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MessagePosté: 03 Fév 2014, 15:07 
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Rome, 1978 : les brigades rouges enlèvent et séquestrent Aldo Moro. Dans l'appartement qui lui tient lieu de prison, quatre personnes vivent enfermées, en autarcie, pour le surveiller. Parmi eux, Chiara, jeune révolutionnaire dont les certitudes vont peu à peu se lézarder...


Je vais pas faire une critique du film : je trouve que c'est l'un des plus beaux sortis en salles dans les années 2000, et à deux-trois détails près, je le trouve absolument parfait. Je suis en fait entrain de travailler dessus, et je bloque sur deux passages. Vu que le topic n'existait pas, et que je trouvais con d'aller squatter le topic d'un autre film de Bellocchio pour ça, c'est l'occasion de l'inaugurer.

Je me demande en fait si les plans en ralenti saccadé de montage sont des visions (des choses que Chiara s'imagine) ou des évènements qui adviennent réellement. Il y en a deux.


POUR CEUX QUI ONT VU LE FILM, DONC (même si ça spoile pas vraiment)
D'autant que ces deux petits extraits sont loin de donner un aperçu de son envergure...

Le premier, c'est le moment (pourtant assez tôt dans le film) où Moro est officiellement condamné à mort. Chiara voit alors ses compagnons enlever leurs cagoules.




Le second, vers la fin, est le dernier repas avant l’assassinat. On voit soudain ses trois compagnons brigadistes se signer.




Dans les deux cas, c'est étrange. Premier cas : le reste de la scène, les brigadistes semblent encore avoir leur cagoule. Mais le geste peut avoir une logique symbolique acceptable dans la réalité, certes... (= on s'engage à te tuer, vu qu'on te montre nos visages, on ne pourra plus reculer). Deuxième cas : je pige pas pourquoi des communistes auraient ce geste religieux. Le plan est d'autant plus étrange que Chiara ne signe pas, qu'elle les regarde ostensiblement faire, et qu'eux ne semblent pas s'en rendre compte.

Or le film est parsemé de scènes rêvées, imaginées, de visions alternatives du présent... Et dans les deux cas, on nous présente ça via la subjectivité de Chiara, à des moments très symboliques du récit (sans vouloir trop spoiler).


Du coup, pour ceux qui ont vu le film, vous pensez qu'il s'agit de fantasmes ?


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MessagePosté: 03 Fév 2014, 15:14 
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Tiens tu m'intrigues, faudrait que je tente de le voir !

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MessagePosté: 03 Fév 2014, 16:46 
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D'habitude je prends des précautions, mais là j'ai hautement confiance au film : fonce. Je suis surpris de l'absence de 6 sur le site de notes.

Léo, Castorp, Orange, Qui-Gon (vive le site du captain...), aucune idée pour mon problème ?


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MessagePosté: 03 Fév 2014, 16:48 
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Serial Modo
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Grosse année 2004 n'empêche !

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MessagePosté: 03 Fév 2014, 16:51 
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Oui, malgré mon manque d'objectivité (la lassitude cinéphile récente), j'ai quand même l'impression d'une première partie de décennie (99-2005, en gros) assez exceptionnelle.


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MessagePosté: 03 Fév 2014, 17:18 
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Sir Flashball
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Faut que j'y réfléchisse, mais j'ai vu le film une seul fois au ciné, et si l'impression magnifique qu'il m'a laissé est toujours là, je ne m'en souviens que trop peu.

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MessagePosté: 03 Fév 2014, 17:39 
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Oki, merci quand même !


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MessagePosté: 03 Fév 2014, 18:12 
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J'étais un peu passé à côté du film et du coup je n'en ai que très peu de souvenirs si ce n'est les morceaux de Pink Floyd, donc je ne serai sans doute pas d'une grande d'aide mais effectivement la mise en scène des extraits semblent converger vers cette interprétation (la mise en scène du regard en champ contrechamp dans la première avec retour des cagoules après un détournement du regard, la musique et le ralenti qui suspendent l'instant, les réactions de surprise du personnage - dans le second extrait elle a l'air en dehors de la scène uniquement par le jeu, puis est réintégrée par une coupe, retour à la vitesse et à la vie normales- détournement des yeux, ligne de dialogue, l'impression qu'elle se réveille etc.).

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur


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MessagePosté: 03 Fév 2014, 18:47 
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Ok. Il me semble aussi en fait, mais j'ai un petit doute pour le premier. Merci !


