Forum de FilmDeCulte

Barbara Stiegler raconte en effet n'importe quoi, en plus elle est fille de... Bernard Stiegler, autrement plus intéressant à lire bien que décédé.

Faut arrêter aussi avec les libertés publiques, enfin disons que le problème est que le récit alternatif est complètement pété, et que ça fait un prémisse plutôt bancal pour faire un édifice intellectuel qui questionnerait les libertés publiques en rapport avec les enjeux effectifs qu'impliquent ce virus, et sur la question des vaccins et des traitements. Or il n'en est rien. La même avec Agamben (ce qui ne doit pas dégoûter complètement de son Homo Sacer) ou plus récemment avec Mehdi Belhaj Kacem qui a lui aussi complètement vrillé.

Non. Faut arrêter avec cette maladie dont la gravité est proche de celle de la grippe de 1968, et qui elle n'a pas mis le monde entier dans un état de panique pareil.
C'est vous, les tarés des mesures sanitaires, qui sont devenues une sorte de badge of honor moral, qui avez vrillé.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Oui, Bernard me semble largement plus intéressant, mais c'est pas la question.



Je ne crois pas que la question de la démocratie à l'épreuve des crises soit secondaire, surtout au vu de tout ce qui s'annonce et qui manquera pas de la déstabiliser, la démocratie (Castorp style).
Et pour balayer devant ma porte, quand on entend des gens invoquer un "état d'urgence social" ou un "état d'urgence écologique (ou climatique)", malgré toute ma sympathie première, ça pose quand même question.

J'ai un disciple.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

C'est bon tu peux mourir.

... et déjà Dark Vador.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Mehdi Belhaj Kacem en gros c'est : l'épidémie n'est rien, la vaccination est génocidaire.

On le lit ici.

Tu valides?

Rappel : c'est un SRAS, Syndrome Respiratoire Aigu Sévère, un coronavirus nouveau (dont la clinique est mal connue) et le premier à toucher l'Europe, dans une population naïve, déclenchant chez certaines personnes infectées ce SRAS, pour lequel ils doivent être oxygénés (soins critiques), et pour certains d'entre eux en réanimation (Optiflow ou intubation) jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de place, situation qui s'est produite en des centaines de villes par le monde, et contre laquelle 150 pays ont pris des mesures contraignantes.

A partir de là tu me parles de libertés publiques. Le reste...

Et sur les vaccins? Qui sont tous des vaccins, soit contiennent un élément du virus pour entrainer l'organisme à une réponse immunitaire lorsqu'il rencontre à nouveau ce virus pathogène. Les effets secondaires étant donc des symptômes du virus largement atténués (notamment les myocardites). Dans une première pharmacovigilance dans le big data sur une vaccination de masse, où on peut se perdre dans les données.

Barbara Stiegler sur les traitements précoces c'est pas possible hein (sûr que si des millions de français pouvaient se traiter en préventif à l'hydroxychloroquine et au zinc ça améliorerait grandement notre situation et emmerderait grave les big pharma), et en glissant des éléments comme ça à longueur de temps dans les démonstrations très vite ça n'a plus aucun intérêt.

Après oui les démocraties à l'épreuve des crises, elles morflent. Merci Barbara. Tiens je préfère lire Naomi Klein,bien plus lucide dès le début.

Le point commun dans la série Stiegler/Agamben/MBK c'est qu'ils sont tous du courant philosophique d'une certaine ontologie (Heidegger en particulier comme référence), et le constat c'est qu'ils sont complètement infoutus de penser concrètement (je ne dis même pas rationnellement) les objets qu'ils prétendent décrire.

Ouais alors:
1. Je n'ai pas défendu ses prises de positions en matière médicale (et je m'en fous)
2. Faut quand même replacer l'échange dans son contexte: je réponds à Müller qui évoque l'emprise administrative, pour dire qu'aucun candidat à la présidentielle ne l'aborde. Barbara Stiegler n'est pas candidate, mais je me permets de lui citer une source que traite du sujet. Libre à toi de compléter cette source (et de dénigrer celle que je cite).

Mais pourquoi tu me sors cette espèce de guignol que je ne connais ni d'Eve, ni d'Adam ?
Si je critique l'usure, tu vas me sortir le manifeste du Parti nazi ?



Non. Dans quel monde la situation A L'HOPITAL prend le pas sur tout le reste ?
Je répète, hein : la grippe de 1965 est une épidémie assez similaire en taille à celle du coronavirus (2 à 3 fois moins de morts, mais population mondiale plus de 2 fois moindre), mais qui n'a pas généré toute cette hystérie.
Cette pandémie, c'est vraiment l'histoire de l'implosion du monde néo-libéral, englué dans la stupidité managériale, et j'imagine que les historiens y feront référence pour trouver un point de départ à son effondrement progressif.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Oui parce que les gens n'avaient pas les moyens de comprendre ce qu'il se passait. Un problème n'est pas résolu par le biais cognitif qu'il produit.
Si le trou dans la couche d'ozone se serait produit au 14ème siécle il n'aurait pas été moins grave (mais pas de la faute des gens qui n'utilisaient pas de fréon)

Par ailleurs en 68 moins de liaisons aériennes, une partie du monde inaccessible à cause de la guerre froide, cela joue sur l'épidémie, la prophylaxie et même l'évaluation de la réalité.
La peste est venue par les axes économiques. D'une certaine façon le COVID aussi avec Milan ville qui commerce beaucoup avec la Chine...

Et dans l'autre sens la colonisation a exporté des maladie sur des populations qui ne pouvaient pas développer d'immunité. Ce qui signifie que l'autarcie, volontaire ou involontaire, augmente la vulnérabilité des populations à des menaces biologiques, qui elles évoluent.

Ton raisonnement consiste au fond, sous une forme sophistiquée, à dire qu'avec moins de securité sociale on aurait moins de maladie.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Oui, les gens de 1965, ils pensaient que la terre était plate.
Qu'est-ce qu'il faut pas lire.

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"Je me suis mal exprimé, pardon."

Barbara Stiegler est à la France Insoumise avec Mélenchon, sans surprise.

Il n'y avait pas de PCR, pas de séquençage génétique. Le penicilline ne.s'est généralisee que dans les années 50...
Beaucoup d'enfant mourraient de méningite ou étaient touchés par la polio en France.

Voilà quoi, ton univers matériel ne provient pas en ligne directe de l'empire romain

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Euuuuh oui et donc ? Bernard Stiegler se définissait comme post-marxiste, tu en déduis quoi? Je vois pas où tu veux en venir en fait, mais j'ai compris que tu peux pas la blairer, tkt.