Forum de FilmDeCulte

Non mais dans le milieu tout est plus ou moins lié...

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

merci pour ça

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Raaah ça me dégoûte. Je savais pour René, mais pour Siriez j'étais pas au courant.

'tain je l'avais vu en conférence elle une fois qui donnait des statistiques sur le nombre de mecs qui faisait un premier film, puis ceux dans le groupe qui en faisaient un 2e, puis ceux des survivants qui en faisait un troisième.

(un truc du genre 70 premiers films. 20 deuxièmes. 7 troisièmes.)

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

même le premier? moi j'aime bien, le Chignon... après ouais, ça s'arrange pas, hein, c'est de plus en plus convenu et mollasse... ça fait peur pour le quatrième, cette pente descendante...

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Moi le Chignon était largement dans mon top 10, l'année de sa sortie.
Je trouve que c'est un des meilleurs premiers films français de ces dernières années (avec peut-être Ressources Humaines, et aussi Peau Neuve même si pour celui là c'est spécial).
C'est un de ceux qui m'avait le plus ému - et donc, pour moi, tout le contraire d'un film fade.

Après qu'il soit le fils de untel ou untel et que ça l'ait aidé à faire des films... je m'en tape car je trouve la moyenne des films français qui sortent (et pas seulement les premiers films) largement en-dessous.

J'ai malheureusement raté son deuxième - je ne savais même pas qu'il en avait sorti un deuxième - mais je ne manquerai pas celui là.
Que je trouverais peut-être mauvais d'ailleurs, mais ça ne changera rien aux qualités de son premier film.

Je vous trouve tous bien durs. On a là un tout petit film qui tente de dépeindre des destins croisés. C'est globalement très bien joué (Loiret-Caille, c'est même excellent) et écrit avec une grande justesse. Quand on voit le genre de gadin que prend une Nicole Garcia sur exactement le même sujet, ça met en perspective le travail effectué ici.

Quant aux larmes de Daroussin

ben voyons... d'où le recadrage super-appuyé... c'est nul, c'est bête, que tout l'objectif ce soit ça... ça révèle bien le travers larmoyant du genre "choral", qui est toujours à manier comme de la nitro... tiens, ça me rappelle un très beau truc, qui n'a rien à voir: l'enjeu de La Blessure c'était le sourire de l'héroïne.

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Enfin vu et j'ai bien aimé.
"Bien aimé" seulement donc, je m'en doutais un peu avec ce que j'avais lu, alors que le Chignon d'Olga j'avais vraiment trouvé ça excellent.

Je suis d'ailleurs un peu d'accord avec un peu toutes les critiques sur le film qui sont dans ce fil, mais au final je trouve ces défauts assez maigres comparés à ce qu'il y a dans la plupart des films.

Pour un film choral, la durée est très courte, mais on arrive quand même à être touché par les personnages que l'on voit relativement peu.
Le début est agréable, ensuite on se demande un peu où ça va et si ça va quelque part, mais au final je trouve le film suffisamment cohérent et complet pour être intéressant.

C'est un petit film certes, mais un petit film rudement bien réussi.

Bien chiant... Tellement symptomatique d'une certaine tendance du cinéma français : petite ville, pauvres gens, tristesse, mélancolie, c'est chiant, pesant à mort...
Alors, vu que ça reste plutôt joué correctement, pas froncièrement mal écrit ni mis en scène, je mets quand même 2/6. Mais ce genre de films finit par me casser les couilles.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

excellent résumé marre de ce cinéma français-là

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J'apprécie le côté un peu lâche du film, cette espèce de film choral qui s'assume pas et n'est jamais meilleur que dans les moments un peu flottants (très bons instants d'acteurs, assez vrais). Lorsque Bonnell tente de relier les intrigues, ça fonctionne tout de suite de manière un peu plus rigide et moins "captivante".

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Liam Engle: réalisateur et scénariste