Forum de FilmDeCulte

C'est quoi que te choque tant dans A.I ?

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Mais pas du tout... je pose une simple question pour pouvoir en parler après.

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Mais t'es plus réactif que Freak et Scythe réunis, aujourd'hui. (Mêmesi je te le concède, c'est pas de la même manière)

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

Ouais donc on peut plus discuter normalement quoi ? je pose une simple question, sans sous entendu !! si il veut pas m'expliquer c'est pas grave... Mais bon ok, faites vos tops et on en parle pas. Je me casse, ça m'a gonflé là.

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Tous. La réal, le scénario, le truc-machin-chouette avec la voix de Robin Williams, la fin. La fin !!!
Faut que je le revois, cela dit.

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N'écoutez pas Film Freak

Mais non, mais non, c'est un malentendu, il y a trop de tension sur ce forum. Reste ! (c'est moi qui te retiens maintenant...)

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N'écoutez pas Film Freak

Putain, mais mince, moi, je dis pas ça pur ça. J'ai jamais sous-entendu que tu voulait pugiler...J'ai dit que t'étais plus r&actif que e Feak et Scythe, et j'ai dit que c'était pas de la même manière. C'est pas un défaut d'être réactif, ça m'étonnait, de te voir être le premier à prendre la défense de Spielberg, non que tu ne l'aimes pas, mais y en a de beaucoup plus prompts, d'habitude, c'est tout!

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

Au fond, ça rejoint un peu ce que j'entendais par un second degré "humain". Développer un autre sens que le premier purement factuel permet l'adaptation à l'environnement, à la situation filmée. C'est en quelque sorte un rapprochement par une autre analyse, oui.
De là à ce que je rapproche un cinglant second degré avec une caméra humaniste, c'est un pas que je ne franchirai pas. Je pense que c'est spéculatif de dire que c'est dans le même élan de cinéaste. Mais pourquoi pas ?

Donc sous prétexte que d'autres vont réagir de manière virulente je dois pas poser de question et chercher la discussion ? Ben non, merde.

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De la merde, comme d'habitude. Mais je parlais pas forcément de toi, mais de tous les gants qu'il faut mettre lorsque Spielberg est au centre de la conversation. Lorsque je pose la question à Tetsuo je devrais pas avoir à penser que d'autres vont venir s'acharner sur lui...

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Oh la la, t'es sérieux ?

Le sens d'une scène, le point de vue du réalisateur, les sentiments d'un personnage... mais surtout pas la morale.

Personne n'a voulu empêcher que tu discutes avec Tetsuo, Leo a senti venir la même baston que toi, et pour les mêmes raisons, mais sans te mettre en cause dedans. Moi-même (pour les mêmes raisons), je me suis étonné que ce soit toi qui régisse, mais je n'ai jamais eu de doutes sur ta bonne foi et ta volonté de discuter. Personne ne t'a accusé de rien, et nous serions au contraire ravi que cette discussion se poursuive, n'est ce pas, Leo?

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

Non la vraie question qui te concerne, c'est "Pourquoi attends-tu de Spielberg un film qui ferait l'éducation des masses ?". Il traite le sujet par le prisme de l'adaptation d'un livre, mais il lui faudrait tout de même être exhaustif sur la période ? Je pense que Spielberg a pris toutes les précautions possibles avant de se lancer, mais une fois lancé, c'est TOUT POUR SON HISTOIRE ET SES PERSONNAGES. Y a rien d'autre à savoir. Il n'y a pas démarche artistique plus sincère ni plus honnête. Je trouve d'ailleurs la démarche de Polanski tout à fait similaire et son film presque aussi percutant.

Mouais... moi je crois sincèrement que Spielberg - pour détourner Céline - c'est la critique à la portée des caniches.

en fait, le probleme, c'est qu'il a été presente en tant que tel, y compris par Spielberg lui meme, en faisant le lien avec sa fondation notamment...
quand les intentions sont aussi clairement exprimes, c'est difficile de juger le film sans en tenir compte.
or il se trouve que a mon avis que La liste de Shindler est un tres beau film non sur la Shoah (soit 8 millions de morts) mais sur un événement particulier et exceptionnel qui a eu lieu dans son cadre (soit 1100 survivants). le fait que Spielberg decide de se focaliser sur cet evenement, sur LE rayon de lumiere au sein des ténèbres les plus obscures, est une tres belle profession de sa foi dans la nature humaine. ca reste mon avis mais bon, du coup, ca explique les malendentus quand tu t'attends a un film SUR la Shoah, malentendus entretenus par la communication autour du film.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.