Forum de FilmDeCulte

Tu déconnes là..??


Ah non!! Le film est assez puissant et beau pour résister au temps...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

La BO écrite par un gamin de dix ans qui bourrine sur trois touches de son Bontempi. J'ai jamais su à quel degré il fallait le prendre mais j'adore, ça marche à fond je trouve.
C'est un des rares thèmes musicaux qui reste gravé de façon indélébile dans ma mémoire, comme la chanson de Chaplin dans Les Temps Modernes vu quand j'avais cinq ans.

Hey brohim, je pense que le Pingouin parle de ça



pas de ça

Pareil, elle est fabuleuse. Si quelqu'un sait où la trouver, je suis preneur.

OK tout s'explique... LOL N'empêche, en relisant le message de Pingouin, rien n'indique qu'il s'agit de l'un ou de l'autre (sauf les aberrations qu'il a écrites - si c'était le Joffé).

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

j'adore (comme quasiment tous les film de Luchino Visconti)

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Moi aussi je suis fan absolu. Du générique Bontempi au morceau lancinant lors de la fusillade du centre commercial, c'est absolument indissociable pour moi, ça fait partie intégrante de ce film et de la banane qu'il me file à chaque vision.

mais grand aristocrate, ça compense

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Ah ya des scène de fusillades dans le Joffé??? (pas vu ceci dit) Il a réalisé Running out of time?

Bon sinon, tu as raison, je dois mettre le nom du réal.



Ah pareil, les zics de Johnny To. Parait qu'à côté du taf, dans le boutique chinoises, mais bon, je sais pas, y a jamais l'air d'y avoir des BO là dedans...

des massacres en fait.
mais comme c'est fait au fusil (enfin à l'arquebuse), on peut appeler ça des fusillades oui.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Dans ce cas je vais pas trop te spoiler mais à la fin ya effectivement une scène de "fusillade" hautement mémorable. VOIS CE FILM.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ah tu m'as fait peur.


J'ai vu l'Aurore de Murnau hier soir: quelle émotion! lol. Le film est assez "vieille société" à valoriser le mariage, l'homme qui a pour rôle de protéger la femme etc. Mais quelle poésie, quelle sensibilité, quelle mise en scène! Le muet c'est vraiment quelque chose aussi!

Rattrapage 2007 et un film qui aurait finis dans le BIG 3:

Youth without youth - coppola

c'est la grosse claque au niveau du scénario et visuellement, le maître est de retour.

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Why there is so much trouble in this world?

Buena Vista Social Club - Wim Wenders

Un documentaire au propos minimaliste (série de portraits de chaque membre du groupe) mais qui arrive ainsi au tour de force de jouer surtout sur l'implicite: les meilleures scènes (et celles qui en disent le plus long) sont surement pour moi les scènes de concert, où s'exprime toute la passion de ces musiciens qui entretiennent des liens incroyables sur scène, entre eux et avec le public. On a vraiment l'impression qu'ils sont là pour s'amuser, il y'a un respect mutuel et en même temps une profonde complicité que Wenders arrive à capter dans leurs regards, leurs gestes ou leur façon de jouer. Ce sont vraiment tous des personnages touchants et passionnants. La seule chose c'est que j'aurais aimé que le réalisateur se fasse un peu plus discret, plus sobre. Il y'a de très beaux plans, mais tous ces panoramiques.. ça marche très bien par moments, d'autres fois c'est juste trop. ça reste, cela dit un très bel objet, et puis la musique est évidemment excellente.

Je continue ma découverte de Woody Allen qui me manquent:

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe...

Douche froide quasi intégrale pour ce film à sketch qui m'arrache quelques rires sur le segment Italien, mais dans l'ensemble, je trouve ça terriblement faible. Bon après, il y a des petites choses avec Gene Wilder, mais c'est pas follichon.

2/6

Comédie érotique d'une nuit d'été

Un peu palot pareil, même si ça commence très bien. Le lieu est magnifique, la galerie de personnage est amusante, mais la conclusion nawakesque gâche sévèrement l'ensemble. Par contre, sublime photo. Et puis la réplique sortie supra naturellement par Marie Steenburgen "la prochaine fois, quand nous serons seuls, je te montrerai la brouette portugaise", c'est magnifique.

3.5/6

Bon et puis j'ai attaqué Depardon avec

1974, une partie de campagne

Et c'est plutôt emmerdant. Il y a pleins de très beaux passages (les longues marches de Giscard, notamment au Louvre), voir des séquences fascinantes (Aznavour qui continue de chanter, la discussion sur le monsieur "calme et poli"). Mais je trouve que c'est aussi mou que son sujet. Et l'articulation est super étrange. Pas accroché outre-mesure.

3/6