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The Guest ou It Follows?
Parce que The Guest, il ne faut pas trop en attendre, on est vraiment dans l'exercice de style plaisant, branché (comme Drive, auquel il est impossible de ne pas penser, le film s'inscrit dans ce revival 80's qui est partout), et un peu trop parodique; le film aurait gagné à faire moins son malin.

EDIT: ah ok. Je me demandais ce que ça valait It Follows du coup. J'avais pas du tout aimé son précédent (The Myth of The American Sleepover, j'avais quitté la séance).

C'est très bien It Follows mais faut pas forcément croire ceux qui crient au chef-d’œuvre.

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CroqAnimement votre

Oh.


Oooh....

+ Et je viens de me rendre compte que, contrairement à ce que je croyais depuis des mois, It Follows n'est pas un film de John Cameron Mitchell (je me disais, ouah, quelle reconversion classe).

C'est donc ma journée largué, j'arrête d'intervenir dans ce topic !

Aaaaaaah bah quand même putain ! Je commençais à me sentir seul.

Si tu lisais les topics plutôt que les sites de notes, feignasse, tu l'aurais su aussi !

Bon, je n'ai pas été tout à fait franc, à revoir donc, mais les épiphanies que représentent le film sont fausses, chez John Hughes par exemple, c'est clair, pas là, trop réaliste (désargenté) à mon goût.


Les précédents films du réalisateur ont dissipé l'imposture en ce qui me concerne, même si de loin ça peut donner envie.

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CroqAnimement votre

Je ne sais pas, je regardais la bande-annonce pour me remettre le film en mémoire, on a tous les lieux communs du film d'adolescent, fin du lycée, c'est Dazed and Confused avec un traitement mumblecore et sans le bavardage permanent (et fatiguant) des personnages de Linklater, les mecs qui courent, qui font du vélo, ces passages d'instant de vie captés ou t'es censé sentir la vie, qui sont dans tous les films, il te les fait mais avec un traitement réaliste, des acteurs au physique commun, des tonalités ternes, le côté "le cinéma ment" qu'il y a dans le cinéma hollywoodien n'est pas assumé.
Je ne pense pas être très clair et puis mes souvenirs sont flous.

Bon, j'ai songé à créer un topic, mais la flemme et puis ça n'en vaut pas la peine en fait.

Donc :

Arizona Dream, Emir Kusturica : purge hystérique et épuisante plus ridicule qu'onirique, avec des poissons qui volent et Johnny Depp qui fait la poule. Heureusement qu'il y a Faye Dunaway. Bref, même pas réussi à finir. Kusturica, c'est définitivement fini pour moi.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Film culte de mon adolescence qu'il faut que j'évite de revoir...

Ah l'un de mes films préférés - NE PAS LE REVOIR

Proxy

Un énième dtv thriller/horreur 2014. Celui-ci jouit d'une côte sympathique chez différents sites traitant du genre.
Ici, on a affaire à un mix de Gone Girl et de Bound (affiche parfaitement hs donc) pour un film rarement prenant et divertissant mais qui ne rate pas ses rares "money-shot".

Si trouver le propos du métrage donne à réfléchir pendant la vision, sa forme est trop minimaliste pour être remarquable.
Au final, un film qui a des gros relents de déjà-vu dans son fond (rien de plus que Bound dans la sexualité) et dont la forme ne s'échappe presque pas de sa filiation mumblecore.


V/H/S Viral

J'aime bien les anthologies VHS. Les courts/moyens métrages sont rarement trop longs à défauts d'être tous excitants et leur structure globale fait toujours tenir sans baillements.

Si ce 3ème volet est évidemment le moins bon de la série à cause de certains segments médiocres et dont la pauvreté illumine l'écran, celui que propose Nacho Vigalondo avec Parrallel Monsters vaut le détour à lui tout seul. Dante The Great par Gregg Bishop est bien sympathique aussi.



Vu également la trilogie Batman de Nolan lors fêtes. Trouvé ça misérable en dehors des $ (et encore pas trouvé que The Dark Knight vieillissait très bien) puis d'Anne Hathaway et son perso évidemment.
Sinon tout le monde dans ces films a fait bien mieux et intéressant dans sa carrière.

D'accord dans les grandes lignes avec ta critique. Le troisième volet est lui tout bonnement irregardable avec ces go pro, ces histoires de skaters et de zombies mexicains mais surtout l'action est totalement illisible avec le réalisateur qui s'amuse à faire joujou avec ses multiples caméras. Le premier segment n'est pas désagréable mais totalement anodin. Alors effectivement le segment de Vigalondo vaut le coup d'oeil : c'est malin dans son concept et assez drôle au final. Le problème c'est que ça ne dure que 20 minutes dans une compilation médiocre au possible.

J'aime bien les deux premiers V/H/S que je trouve sympathiques et même dans les segments ratés tu avais des idées. Celui-ci est une purge malgré les 20 minutes de Vigalondo.

Je note je note.

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Netflix les gars, Netflix.

J'aime pas trop les note mais 3/6 pour l'effort et l'investissement.
Une vraie déception pour des films que je m'étais gardé au chaud mais ça m'a trop rarement intéressé.
Faut apprécier Aaron Eckhart pour le second de la trilogie en plus, ça c'est dur.




C'est vrai que les skaters, c'est un des pire métrage commercial que j'ai pu voir de tout temps, horriblement trop long en plus.
Après purge, je ne sais pas. Ces 20 minutes plus Dante The Great, c'est pas si mal pour du dtv d'horreur.

Surtout en 2014, une des plus faibles année pour le genre.
Quand je vois les enflammades de certaines presses pour Badabook ou The Sacrament, le remake encore moins intéressant d'un vieux téléfilm sur Jim Jones et sa secte...


Dernières visions :

What Doesn't Kill You, 2008

J'avais raté cet énième film de voyous à Boston. Ethan Hawke et Mark Ruffalo jouent un duo qui fonctionne mais dans un film terriblement banal en dehors de son casting et d'une bonne captation des extérieurs filmés.

Time Laspe, 2014

Ah un thriller fantastique ludique par une bande de jeunes adultes. Si la dernière décennie a apporté son lot de fraîcheur à ce niveau, celle actuelle manque encore de référence.
Time Lapse aurait pu en devenir une mais derrière des idées en apparence originales, on rentre rapidement dans le déjà-vu avec un traitement stéréotypé qui donne un film qui laisse indifférent.