Forum de FilmDeCulte

Hashtag golrire.

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

L'insulte suprême. Toi je te confonds avec... Euh... Hal5, tiens. Mange.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Castorp comment tu peux connaître Hal5 alors que le mec s'est barré longtemps avant que tu arrives ?

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CroqAnimement votre

C'était ma super allusion méchante à Arnotte : il est aussi transparent qu'Hal5, dont les messages ont disparu.
(mais c'était pas fin, j'avoue)

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ok... Je te soupçonne d'être un agent infiltré, un ex foruméen qui ne voudrait pas donner son pseudo et qui se construit une vie qui n'est pas la sienne pour pas qu'on le reconnaisse.

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CroqAnimement votre

AH mais c'est de la pure distraction hein... Les pseudos se ressemblent trop. La distinction est faite quand je lis une grosse connerie (là je sais que c'est bien Caribou).

Hal5 c'était une star, such an honour it is! Maintenant si c'était pour signaler que je suis invisible à tes yeux, je te l'accorde, Castorp!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

C'est pour ça que j'aime bien Despicable Me.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ah non, tu n'es pas invisible du tout, mais j'ai voulu d'abord te comparer à Deudtens, mais ça n'avait pas de sens. Alors j'ai choisi Hal5 pour donner des indices à Art Core, qui cherche qui est la taupe.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

J'ai mes fiches, la vérité va pas tarder à éclater .

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CroqAnimement votre

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

L'Apollonide, souvenirs de la maison close



Bienvenue chez les teupus.

Quelle bonne surprise! Mes attentes étaient minimales, et j'ai vu un film délicat, sombre mais léger, dans lequel toutes les situations sont très crédibles et où la poésie se glisse partout.
La plus belle réussite de ce film c'est probablement la mise en place de cette ambiance de salon, où l'on se déplace légèrement de conversation en conversation, entendant des bribes sans tout comprendre, dans une déambulation butineuse et sans but. C'est quelque chose que l'on vit tous les jours, mais qui est très bien décrit ici. Cette (anti-) matière-là, impalpable mais précieuse, m'a absorbé tout de suite et ne m'a pas lâché. Le travail sur le son est d'ailleurs étonnant pour un film de tchatche.
Le reste du temps, on voyage entre des moments de grâce, surtout entre filles, qui ont des amitiés fortes comme celles des prisonniers ou des militaires, et des moments terribles où l'horreur de leur condition de choses tranche avec leurs rêves de petites filles.

Une seule petite scène d'extérieur vient éclairer tout cela, mais de belle façon. Toutes ces jeunes filles, cheveux au vent, avec leurs conversations légères rappellent Picnic at Hanging Rock, et si ce n'est pas un hommage ou une inspiration, c'est bien imité si j'ose dire.



Globalement très bien joué, notamment par Céline Sallette et Adèle Haenel mais aussi la Lvovsky, ce film transpire le bon goût, même lorsque la symbolique pourrait paraître grossière (fondu au noir après l'opium, chute d'un pétale de rose marquant la fin d'un monde) il parvient à émouvoir parce que c'est fait avec classe. Une exception grave quand même : cette fin , est-ce que ça signifie quelque chose, ou est-ce de la connerie vide de sens et m'as-tu-vu? J'ai peur de répondre.

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-I failed.
-Good. Now go fail again.

Déjà un topic. Super film même si la toute fin est archi nulle.

Pareil, au début j'avais du mal à vous différencier toi et Art Core

Raaaah merde, je l'avais vu, et puis j'ai oublié.
Quelqu'un peut-il déplacer le bébé et avorter celui-là?

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-I failed.
-Good. Now go fail again.