Forum de FilmDeCulte

Horrible, que ce gros porc soit soutenu par toute une intellgentsia intellectuelle est le symbole d'une espèce d'insupportable entre soi bourgeois totalement déconnecté. Le mec mérite de finir ses jours en prison et on nous dit qu'il faut le respecter en tant qu'ecrivain.

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CroqAnimement votre

Maintenant j'appelle QGJ, Castorp et Billy Budd.

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Tu m'as déjà vu défendre l'intelligentsia parisienne et les incestueux de St-Germain des Prés ?

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Histoire passionnante surtout du point de vue de l’évolution des mœurs, comment des choses qu’on pouvait trouver acceptables ou au pire "sulfureuse" deviennent avec le temps impensables. Je recommande l’article du Monde qui recontextualise bien le truc et donne la parole à ceux qui l’ont défendu et le défendent encore.

En tout cas quand tu compares Christophe Ruggia avec ce sinistre individu, tu vois le gouffre...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Hallu face à la nonchalance des questions de Pivot à la télé à l'époque.

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Je me souviens parfaitement de cet Apostrophes et de mon incompréhension, malgré mes propres inclinations.



Ce qui est passionnant, c’est de constater l’évolution de la gauche progressiste sur ce sujet comme sur un tas d’autres, en particulier la censure.

Quant à la place de Matzneff, à supposer que ce qu’il a pu écrire et déclarer soit vrai, elle est en soins et non en prison, mais il s’agit désormais d’un point de non retour pour la gauche ou pire, les SJW, comme si elle voulait se pardonner ses errements passés.

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There is no such thing in life as normal

J'ai bien du mal à comprendre ce que "la gauche" vient foutre là-dedans...

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N'écoutez pas Film Freak

Là-dedans, tu veux dire la défense de la pédophilie ?

Relis le Libération des années 70 ou la pétition publiée par Le Monde en 1977.

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There is no such thing in life as normal

Oui je suis retombé sur tout ça, c'est vraiment gerbant,cette espèce de complaisance. Et là on parle de Matzneff mais il y en a d'autres, Cohn Bendit c'est limite pire (ses "victimes" étaient bien plus jeunes) et le mec est toujours dans le paysage politique.

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CroqAnimement votre

Cohn-Bendit c'était pas juste que de la gueule ? Ce qui en dit d'ailleurs assez long sur l'époque, ce milieu, et le bonhomme.

Je suis persuadé que oui.

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There is no such thing in life as normal

En fait je disais ça parce que c'est son mode de défense. Mais pareil, et ça m'étonne pas d'un tel blaireau.

ça semble évident. Il a dû s'en mordre les doigts même s'il n'en a jamais vraiment souffert médiatiquement.
Il y a quantité de réflexes pavloviens dans le débat qui suscitent une certaine lassitude, le fait que tout soit répété puis oublié.
La distinction artiste/oeuvre avec Polanski, Allen rejouée tous les quatre ans, en invoquant - toujours - Céline. Les coups en dessous de la ceinture permanents (à l'époque de la création du modem, j'étais légèrement sympathisant, avant de trouver en Bayrou un piètre représentant et un type qui finalement s'abaissa à traiter Cohn Bendit - que je n'aime pas - de pédophile).
Pour Matzneff, auteur de moins de seize ans, ce n'a jamais été un secret pour personne donc bon... Dans le même style, il y avait cette séquence de "ce soir ou jamais" qui était devenu une sorte de meme sur le forum jvc "il y a une chape de boucle blondes".
(mais plus dans les clous que ce dont je me souvenais). Son "qui?" est rigolo, de même que le "c'est un système autoritaire au service de la liberté" est particulièrement piquant.

Sauf qu'en janvier sortira le livre d'une de ses victimes. La parole change de camp en quelque sorte.

Donc vous me dites que Cohn-Bendit se vantait d'avoir des relations pédophiles pour se la péter ? Du mal à comprendre là...

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