Forum de FilmDeCulte

oui curieusement dans ce film ultra prévisible et rempli de clichés (mais vraiment fun), on échappe aux habituelles destructions de NY, Paris et du Golden Gate (voire des pyramides), là on a Washington (et pas que la Maison-Blanche, plan énormissime quand même), Rio et le Vatican, mois courants...

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Janet

Voilà, et c'est un peu tout le film comme ça en fait, genre tu vois le truc gros comme un camion arriver, tu te dis "noooon", et si, et tu te dis qu'il a peur de rien ce Roland ! (pas trop vu le temps passer non plus finalement)

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Janet

Tiens je viens seulement de réaliser que le fils du perso Cusack s'appelle Noah, ah le détail inutile !

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Janet

2012 vu par les scientifiques. Prévisible mais tres interessant
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit ... iques.html

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Par contre, petite déception quant à la mort du Pape. J'aurais aimé un truc plus gras, où on voit bien clairement le Pape mourir.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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On voit jamais personne vraiment mourir non ? Que ce soit, le président ou encore woody harrelson ou la blondasse .. on voit le russe tomber mais de loin.

Non effectivement, mais les autres on les voit quand même se prendre un mur, ou au moins voir le mur arriver. Là on apperçoit très vaguement le pape de dos et c'est tout. Alors que le voir, même de loin, pendu à sa fenêtre, ou même chuter hors champ sous le regard des spectateurs, ça aurait été énorme !

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Mais c'est très politiquement incorrect, tout ça; je suis choquée

2012, c'est le grand qui claque la porte au nez de ses morveux de frères. On ne risque pas de revoir de sitôt un film de ce genre vu que, cette fois, la digestion va être longue!
J'ai été un peu déçue que la prophétie maya ne soit pas exploitée du tout (belle arnaque d'Emmerich). Woody Harrelson est mon personnage préféré : le vrai dingo déjanté qui finalement ne fait pas un si mauvais choix; tant qu'à mourir, autant le faire en beauté. Les symboles parsemés tout au long du film ne font pas dans la dentelle; on s'y attendait un peu, du reste. La scène du Vatican où la fissure passe juste entre le doigt de Dieu (le père) donnant la vie à Adam est à la fois superbe et lourdingue parce que Dieu, on se demande où est sa place dans ce film. Autre symbole: le dernier président américain (enfin de ce monde-là) recevant en pleine poire le porte-avions JF Kennedy : il fallait oser ! Pauvre Danny Glover; il doit regretter Prédator, c'était plus marrant !
Le fait que l'Afrique, berceau de l'Humanité, soit apparemment la seule terre émergée : allez, encore une louche!
A ce propos, la dernière image du film, les vaisseaux naviguant sur la mer à perte de vue, m'a fait penser que, finalement, nous connaissons la suite à 2012 depuis longtemps: Waterworld. Quel visionnaire, ce Costner !
Par contre, et ce sera l'énigme du jour, il y a un vrai cinéphile parmi les personnages. Je vous laisse deviner lequel.
Là où j'ai moins apprécié, c'est cette espèce de morale à trois francs six sous que nous sert Ejiofor au moment du départ des vaisseaux. Parce que finalement, à part les ouvriers chinois, qui sauve-t-on en plus? Les privilégiés des privilégiés, ceux qui avaient pu se payer une place et qui ont failli rester en rade. C'est presque malsain au regard de tous ceux qui ont péri. Beau début pour une nouvelle civilisation! Enfin, je sais ce qui me reste à faire pour être fin prête le 21/12/2012 : apprendre à piloter un avion et construire un bateau hermétique, genre sous-marin. Ouf! Merci, Roland!

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

On ne le voit peut-être pas bien dans le film mais il n'y a pas que des gens qui ont acheté des places qui se retrouvent sur les quais d'embarquement et qui embarquent...

Ben écoute, je les cherche; il y a les ouvriers chinois et tout le staff s'occupant de l'embarquement, les scientifiques de tout poil aussi, OK mais les autres? S'ils sont là, c'est parce qu'ils ont bien payé leur ticket et qu'ils se retrouvent le bec dans l'eau à cause du vaisseau détérioré par l'effondrement du plafond des hangars. Ils n'ont pas tous eu la chance de parvenir jusqu'en Chine par leurs propres moyens comme notre petit groupe de héros ou alors j'ai loupé une scène.

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Ah au contraire moi j'aime bien cette espèce de petite silhouette qui galère sur le balcon pendant que le truc s'écroule...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J'allais le dire!

J'ai bien suivi les conseils ici, j'ai fait abstraction des gros clichés gros comme un immeuble qui s'effondre et des bons sentiments dégoulinants, et ma foi j'ai passé une très bonne séance de cinéma. Je n'ai pas vu passé les 2h40!

Note subjective: 5/6

Indulgenceeeeeeeeeee

Un film edwoodien avec bcp de moyens... c'est quand même con, moche et bâclé

1/6

Je précise que je l'ai vu en divix, et que c'est vraiment le film à voir au cinéma pour l'expérience partagée devant tant de... nullité ?