Forum de FilmDeCulte

C'est quoi alors ? Faire le poing ?

Fist with your toes ouais.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Impossible à saisir en français. Etant donné qu'il regardait ses pieds, j'ai toujours pensé point aussi, façon méthode de relaxation.

Vous plaisantez ?

On voit McClane faire en plus.

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There is no such thing in life as normal

Quand tu penses que c'est "point", tu fais pas le rapprochement. Tu vois juste un mec serrer les orteils.

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Putain pareil, j'ai toujours pigé moi.

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Netflix les gars, Netflix.

Surtout qu'il regarde ses pieds, comme s'il visualisait un "point".

Pas compris ce que vous n'aviez pas compris:

Sinon,



Burying The Ex, Joe Dante, 2014

Immensément anecdotique et dispensable, ça se regarde néanmoins sans difficulté et c'est sympathique. C'est dans lignée des rom-coms dont parle rotary de loin en loin sur ce topic, la patte joe dante se fait sentir, mais presque à l'état de vestige, c'est du recyclé (la main qui sort de la tombe, etc), ce genre de film rappelle que ce qu'il avait contribué à ressusciter (le cinéma fantastique des années 50-60), se fera indéfiniment recycler avec toujours plus d'ironie. Dialogues et décors, comme de coutume dans la comédie nord-américaine contemporaine, sont envahis par les références pop, les fétiches: amusant comme le film met sur le même plan chez le couple original une passion écologique et celle pour les films d'horreur par exemple. On en est là.





Arthur, Steve Gordon, 1981

Dans la catégorie "quels sont les meilleurs ivrognes du cinéma?" (aperçu sur imdb), j'ai décidé d'enchaîner avec ce film comme on m'en a fait la suggestion. Il a été remaké assez récemment avec Jennifer Garner et Russel Brand dans le rôle principal.
Je suis pas fan de Dudley Moore mais il parvient à rendre son personnage de multimillionnaire alcoolique et forcément immature sympathique. Il embarque une prostituée dans la première scène du film et passe son temps à boire. Ce genre de film qui avait fait un énorme carton semble appartenir à une époque révolue (close par Boire et Déboires avec Bruce Willis et en dépit du remake?). Le film a quelques moments de poignance, comme disent les anglais, qui contribuent à son charme.
Un peu plus de difficulté avec Liza Minelli, qui a toujours un petit truc mais qui n'est pas assez belle, ni assez élégante pour me convaincre. Mais elle un côté terre-à-terre qui lui donne ce petit truc.

Que tu créés pas de topics pour les films que tu vois, soit. C'est teubé mais bon. Par contre, que tu ne postes pas tes avis dans les topics des films lorsqu'ils existent, c'est non.

Tu vas me faire un plaisir de déplacer ton avis sur le Ramis dans le topic dédié sinon j'efface.

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Le mec en mode rien à battre qui respecte rien et encore moins les règles BASIQUES...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

C'est trop un ouf, Caribou. Il est trop yolo.

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Avec les images et tout, c'est fait sérieusement en plus.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Nouvelle technique Caribou : faire semblant de ne pas avoir lu ce qu'on lui a dit.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

The Seven-Ups (Phillip d'Antoni, 1973) dont voici l'affiche :



Mais j'ai aussi envie de vous montrer la jaquette du Blu-ray allemand avec son marketing mensonger digne des années 70 :



DAS SPIN OFF.

Oui donc non, même si Roy Scheider joue encore un personnage nommé Buddy et que les principaux membres de l'équipe sont les mêmes que pour le film de Friedkin que d'Antoni avait produit, Police puissance 7 (oui oui c'est son titre français) n'est pas un spin-off de ce dernier et n'a évidemment jamais la maestria de son aîné, même si l'on retiendra une nouvelle fois une poursuite en voiture plutôt péchue à travers les rues de New York, avec une fin bien vénère.

J'aime bien le principe de l'équipe et la relation de Buddy avec son vieux pote indic, et la musique lors de la scène du car wash fout bien la pression, mais sinon c'est un tout petit polar basique qui ne fait surfer sur le succès de The French Connection.

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Made (Jon Favreau, 2001)



Premier long de Jon Favreau, qui en signe le scénario et tient le rôle principal aux côtés de Vince Vaughn comme pour Swingers de Doug Liman, Made explore le même genre de problématiques (que faire de sa vie, galères sentimentales, binôme handicapant) en beaucoup moins touchant et beaucoup moins drôle. Le personnage délibérément antipathique au possible interprété à la perfection par Vince Vaughn est plutôt bien écrit dans sa caractérisation odieuse mais il est perdu dans une intrigue criminelle banale qui prend malheureusement le dessus sur le développement thématique, bazardé en une conclusion poussive et vaguement hors sujet.

À part l'excellent Swingers donc, Favreau, c'est mieux quand il écrit pas. Parce qu'entre ça et Chef (et Thérapie de couples, que j'ai pas vu mais se traîne une sale réputation), c'est pas la folie...ses blockbusters sont meilleurs.

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