap)

Le très cheap Impaled de Larry Clark (qui apparaît à l'écran avec un bandana vert kamikaze) ressemble au making of d'une scène de porno sur le net: interviews Sean Codiesque de jeunes thons acnéiques choisis sans doute pour leur manque d'assurance, puis rebelote avec des stars porno fille qui te racontent pourquoi elles se rasent la chatte, puis plan cul avec les deux heureux lauréats (un garçon coiffeur clone du chanteur de Savage Garden et une Dani liftée très pro à la yeah baby fuck me) sans capote mais avec incident popo lors de la sodo.

Puis Death in Valley de Sam Taylor Wood: Perdu au milieu de nulle part, un mec se branle sur du Matmos. Parodie involontaire de Gerry en plan fixe, ça dure un bon quart d'heure. Et puis pour simuler l'orgasme faudrait peut-être parvenir à bander.

Après Richard prince, qui s'est pas foulé: il a du simplement filmer sa télé le premier samedi du mois. Une scène avec thermomètre et une résolution du coup crade.

Seul film pas totalement honteux, le Matthew Barney repose sur un mec couvert de lichen avec un navet dans le cul dont on voit la teub se raidir toute seule puis se branler contre une machine à poterie. Visuellement, ça claque.

Enfin le Gaspar Noé est à l'image de ce qu'il traite: de la pure branlette d'une prétention ampoulée sur une nana qui chatouille minou avec un nounours et un mec en train de se taper une poupée gonflable devant une télé diffusant une scène de Katsumi, tout ça filmée par une caméra intermittente avec un éclairage de fond de backroom. Moralité: we fuck alone.

1/6

Demolition Man, quoi !


On va pas tarder à te demander des explications, là

Bon sinon, ça donne envie mais pour rigoler, et pas sûr que ça soit le but.

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"Dans une France fictive, une nouvelle loi autorise un spectateur en état de détresse morale à attaquer un spectateur qui fait "Eeeeeeehng"..."
Qui-Gon Jinn, 16.10.2014

Ben moi je trouverai ça très bandant, j'adoooore Clémentine Autain moi...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Faut pas dire n'importe quoi, non plus. Une blague sur un viol, c'est non.

C'est oui.
Si la blague est bonne.

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Non. En tout cas celle-ci pue. DU CUL.

Je retiens des films celui de Larry Clark, j'aime bien son approche frontale et documentaire de la sexualité des gosses (et de l'influence des films pornos sur eux.
Et celui de Gaspar Noé qui confirme que c'est un mauvais réalisateur, toujours pret à rajouter de l'épileptique dans son montage pour du vent.

Voilà un homme censé...
Sinon c'est quoi ce trip là ? Une compilation de films érotiques dit "artistiques" j'adore...The video is no longer available

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

Impaled de Larry Clark : 5/6

Le reste : ça varie de 0/6 à 2/6

En effet, seul le Larry Clark est à sauver dans ce triste désastre...