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Neuhoff et Ciment dans le figaro

http://www.lefigaro.fr/cinema/2012/12/1 ... gauche.php

http://www.lefigaro.fr/cinema/2012/12/1 ... -d-eux.php

Neuhoff raconte un peu n'importe quoi. Il doit y avoir plus d'exemples de "films de contestations" à l'étranger qu'en France pour un "genre bien français" : Italie, Japon, Grande-bretagne... Mocky est un peu le seul qui a quelque chose de viscéral qu'on retrouve dans certains pays, une expression de marge anarchiste : Boisset et Costa font des films dossiers didactiques genre Rosi et Pontecorvo qui même en l'état sont des exemples rares en France et dont les pendants US sont également souvent bien plus réussis et plus nombreux dans les années 60 et 70. Il y a eu un groupuscule de films liés à mai 68 ou un truc à part comme le film de Vautier qui nous est peut-être propre après...

Oui, et puis trouver qu'un film engagé c'est "Ma Part du gâteau", j'aimerai bien avoir l'avis de Zad là-dessus...

Je pense (j'espère) qu'il est ironique (le film est cité à côté de la future merde avec Jugnot/Balasko).
Sinon article nullissime, compilation de titres sans aucun fond.

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CroqAnimement votre

Allez ,on va transformer ce topic en topic de veille Neuhoff... Non seulement le pauvre est payé pour aller au ciné mais en plus les films sont trop longs, diable (c'est vrai qu'à 90 au lieu de 150 minutes c'est le même salaire versé par le fig) :

http://www.lefigaro.fr/cinema/2013/01/1 ... picks=true

Je n'ai pas lu l'article au-delà des premières lignes mais il soulève un enjeu important (il n'est pas le premier). Moi aussi je trouve que la durée moyenne des films est exagérée, qu'aujourd'hui les réalisateurs, producteurs, ne savent pas couper, n'ont plus cet art de la concision qui faisait toute la perfection du cinéma de l'âge d'or hollywoodien - même si pour ce dernier je ne sais pas si c'était pas dès le script que le montage final, et donc sa concision, était décidé. C'est ce que je dis sur The Master: savoir couper, c'est le sésame pour cerner son sujet.

Je prendrai pas un film de 2h17 comme exemple.

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Sauf que pour ce cinéma là de cette époque les doubles programme étaient fréquents, ce qui justifiait je pense le fait de concevoir souvent des films de 90 minutes, en "série A ou B".
Un cycle maximum de sommeil va à maxi 120 minutes, la moyenne est de 90 minutes (un truc marrant rappelé par Barry Sonnenfeld dans une interview) sans doutes qu'après effectivement c'est trop

Merde je me suis fait un peu spoiler Django...

C'est lié au support aussi non?
Quand le film était imprimé sur de la pellicule qui était enroulé autour de bobines, on faisait court car la pellicule était chère et les bobines lourdes. Quand les disques étaient en vinyle, ils ne dépssaient pas les 45 minutes (la taille max du vinyle) et si tu voulais faire plus, il fallait oser le double album et donc avoir du matériel pour 90 mn.

Là avec le numérique le support cinema ne coute et ne pèse rien donc les films s'allongent. De même avec le CD tu pouvais caser 25 à 30 mn de plus et tout le monde l'a fait. D'ailleurs les disques sont devenus plus longs, rarement meilleurs et cela a contribué à sécher l'industrie de la musique.

Bah si parce qu'en l'occurrence beaucoup de coupes ont été opérées, sans quoi le film aurait duré trois heures.

Par Tim Burton,; il me semble.

Et il aurait peut-être été mieux

Apparemment, le Blu-ray comportera 20min de scènes coupées.

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