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MessagePosté: 07 Fév 2014, 11:28 
Je ne fais pas partie des noms appelés à commenter dans le premier post, mais j'aimerais réagir.
j'ai un souvenir assez précis du film: je me suis fait jeter par mon amie quasiment à la sortie de la salle de cinéma de Maison-Laffite (la seule fois que je suis allé à Maison-Laffite de ma vie), il est sorti la semaine de la mort de Claude Nougaro.

Ce n’étaient pas des communistes justement, plutôt des gauchistes, même si leur positionnement (trotskyste, m-l, mao ?) n'est justement pas très élaboré (l’opposition gauchistes/communistes est quand-même structurante de l’époque - celle du film). L’enlèvement puis l’assassinat d’Aldo Moro visaient justement à faire pression sur le Parti Communiste italien pour l’empêcher d’intégrer un gouvernement de coalition avec la démocratie Chrétienne qui aurait été dirigé par Aldo Moro (d’ailleurs on a reproché aux collègues de parti d’Aldo Moro d’avoir réagi tièdement à son enlèvement, comme si cela ne les concernaient en fait pas vraiment). Les communistes faisaient plutôt partie de la cible.
La critique du positionnement politique du PC par l’extrême gauche pouvait encore se comprendre, mais l’enlèvement était tellement aberrant (et aussi l'illusion que l'intimidation par le meurtre déboucherait sur un mouvement de masse prolétarien organisé en conseils, dans un contexte où l'extrême gauche était déjà bien en crise) qu’au total cela a complètement « outé » de la vie politique le PC (10 ans avant la chute de l’URSS) et l’extrême-gauche, et paradoxalement limité l’impact en même temps de l’eurocommunisme (contrairement au PC français, le PCI italien s’était distancé de l’URSS dès 56 et Budapest et essayait de trouver une voie européenne non-stalinienne, et donc logiquement aussi ensuite non-kroutchevienne etc...). Un strike contre soi-même...

Quant au signe de croix, cela ne m’avait pas marqué, les brigadistes n’en étaient pas à une contradiction près il est peut-être historiquement véridique, mais la scène peut se comprendre par rapport au film précédent de Bellochio, « le Sourire de ma Mère » (que personnellement j’avais largement préféré à "Buongornio notte") , où un homme, qui s’est construit comme laïque de gauche radical, et a eu des mauvaises relations avec sa mère, subi la béatification post-mortem de celle-ci (le film dérive vers des cérémonies religieuses fantasmées, hermétiques assez fascinantes ).
Le geste met finalement le groupe brigadiste dans la position dans la même position que la mère dans l'autre film (et à l'opposé les deux personnages centraux, celui de l'homme du Soutire de ma Mère, joué par Castelitto, et celui de la brigadiste, se ressemblent, par leur solitude et leur passivité et en même temps le fait qu'ils se situent uniquement par rapport au groupe qu'ils critiquent, aussi par leur manière de vivre cette critique dans une logique d'initiation)

Pour moi le geste peut indiquer trois dimensions présentes ensemble dans le film:
-le geste peut être sérieux, correspondre à la gravité de la situation, signale peut-être une ressemblance morale et un rapport de compréhension entre Moro et ses ravisseurs qu'ils refusent ensuite
-la dérision des contradictions politiques et surtout sociologiques des brigadistes
-c’est peut-être une manière d’indiquer qu’ils sont issu du monde et de l’idéologie à auxquels il s’opposent (disons « la bourgeoisie catholique ), lui appartiennent encore et essayent de s’en exclure, pour toucher une vérité politique plus vaste sans assumer qu’elle est idéale. Du point de vue de Bellochio quand il fait ce film, il est clair que les brigadistes ont la même notion de foi (et de lien entre la foi et le miracle: l'idée que l'on se construit par l'édification et le traumatisme) que les catholiques (mais dans Vincere il place ensuite le fascisme finalement au-dessus de la foi: Mussolini n'est que pragmatique et opportuniste mais sans foi)

Si je me souviens bien, le film était aussi filmé du point de vue fantasmé de Moro : à la fin on le voit marchant dans Rome, calme, après sa mort. Une manière d’indiquer peut-être que le film se reconnaît dans un humanisme chrétien, qui devient enfin corporel, sensible et apaisé après à la violence qui le tue?

