Forum de FilmDeCulte

Déjà que le premier tient pas une heure... qu'ils ont grillé toutes leurs cartes et qu'ils sont obligés de répéter trois fois le même tour de magie...

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

Vraiment? Le réalisateur va devoir se surpasser. Mais les suites... Ah les suites

Cette fois, on aura peut-être droit à une heure de course poursuite pour combler les lacunes, qui sait.

Comme les autres j'ai bien marché au début, moins au milieu (la poursuite à pied est abominable), et il y a un quart d'heure de trop, comme souvent , mais enfin ça fait la blague, j'aime toujours autant Ruffalo, Mélanie Laurent n'est pas aussi mauvaise que d'habitude et tant que ça bouge, ça fonctionne. Après, faut pas pointer les incohérences, sinon ça n'arrête pas, genre
3,5/6

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

Espace branleurs

Oui c'est pas vraiment l'une des vraies incohérences du film ça...

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Film affreux qui se vend sous des oripeaux de fraicheur... J'ai l'impression d'un scénar qui essaye de la jouer film de groupe glamour tout en surfant sur la vague des super héros, et englué dans une écriture des personnages très caractérisée "série télé". Mais on ne s'attarde sur rien, tout tient vraiment en permanence de la formule, des sentences sur la magie et la foi jusqu'aux éléments "société secrète" limite Benjamin Gates... Le côté post "Occupy Wall Street" des deux premiers tours est vite évacué pour, au fond, une pure apologie du spectacle servie par un Leterrier qui la fait plonger dans la débilité, sa mise en scène se bornant à organiser un perpétuel et abrutissant tourniquet, censé enivrer et dissimuler les diverses illusions... un vrai cache misère à traiter son sujet, et une certaine vulgarité s'il s'agissait de seulement s'assumer comme un gentil forain. Bref un produit singulièrement repoussant.

Le début, c'est du divertissement de haute volée (bon j'exagère un peu mais bon, c'est très entraînant). C'est le lot de tous les films hollywoodiens pratiquement de réussir leur exposition puis de perdre en intérêt jusqu'à la fin, pratiquement toujours prévisible ou excessive.
Sympa néanmoins.
NB: Leterrier peut bien être fier d'avoir participé à l'invention du Statham-movie.

D'accord avec tout ça ; en fait, je pense que le casting est l'aspect le plus positif pour faire gober tout le reste. Ils sont tous très bons (et Mélanie Laurent n'arrive pas à gâcher tout ça malgré les limites de son jeu). Je l'ai vu avant ou après Pacific Rim et j'ai trouvé ça finalement plus distrayant (ma première déception avec Guillermo) ; pourtant, Leterrier quoi ! Sa filmo est plutôt... Pas affligeante mais c'est d'une médiocrité...

J'adore Dany the dog.

Moi aussi.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Scènes de combat : bonnes.
Tout le reste : bessonisme pourrave.
Résultat : moyen.

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ah un avis nuancé!

Merci Woo-Ping Yuen et Jet Li

Tout est dit (il n'y a pas un plénonasme là-dedans ?).

Ce qui me sidère avec Besson, c'est son aptitude hallucinante au plagiat misant sur l'inculture (ou l'indifférence) de son public de base : combien de fois il a pompé New York 1997 de Carpenter ? Avec ses films Banlieue truc, là, et l'autre merde, Lock Out...

Hum, ça ne me choque pas trop. N'est pas Carpenter qui veut (lequel aura pompé Hawks et Lovecraft si on va part là). C'est le principe de la série b de fonctionner de la sorte. Je me faisais d'ailleurs une réflexion similaire à la tienne en commençant à voir Danny The Dog hier soir. Il mélangé Performance de Roeg, Fingers de Toback qui a été refait par Audiard, etc.
Pas vu Lock Out mais ça ne viendrait pas plutôt de Fortress de Stuart Gordon.

Je pense qu'il y a une différence entre inspiration, référence et plagiat.

Pour Lock Out, la trame c'est vraiment NY1997 et pas du tout Fortress :

Je cite :

MS One est une prison spatiale expérimentale où les 500 criminels les plus dangereux au monde sont maintenus dans un sommeil artificiel. Chargée d’une mission humanitaire, la fille du Président des Etats-Unis, Emilie Warnock, arrive à bord de la station. Une mutinerie d’une rare violence y éclate. Emilie et l’équipe du MS One sont prises en otage par les détenus. Le Président décide d’y envoyer l’agent Snow avec pour seule et unique mission de sauver sa fille et personne d’autre…
L'agent Snow étant un prisonnier qu'on allait envoyer dans la prison spatiale, tu avoueras quand même que c'est très très très très proche de NY1997.

J'ai voulu le regarder parce que j'aime bien Pearce et je me suis dit que ce serait peut-être un peu un truc distrayant comme Con Air mais bon, pas du tout, c'est vraiment de la merde...