Forum de FilmDeCulte

oui enfin je parlais de vrais mordu(e)s, pas de journaliste a Paris première.
Axelle Ropert je connais pas.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Elle en a des gros, de roperts ?

c'est assez vrai mais comme il y en a beaucoup plus, il y a plus d'exceptions

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

J'espère ne jamais la voir dans le topic du slip.

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N'écoutez pas Film Freak

c'est a dire?

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

John Carpenter et The thing

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Il continue là.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

jamais pige l'engouement (assez récent) pour les films de Jean Charpentier, George Romero et consorts.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Si t'as aimé The Thing, t'es sur la bonne voie.
Sinon j'aime bien Romero, mais il est loin derrière Carpenter...

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N'écoutez pas Film Freak

j'ai aime The thing mais je n'ai pas aime les 6 ou 7 autres films que j'ai vus de lui. en general, je trouve ca grotesque ou plutot ridicule.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Hum... ça fait quand même longtemps qu'ils sont appréciés.

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Cela dit, il m'a fallu découvrir NY 1997 pour commencer à apprécier John Carpenter... Avant je trouvais que y'avait plein de bonnes intentions mais je trouvais toujours un truc qui me gâchait le plaisir... Maintenant j'adore toute sa filmo d'un bout à l'autre...

Itchi the Killer

Le peu que j'avais vu de Miike m'avait profondément rebuté. Et quand j'avais entendu parler de ce Itchi comme un des films les plus dégueu jamais fait, j'imaginais un truc bien racolleur. Et puis je me retrouve devant un film plein de dérision, complètement baré, qui parle de la difficulté de jouir au Japon, de la quête absolue de sensation physique et de son absurdité. Le film traîne un peu (une bonne demi-heure en trop) mais je me suis rendu compte que le Miike, s'il se prenait pas trop au sérieux et arrêtait de pauser, il pouvait éventuellement valoir quelque chose.


Le Rayon vert

J'avais vu un ou deux films de Rohmer au Lycée, j'étais évidement bien passer à côté. Du coup je me suis complètement braqué vis à vis de ce genre de film. Puis quelques années plus tard, ma copine me traîne à la cinémathèque pour aller voir le Rayon Vert. Bouleversement total ! Depuis, Rohmer est mon réalisateur français préféré, sans que je comprenne pourquoi parce qu'il fait vraiment le type de film que je déteste...


Le Nouveau Monde

J'avais vu La ligne Rouge à sa sortie, et ça m'avait vraiment soulé tout ce côté métaphysico-prout-prout avec son défilé de star. J'étais donc bien dubitatif en allant voir ce Nouveau Monde. Choc. Un film profond, pur, qui prend le temps de trouver ses images et de filmer sa sublime actrice. On est à des années lumières de l'imagerie Hollywoodienne...
Depuis j'ai vu les autres Malick, et je le considère comme un cinéaste important. Mais j'ai aussi revu la Ligne Rouge. Et ça me gave toujours autant...


Miami Vice

Houuu que je n'aime pas Micheal Mann. Je trouve ça vide, mais vide !!! il se cache derrière le propos du scénar pour exprimer du vent, et on aura beau me parler de l'expérimentation visuelle, je m'en tape mais d'une force ! Pour moi ce n'est que du maniérisme précieux apposé à une vision balisée du monde. Alors quand il fait un film vide (de plus) mais que ce dernier est revendiqué comme tel, et bien je trouve que quelque chose passe. C'est pas tellement plus profond que le reste mais c'est moins désagréable, moins péteux et du coup je ne déteste pas.


A History of Violence

Pas du tout fan de Cronenberg. Pas que je trouve ça mauvais mais ça me laisse froid. Je vois un peu trop où il veut en venir avec ses délires organiques. Ca manque de spontanéité tout ça. Et puis paf ! un film tout con, une histoire ultra simple et derrière une vraie richesse thématique : l'Amérique et sa violence, l'homme et son animalité. Avec trois fois rien, Cronenberg dit beaucoup. Et puis quel acteur !

Voilà, c'est tout ce qui me vient à l'esprit pour l'instant. Il y en a surement d'autres...

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Comme La Ligne Rouge quoi...

Pourquoi parler de maniérisme pour Michael Mann ?

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Sauf que je trouve que l'intention et le sens y sont trop clairement définis et guident les images plutôt que de les laisser en pleine expansion. Ca m'ennuie.



Parce que, en gros, il s'intéresse plus à la manière de filmer ses scènes et ses personnages qu'à ces derniers.

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