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Résumé :

Rich Bowee, caid black de New York est bien décidé à arrêter les magouilles pour s’occuper de produire la musique rap de ses copains. Dean, son meilleur ami, est basketteur à la fac et oublie qu’accepter des combines peut être risqué. Autour d’eux, les blancs se la joue rap, sous les yeux alarmés des parents. Question de génération. Tout ce joli monde vit selon des codes bien particuliers, et n’ont qu’un seul credo, être libre, façon « ce soir on improvise »…c’est ca l’esprit hip-hop !

Si on devait résumer le film de James Toback, il se suffirait à ça : de la pure impro du début à la fin. Pas vraiment d’histoire, ni de trame, mais plutôt des séquences de la vie de tous les jours suivant des jeunes de la banlieue New Yorkaise, sous fond d’une pseudo-intrigue policière (habilement menée par Ben Stiller mais dont on aurait grandement pu se passer, au final). Le seul problème que l’on pourrait avoir avec les scènes d’impro, c’est que souvent elles sont loin d’être abouties et donnent au spectateur un sentiment assez frustrant quant à la finalité de l’histoire. Mais tout l’intérêt du film est justement dans ces séquences réalistes ou les longues répliques et les dialogues qui claquent sont remplacés par les mots que l’on balance à tout va, comme dans la rue ou entre potes avec les hésitations, les non-dits, les maladresses…tout y trouve sa place…naturellement. Plus clairement, Toback nous présente ici sa vision des rapports entre les communautés noire et blanche. Si les premiers ont la gueule de l’emploi pour faire du rap, les seconds cherchent à s’imposer dans ce milieu « élitiste » mais non sans heurt…un sujet et un point de vu plutôt intéressants.

Black and white compte sur un casting dans le genre « têtes que tout le monde connaît » puisqu’on y retrouve Robert Downey Jr, Gaby Hoffman, Allan Houston, Jared Leto, Method Man, Joe Pantoliano, Bijou Phillips, Ben Stiller,Claudia Schiffer, Elijah Wood, William Lee Scott, Brooke Shields, Mike Tyson…

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

Un film bien vain malgré ses intentions. Très très moyen.
Enfin ça reste supérieur au minable Harvard Story du même Toback.
Pas vu son dernier, avec Neve Campbell, paraît-il calamiteux.

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un film avec neve campbell ne peut pas etre calamiteux. elle est sublime.

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<font size=\"6"> Le comme Bach ! Version FOREVER-FLUTES</font>