De toute manière quel est le statut de l'opposition réalité/vision dans un film (l'opposition est encore plus floue dans le film est une reconstruction de faits réels et que le seul réel directement visé par Bellochio est leur conséquence morale)?


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MessagePosté: 07 Fév 2014, 14:59 
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Hey merci pour tout ça !

Gontrand a écrit:
Ce n’étaient pas des communistes justement, plutôt des gauchistes, même si leur positionnement (trotskyste, m-l, mao ?) n'est justement pas très élaboré (l’opposition gauchistes/communistes est quand-même structurante de l’époque - celle du film). L’enlèvement puis l’assassinat d’Aldo Moro visaient justement à faire pression sur le Parti Communiste italien pour l’empêcher d’intégrer un gouvernement de coalition avec la démocratie Chrétienne qui aurait été dirigé par Aldo Moro (d’ailleurs on a reproché aux collègues de parti d’Aldo Moro d’avoir réagi tièdement à son enlèvement, comme si cela ne les concernaient en fait pas vraiment). Les communistes faisaient plutôt partie de la cible.

Oui j'avais lu ça, mais sans savoir exactement où se situaient les brigades rouges. Dans le film, ils sont présentés comme une sorte de rejetons déviants (ou restes fantomatiques) de l'idéal révolutionnaire originel : les visions que Chiara reçoit dans son sommeil sont celles de la mort de Lénine. Je disais communiste parce que je les rattachais à cette origine là, sans trop réfléchir (surtout que, pour être honnête, je me suis jamais assez bien informé pour saisir les subtilités qui font la différence entre communistes, maoistes, trostkystes...)

Gontrand a écrit:
Le geste met finalement le groupe brigadiste dans la position dans la même position que la mère dans l'autre film (et à l'opposé les deux personnages centraux, celui de l'homme du Soutire de ma Mère, joué par Castelitto, et celui de la brigadiste, se ressemblent, par leur solitude et leur passivité et en même temps le fait qu'ils se situent uniquement par rapport au groupe qu'ils critiquent, aussi par leur manière de vivre cette critique dans une logique d'initiation)

Je pige pas bien ce passage. Tu le présente comme le point de vue qu'elle aurait sur eux ? (dans une logique de fantasme, donc ?)

Gontrand a écrit:
-la dérision des contradictions politiques et surtout sociologiques des brigadistes

Vu le choix de la musique, je ne pense pas. Y a des inserts ironiques dans le film (les images d'archives staliniennes qui répondent à leurs psalmodies, par exemple), et elles ne sont pas traitées avec ce lyrisme.

Gontrand a écrit:
Du point de vue de Bellochio quand il fait ce film, il est clair que les brigadistes ont la même notion de foi (et de lien entre la foi et le miracle: l'idée que l'on se construit par l'édification et le traumatisme)

Il y a clairement toute une métaphore qui présente le parcours de Chiara comme une crise de foi (foi originelle de ses idéaux d'extrême gauche) et les brigades rouges comme du fanatisme (les poussées de félicité sur musique religieuse, quand elle voit l'enlèvement à la TV par exemple). Ça nous mènerait plutôt à une vision de fantasme. Surtout qu'il y a un autre aspect à cette scène, c'est celle du dernier souper.

Gontrand a écrit:
De toute manière quel est le statut de l'opposition réalité/vision dans un film (l'opposition est encore plus floue dans le film est une reconstruction de faits réels et que le seul réel directement visé par Bellochio est leur conséquence morale)?

Le film baigne allègrement dans un bain déréalisé, poétisé, lunaire - même si on final, on comprend assez bien ce qui relève du fantasme ou de la réalité du film. Mais ces deux passages (et notamment le fait que le procédé de ralenti se répète, pour la seule fois dans le film) semble les désigner d'une manière particulière justement, sans jouer sur l'ambiguité réel/onirique qui est le lot du reste.


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MessagePosté: 07 Fév 2014, 15:28 
C'est pas des nuances la cassure communiste-trotskyite est radicale depuis la mort de Lénine en Russie et la guerre d'Espagne à l'ouest(voir Hommage à la Catalogne dOrwell), et celle entre les communistes et maoïste l' a été pendant la Révolution Culturelle (même s'il n'y a pas eu de guerre directe entre la Chine et l'URSS), à la limite la Chine avait des meilleures relations avec les USA que l'URSS des années 70 jusqu'à récemment.
Pour les problèmes entre trotskistes et mao, United Red Army de Wakamatsu est assez clair aussi (sensibilité libertaire-féministe dans la base trotskiste qu'il n'y avait pas du tout chez les maos, même si paradoxalement, dans el film de Wakamatsu, la chef mao qui va lancer des autocritiques catastrophiques et meurtrières est une femme).


