Qui-Gon Jinn a écrit:
Film Freak a écrit:
un homme blanc d'une quarantaine d'années (sois fort, QGJ).
lol. Afin qu'on puisse visualiser, qui aurais-tu casté dans son rôle ?
Jérôme Kircher.
Citation:
Et à la fin du film y a pas eu du toisage en chien de faïence/ignorage comme si l'autre était pas là ?
Je devais enchaîner avec le Payne mais j'ai tout de même décomposé chaque geste de mon lettage de manteau pour montrer que je partais pas en mode flippé.
Citation:
Je lui laisse une dernière chance et au bout de dix secondes je me penche vers lui et lui arrache le téléphone des mains. Il se débat et me le reprend, vert de rage "Tu ne me prends pas mon téléphone !" "Bah tu le ranges et tu l'éteins
J'aurais pas osé prendre le tel et risquer de soudainement perdre ma position de supériorité en touchant à sa propriété.
FingersCrossed a écrit:
je me sens du coup légitime pour raconter ma fin de séance de batiment 5, quand un monsieur blanc d'environ 55 ans, l'air d'un intellectuel un peu marginal, à l'autre bout de la rangée derrière moi, en plein climax, sort un calepin pour écrire avec une petite lampe surpuissante.
Un fléau durant les projos de presse. C'est pas légion mais ça me soule. Mangez du poisson et cassez pas les couilles.
Citation:
je me lève, j'allume la lampe de mon portable, que je lui colle sous le nez à 10 centimètre de son visage. il lève la tête comme un gros con pris dans les phares d'une voiture, je lui dis "merci" et je vais me rassoir
Haha yes la méthode non-violente.
Citation:
lui : "monsieur, pourquoi vous m'avez mis votre lumière comme ça ?"
Ouais c'était mort dès sa question en fait, le mec conçoit même pas ce qu'il fait.
Citation:
lui : "eh bah si on supporte pas les gens, faut pas aller au cinéma !"
Le grand classique. Les gens croient que c'est un espace public comme un autre où on peut parler à ses amis tranquille.
Qui-Gon Jinn a écrit:
L'absence d'empathie de ces gens. L'absence de pouvoir juste se mettre à la place des autres, ça me fascine.
Les blancs.