Dernière édition par Gontrand le 07 Fév 2014, 17:46, édité 2 fois.

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MessagePosté: 07 Fév 2014, 15:33 
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Et les brigades rouges, historiquement, ils ont une affiliation claire par rapport à ça ? Ou c'est l'auberge espagnole ?


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MessagePosté: 07 Fév 2014, 17:24 
Difficile à dire, je pense pas qu'"afflilation" soit tout à fait le bon mot on ne s'inscrivait pas dans ces clivages en remplissant un formulaire. J'ai l'impression qu'en Italie plus qu'en France, il avait une tradition (avec un filiation envers le garibaldisme) de mouvement ouvrier et paysans de gauche bien organisé, puissant mais minoritaire, rodé à la lutte contre le fascisme et situé à gauche du PC, qui avait une sensibilité libre-penseur et anar, avant qu'apparaisse le gauchisme qui est plus lié à la bourgeoisie étudiante confrontée socilogiquement à la fin des années 60 à la massification de l'université et puis bien sûr des évènement comme le Printemps de Prague et la guerre du Viet-Nam, l'intégration européenne, la pollution et la tertairisation de l'économie des pays "développés".
Il y a eu à la fois convergences et frictions entre les deux mouvements, en tout cas ils ont essayé de se retrouver dans des organisations communes où la part des représentations étudiantes et ouvrière étaient sans doute plus équilibrée qu'en France (au passage Badiou n'a rien d'un prolétaire, et cela se sent dès qu'il aligne deux mots, c'est le fils du maire du Toulouse, mais singulièrement c'est lui qu'on écoute quand il s'agît de témoigner de l'époque, mais en comparaison si tu veux la famille de Gramsci a connu le déclassement social). Pour l'époque 67-80, c'est un peu l'inverse de la France où le mouvement ouvrier était plus encadré par les syndicats ("rentrez chez vous ou à l'usine , les négociations sont terminées, c'est un bon accord, et aux prochaînes municipales si le PCF gagne nous seront en position d'en avoir un meilleur"), en Italie il était peut-être lui-même à gauche du PCI, il y avait sans doute moins de places pour des "établis" (des intellectuels qui s'établissent en usine pour prêcher la bonne parole, "un Film comme les Autres" de Godard et Gorin est très intéressant sur cela) en Italie. En fait le gauchisme des années de plombs a plutôt contribué à liquider cette force qu'à l'entretenir quand on regarde le bilan global.
"1900" de Bertolucci parle un peu de cela, mais il ramène les ouvriers paysans vers le PCI, plus qu'ils ne l'étaient sans doute en réalité.
Rosselini lui-aussi essaye un peu de se blanchir personnellement (mais c'est vrai qu'il le fait de manière poignante) en montrant les partisans venus de cette histoire dans Païsa, surtout dans la dernière partie sur la vallée du Po.
Il y avait un courant ouvriériste typique dans l'extrême-gauche italienne, appelée opératiste, qui n'était ni trotskiste, ni vraiment mao, ni marxiste-léniniste, qui ne s'est pas retrouvée en France. Il y a un petit livre de Carlos Ginzburg, "le Juge et l'Historien", pas directement sur le positionnement politique des opératistes , mais sur la manière dont il étaient jugés dans ls années 80-90 en Italie et sur la façon dont l'idéologie dominante à l'époque sous le "berlusconisme" s'est construite politiquement en voulant à tout prix condamner les survivants de cette époque, au besoin en inventant des preuves et en utilisant les formes de l'instruction justice pour laisser courir la délation et la rumeur.
Maintenant tu as eu des gens comme Feltrinelli, un millionnaire milanais extrêmement riche, qui a fondé l'équivalent italien de la Fnac, qui était impliqué dans cet activisme et s'est tué (on suggère parfois qu'il a été tué) en dynamitant un pylône.


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MessagePosté: 08 Fév 2014, 08:19 
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Ok, ok, merci pour tout ça.

(très foisonnant au passage, ton écriture m'évoque celle de Jerzy !)


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